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gator a écrit :Scarr a écrit :Si ils pouvaient parquer tous les pratiquants de cette activité…
😉S’ils pouvaient supprimer une bonne fois cette gigantesque machine a pognon, à blanchissement et à truande sans le moindre intérêt, qui passe sa vie à piétiner ses valeurs déclarées, on serait pas mal aussi…
Suis assez d’accord sauf sur l’intérêt de la chose !
Si vous possedez un très vieux truc à deux roues qui traîne dans une grange…
Y’a peut-être un billet à prendre…
ça fait rêver…
Lui ça faisait un bon moment qu’il avait disparu des radars
Mais l’outdoor c’est encore loin
https://www.facebook.com/OfficialJosiahNatzke/posts/336377315165324
Supercross au DANEMARK ce week-end – 4 & 5 février 2022
https://www.facebook.com/SuperCrossHerning/
ou ici =====>>> https://www.supercrossherning.dk
Ils ont exporter le championnat de France??
b.r.t a écrit :Ils ont exporter le championnat de France??
exactement , faut aller chercher la paye.
et rentabiliser les moufles…
Curieusement, contrairement à son popa, Griffin est sponsorisé par Suzuki.
alan a écrit :b.r.t a écrit :Ils ont exporter le championnat de France??
exactement , faut aller chercher la paye.
De toute façon c’est trankil:
” Alle Corona restriktioner ophæves “
😉
alan a écrit :Supercross au DANEMARK ce week-end – 4 & 5 février 2022
https://www.facebook.com/SuperCrossHerning/
ou ici =====>>> https://www.supercrossherning.dk
ha J’ADDOOOREE LE HOLLANDAIS NUMÉRO 23 :O)) y s’appelle Jeffrey MEURS.. PTDR..
Bon.. du calme les gars c’est une vanne hein… :+)) je n’en suis pas encore là quand même
Riding Zone porte bien son nom…
Nan parce que quand tu vas chercher un guignol comme “Tristan, youtubeur sports extrêmes” avec son balai à franges sur la tête pour lui faire essayer un side, t’y es bien profond, dans la zone…
#oskour
Haaaaaa, c’était le bon temps, hein, Sav’, l’époque dorée des puristes…
;-))))
“Pour vous, le biathlon est un sport qui se pratique sur des skis, avec une carabine dans le dos, une combinaison avec un autocollant de la douane et une pub fluo pour du fromage, et à la fin, un Français qui lève les bras sur la ligne d’arrivée, le tout filmé en mondovision ? C’est en partie juste, mais on revient de loin. Petit coup d’œil dans le rétro, à l’occasion du début des épreuves de biathlon aux Jeux olympiques d’hiver de Pékin, samedi 5 février, où l’escouade bleue emmenée cette année par Emilien Jacquelin et Anaïs Chevalier-Bouchet nourrit des ambitions dorées, avec l’espoir de faire aussi bien qu’en 2014 (4 médailles) ou en 2018 (5).
Si le biathlon est testé aux JO depuis ceux de Chamonix en 1924, sous le nom de “ski militaire”, c’est dans les années 1960 qu’il obtient son rond de serviette à la table olympique. Pour vous donner une idée de la misère, la discipline est alors chapeautée par la Fédération de pentathlon moderne. L’équipe de France aux Jeux de Squaw Valley est composée à l’époque… des plus mauvais fondeurs. Ils découvrent leurs armes quelques jours avant l’évènement. “Choisir le biathlon plutôt que le ski de fond était un déclassement”, sourit Yvon Mougel, pionnier de la discipline en France dans les années 1970. “On tirait à l’arme de guerre, les cibles étaient à 150 m [soit trois fois plus loin qu’aujourd’hui]. J’ai déjà laissé une arcade sourcilière avec le recul du fusil.“ En 1972, l’envoyé spécial du Monde aux JO écrit que le biathlon “ne nous paraît pas devoir figurer (…) au sein d’un programme olympique pléthorique”.
Qui dit sport de niche dit système D, raconte Yvon Mougel. L’entraînement : “J’installais des cibles en carton dans un endroit tranquille.” Les armes : “On a fini par récupérer du matériel soviétique, des Vostok. On trafiquait les crosses pour qu’elles soient moins lourdes. Et les cartouches coûtaient horriblement cher. On en tirait 20 par séance, maximum.” Les sponsors : “J’ai dû passer le concours d’agent des douanes, on n’avait pas le choix pour faire partie de l’équipe de France.” Enfin, les compétitions : “Pour le championnat de France aux Saisies (Savoie) en 1984, la direction de la station ne voulait pas qu’on dérange les touristes. On était obligés de se rendre dans un endroit accessible uniquement à ski, à 2 km du domaine skiable. Pourtant, je venais de terminer quatrième des Jeux de Sarajevo et d’avoir ma photo en une de ‘L’Equipe Magazine’.”
Les Jeux d’Albertville de 1992, théâtre du triomphe du relais féminin bleu, auraient pu installer progressivement le biathlon dans le paysage. Mais “j’ai dû faire trois télés après ma médaille d’or, et je suis retournée dans mes montagnes m’entraîner sur un parking l’été”, raconte Corinne Niogret, figure de la discipline durant cette décennie.
La reconnaissance des sponsors mettra aussi du temps à arriver, raconte Yves Perret, auteur du livre Les Grandes heures du ski nordique en France (éd. Les Passionnés de bouquins). “En 1994, quand le relais féminin fait une médaille de bronze aux Jeux de Lillehammer, les relayeuses reçoivent un chèque de 125 francs (environ 20 euros) chacune, dans une enveloppe, de la part de leur fournisseur de bâtons. Elles l’ont purement et simplement retourné.”
Le biathlon des années 1990 sent encore très fort la naphtaline. “J’ai souvenir du championnat du monde 1993 à Borovets, en Bulgarie, avec une couverture déplorable, raconte Marc Mingoia, voix du biathlon sur Eurosport pendant vingt ans. Deux caméras, en tout et pour tout. On voyait les équipes tirer, partir skier dans la forêt et pendant 10 minutes, on n’avait rien à l’image.” A l’époque, rares sont les médias à envoyer des journalistes couvrir ces compétitions. “On était trois, compte Marc Mingoia. Moi, ‘L’Equipe’ et ‘Le Dauphiné libéré’.” D’où le fait que le biathlon est l’objet de publicités complètement déjantées jouant sur la méconnaissance du public, comme ce spot de la chaîne câblée 13e Rue qui se termine en fusillade générale…
L’arrivée au premier plan de Raphaël Poirée, à la fin des années 1990, ne débloque toujours pas la popularité de la discipline dans l’Hexagone. Son caractère n’aide pas forcément. “Sur le mur d’un bar de Pokljuka en Slovénie, un haut lieu du biathlon, il y a toutes les stars caricaturées avec un grand sourire, décrit Marc Mingoia. Toutes, sauf une : Poirée qui, lui, tire la tronche.” En revanche, le professionnalisme de l’Isérois fait basculer le biathlon français dans une autre dimension. C’est lui qui rue dans les brancards après le fiasco des JO de Nagano, au Japon, en 1998. Les techniciens norvégiens avaient passé un an sur place pour analyser la neige dans ses moindres cristaux, quand les Français l’avaient joué à l’économie. Pour la dernière fois.
Dès lors, le statut des biathlètes est dépoussiéré. Finie l’obligation de passer le concours des douanes, place au statut de contractuel. Encore aujourd’hui, cinq des 35 sportifs soutenus par la douane sont des biathlètes. “J’étais très heureux de toucher ces 1 500 euros par mois pour pratiquer mon sport, sourit Jean-Guillaume Béatrix, qui a raccroché la carabine en 2018. Je trouvais ça incroyable. J’avais l’impression de très bien vivre. C’est grâce à ce statut que j’ai pu m’acheter un appartement. Je n’ai jamais eu besoin de chercher un emploi pour être indépendant financièrement.”
“On continue d’entretenir la légende que le biathlon est un sport de douanier”, sourit François Simond, le patron de l’équipe de France des douanes. Notamment grâce au tournoi des douanes, grand-messe annuelle, début mars, qui commence par un défilé en uniforme. N’empêche, cette image d’Epinal des temps héroïques a tendance à disparaître. “Sport de douanier ? Ça fait cinq ou six que je ne l’avais plus entendue”, s’amuse l’ex-biathlète Alexis Bœuf, désormais consultant sur la chaîne L’Equipe, diffuseur de la Coupe du monde. “
gator a écrit :
C’est vrai qu’elle est bien, cette pub. Ce serait comme ça, je regarderais.
;-)))
Mauvais français !
Une médaille d’argent, c’est déjà ça de pris… ^^
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