VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! !

  • Ce sujet contient 119 réponses, 37 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par sodomisator, le il y a 13 années et 7 mois.
15 sujets de 76 à 90 (sur un total de 120)
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    Messages
  • #972076
    kxchris
    Participant

      Et mon gamin qui se leve en pleure ce matin et file au garage!!!C’était juste un reve,ouf.Mais les 5 gonzs habillés tout en noir avait bel et bien tout volé(50pw,50LC,125 kx,125 yz)!!!Inconsolable le p’tit.J’investis cette semaine dans un truc…En plus de tout mon bricolage!!!…

      merci pour les infos

      bon dimanche

      #972077
      marcomoto
      Participant

        Hello KXCHRIS & ton Titou,

        des news, desfois… ? ? ?

        Que la Bonne Mère soit avé vous !

        Courage, tenacité & Chance à vous, pour le Petit !

        ________________________________________

        https://www.ica-security.com/public/Produit-de-l-Annee-2008-pour-sa

        https://www.ica-security.com/public/gravage-ica

        Les avantages du gravage ICA :

        Classe SRA

        Très dissuasif

        Temps de gravage rapide (20 mn)

        Esthétique, discret

        Infalsifiable, indélébile.

        Le Centre Agréé grave les 7 derniers chiffres ou caractères du numéro de série sur les éléments suivants :

        bras oscillant,

        carter moteur,

        fourreaux de fourche,

        silencieux d’échappement,

        carénage,

        cadre,

        moteur,

        jantes,

        réservoir.

        Une fois gravée, votre moto est inscrite au fichier national ARGOS (Groupement d’Assureurs Français pour l’identification des véhicules volés).Ainsi protégé, votre véhicule est identifiable à tout moment, même en pièces détachées.

        Le numéro gravé permet de donner l’identité du propriétaire.

        Conscients de ce risque, force est de le constater que les voleurs préfèrent choisir un véhicule non gravé car non identifiable.

        63 €/TTC (prix public constaté).

        __________________________________

        QlNvsb.

        #972078
        marcomoto
        Participant

          Hello KXCHRIS & ton Titou,

          des news, desfois… ? ? ?

          Que la Bonne Mère soit avé vous !

          Courage, tenacité & Chance à vous, pour le Petit !

          ________________________________________

          https://www.ica-security.com/public/Produit-de-l-Annee-2008-pour-sa

          https://www.ica-security.com/public/gravage-ica

          Les avantages du gravage ICA :

          Classe SRA

          Très dissuasif

          Temps de gravage rapide (20 mn)

          Esthétique, discret

          Infalsifiable, indélébile.

          Le Centre Agréé grave les 7 derniers chiffres ou caractères du numéro de série sur les éléments suivants :

          bras oscillant,

          carter moteur,

          fourreaux de fourche,

          silencieux d’échappement,

          carénage,

          cadre,

          moteur,

          jantes,

          réservoir.

          Une fois gravée, votre moto est inscrite au fichier national ARGOS (Groupement d’Assureurs Français pour l’identification des véhicules volés).Ainsi protégé, votre véhicule est identifiable à tout moment, même en pièces détachées.

          Le numéro gravé permet de donner l’identité du propriétaire.

          Conscients de ce risque, force est de le constater que les voleurs préfèrent choisir un véhicule non gravé car non identifiable.

          63 €/TTC (prix public constaté).

          __________________________________

          QlNvsb.

          #972079
          marcomoto
          Participant

            Tatouage Anti-vol fait chz DAFY-MOTO =>

            #972080
            marcomoto
            Participant

              Tatouage Anti-vol fait chz DAFY-MOTO =>

              #972081
              marcomoto
              Participant

                => qq tuyaux :

                Si votre deux-roues possède un point d’ancrage (très fréquent sur les scooters), soyez attentif aux dimensions du U. Trop long ou de diamètre trop conséquent, il peinera à se frayer un chemin à travers l’anneau cémenté.

                Transport :

                Ultime vérification de taille, assurez-vous que les coffre ou compartiment aménagés sous la selle permettent de loger le U (il se peut qu’il n’y rentre qu’en position ouverte). En l’absence de tels espaces, il faudra accrocher l’antivol sur le porte-paquets, sur la selle, ou investir quelques euros dans un porte-U. Rejetez impérativement le transport dans un sac à dos : en cas de chute, la colonne risque de graves traumatismes.

                Alarme en sus :

                Certains U intègrent un détecteur de mouvements déclenche une sirène lorsque l’antivol change de position. Quelques secondes suffisent à neutraliser ces dispositifs. En terme de sécurité, ils n’apportent rien. Leur seul intérêt est d’avertir les étourdis qui oublieraient de retirer leur U avant de démarrer (qui ne l’ a jamais fait ?).

                Normes :

                Il faut se fier à l’étiquette “certifié NF, recommandé FFMC” qui garantit une résistance à l’effraction de 10 minutes minimum en situation. Né en 2000 du rapprochement entre l’Afnor (Association Française de Normalisation) et la commission Stop Vol de la FFMC, ce label doit logiquement guider votre achat. Vous pouvez trouver aussi un logo “Classe SRA” qui correspond à un classement des assureurs mais aucunement à une norme certifiée.

                Les chaînes :

                Longtemps boycottées par Stop-vol pour leur résistance symbolique, les chaînes honorent aujourd’hui le cahier des charges. Leur souplesse et longueur conséquentes les rendent particulièrement adaptées aux scooters (elles passent sous le tablier pour s’accrocher ensuite à un point fixe). Les progrès réalisés sont tels qu’il est désormais possible de produire des chaînes de qualité en ne recourant qu’à des maillons de 13 mm de diamètre (contre 14 mm par le passé). Le gain de poids est appréciable mais l’objet reste fort encombrant en antivol.

                Bloque-disque :

                Seul hic, aucun bloque-disque n’empêche une moto d’être hissée à bord d’une camionnette pour être ensuite fracturée à l’abri des regards. À proscrire, donc, pour un stationnement nocturne et à n’utiliser que le temps d’aller acheter sa baguette ou son magazine préféré.

                Pour  : facilité de transport et de mise en place, compacité

                Contre  : ne décourage pas un voleur motivé.

                Les bloque-disque alarme :

                La miniaturisation des composants électroniques a permis de fondre des alarmes dans la masse de certains bloque-disque (photo 4). Un détecteur de mouvement déclenche une sirène au moindre changement de position. Une bonne idée pour lutter contre la distraction, pas contre le vol. La sirène, trop facile à localiser, se neutralise en 2 temps 3 mouvements. À n’utiliser, donc, que pour les stationnements de courte durée.

                Pour  : évite de démarrer en oubliant son antivol (un grand classique)

                Contre  : alarme facile à neutraliser, fixation impossible de la moto à un point fixe.

                Le tatouage :

                Faire graver sa moto (photo 3) coûte une soixantaine d’euros. L’intérêt de l’opération est double  : faire reculer voleurs de moto et receleurs de pièces détachées, qui auront plus de mal à revendre le fruit de leur larcin. Le coût du gravage comprend l’inscription sur un fichier centralisé dont les données sont communiquées aux services de police, de douane, de gendarmerie et aux assureurs.

                Pour  : dissuasif

                Contre  : seulement dissuasif.

                Les coupe-circuits :

                Présents depuis quelques années dans l’univers l’automobile, les coupe-circuit font une entrée remarquée dans celui du deux-roues, au même rythme que le bike-jacking. Le dispositif comprend un émetteur (à porter sur soi) et un récepteur (dissimulé sur la moto). En l’absence de communication entre ces deux éléments, le 2-roues refuse d’avancer. Certains systèmes déclenchent également une alarme et les warnings. Suffisant pour que le voleur abandonne la moto sur place.

                Pour  : redoutable d’efficacité

                Contre  : prix élevé (coût du dispositif + recours indispensable à un installateur pour la monte).

                Le repérage par satellite :

                Également rodés dans le monde de l’automobile, ces systèmes permettent de localiser un deux-roues volé, fut-il caché en sous-sol. Seul bémol  : les informations, transmises aux forces de l’ordre, supposent que ces dernières soient suffisamment disponibles pour se consacrer à la recherche de votre moto volée. Si tel est le cas, alors elles ont de grandes chances de la retrouver.

                Pour  : efficacité…

                Contre  : …en fonction de la disponibilité des forces de l’ordre  ; prix élevé (monte + abonnement au service)

                FIXATION MURALE POINT D’ANCRAGE :

                Il faut toujours, dans la mesure du possible, attacher sa moto à un point fixe. Jouable en surface – grâce au mobilier urbain –, plus délicat dans un box ou un parking souterrain. Il n’en fallait pas plus pour que les fabricants d’antivols commercialisent des points d’ancrage «  spécial moto  ». Une bonne idée qui n’a malheureusement jamais convaincu la commission Stop-Vol. La fragilité de ces dispositifs est d’autant plus évidente que les voleurs qui opèrent en sous-sol disposent non seulement de tranquillité, mais également, dans certains cas, de courant électrique pour brancher leur outillage. Un investissement peu rentable, donc…

                ________________________________

                A RETENIR… :

                Aucun dispositif ne saurait à lui seul garantir 100 % d’efficacité malgré les progrès effectués depuis 1987, année de naissance de Stop-Vol  : qualité des cémentations, des serrures anti-perçage, coupe-circuit, transpondeur…

                Par contre, en associant plusieurs d’entre eux (mécanique + électronique + gravage), on peut quand même dormir sur ses deux oreilles.

                ________________________________

                https://www.motomag.com/Seconder-son-antivol-2317.html

                QlNvsb.

                #972082
                marcomoto
                Participant

                  => qq tuyaux :

                  Si votre deux-roues possède un point d’ancrage (très fréquent sur les scooters), soyez attentif aux dimensions du U. Trop long ou de diamètre trop conséquent, il peinera à se frayer un chemin à travers l’anneau cémenté.

                  Transport :

                  Ultime vérification de taille, assurez-vous que les coffre ou compartiment aménagés sous la selle permettent de loger le U (il se peut qu’il n’y rentre qu’en position ouverte). En l’absence de tels espaces, il faudra accrocher l’antivol sur le porte-paquets, sur la selle, ou investir quelques euros dans un porte-U. Rejetez impérativement le transport dans un sac à dos : en cas de chute, la colonne risque de graves traumatismes.

                  Alarme en sus :

                  Certains U intègrent un détecteur de mouvements déclenche une sirène lorsque l’antivol change de position. Quelques secondes suffisent à neutraliser ces dispositifs. En terme de sécurité, ils n’apportent rien. Leur seul intérêt est d’avertir les étourdis qui oublieraient de retirer leur U avant de démarrer (qui ne l’ a jamais fait ?).

                  Normes :

                  Il faut se fier à l’étiquette “certifié NF, recommandé FFMC” qui garantit une résistance à l’effraction de 10 minutes minimum en situation. Né en 2000 du rapprochement entre l’Afnor (Association Française de Normalisation) et la commission Stop Vol de la FFMC, ce label doit logiquement guider votre achat. Vous pouvez trouver aussi un logo “Classe SRA” qui correspond à un classement des assureurs mais aucunement à une norme certifiée.

                  Les chaînes :

                  Longtemps boycottées par Stop-vol pour leur résistance symbolique, les chaînes honorent aujourd’hui le cahier des charges. Leur souplesse et longueur conséquentes les rendent particulièrement adaptées aux scooters (elles passent sous le tablier pour s’accrocher ensuite à un point fixe). Les progrès réalisés sont tels qu’il est désormais possible de produire des chaînes de qualité en ne recourant qu’à des maillons de 13 mm de diamètre (contre 14 mm par le passé). Le gain de poids est appréciable mais l’objet reste fort encombrant en antivol.

                  Bloque-disque :

                  Seul hic, aucun bloque-disque n’empêche une moto d’être hissée à bord d’une camionnette pour être ensuite fracturée à l’abri des regards. À proscrire, donc, pour un stationnement nocturne et à n’utiliser que le temps d’aller acheter sa baguette ou son magazine préféré.

                  Pour  : facilité de transport et de mise en place, compacité

                  Contre  : ne décourage pas un voleur motivé.

                  Les bloque-disque alarme :

                  La miniaturisation des composants électroniques a permis de fondre des alarmes dans la masse de certains bloque-disque (photo 4). Un détecteur de mouvement déclenche une sirène au moindre changement de position. Une bonne idée pour lutter contre la distraction, pas contre le vol. La sirène, trop facile à localiser, se neutralise en 2 temps 3 mouvements. À n’utiliser, donc, que pour les stationnements de courte durée.

                  Pour  : évite de démarrer en oubliant son antivol (un grand classique)

                  Contre  : alarme facile à neutraliser, fixation impossible de la moto à un point fixe.

                  Le tatouage :

                  Faire graver sa moto (photo 3) coûte une soixantaine d’euros. L’intérêt de l’opération est double  : faire reculer voleurs de moto et receleurs de pièces détachées, qui auront plus de mal à revendre le fruit de leur larcin. Le coût du gravage comprend l’inscription sur un fichier centralisé dont les données sont communiquées aux services de police, de douane, de gendarmerie et aux assureurs.

                  Pour  : dissuasif

                  Contre  : seulement dissuasif.

                  Les coupe-circuits :

                  Présents depuis quelques années dans l’univers l’automobile, les coupe-circuit font une entrée remarquée dans celui du deux-roues, au même rythme que le bike-jacking. Le dispositif comprend un émetteur (à porter sur soi) et un récepteur (dissimulé sur la moto). En l’absence de communication entre ces deux éléments, le 2-roues refuse d’avancer. Certains systèmes déclenchent également une alarme et les warnings. Suffisant pour que le voleur abandonne la moto sur place.

                  Pour  : redoutable d’efficacité

                  Contre  : prix élevé (coût du dispositif + recours indispensable à un installateur pour la monte).

                  Le repérage par satellite :

                  Également rodés dans le monde de l’automobile, ces systèmes permettent de localiser un deux-roues volé, fut-il caché en sous-sol. Seul bémol  : les informations, transmises aux forces de l’ordre, supposent que ces dernières soient suffisamment disponibles pour se consacrer à la recherche de votre moto volée. Si tel est le cas, alors elles ont de grandes chances de la retrouver.

                  Pour  : efficacité…

                  Contre  : …en fonction de la disponibilité des forces de l’ordre  ; prix élevé (monte + abonnement au service)

                  FIXATION MURALE POINT D’ANCRAGE :

                  Il faut toujours, dans la mesure du possible, attacher sa moto à un point fixe. Jouable en surface – grâce au mobilier urbain –, plus délicat dans un box ou un parking souterrain. Il n’en fallait pas plus pour que les fabricants d’antivols commercialisent des points d’ancrage «  spécial moto  ». Une bonne idée qui n’a malheureusement jamais convaincu la commission Stop-Vol. La fragilité de ces dispositifs est d’autant plus évidente que les voleurs qui opèrent en sous-sol disposent non seulement de tranquillité, mais également, dans certains cas, de courant électrique pour brancher leur outillage. Un investissement peu rentable, donc…

                  ________________________________

                  A RETENIR… :

                  Aucun dispositif ne saurait à lui seul garantir 100 % d’efficacité malgré les progrès effectués depuis 1987, année de naissance de Stop-Vol  : qualité des cémentations, des serrures anti-perçage, coupe-circuit, transpondeur…

                  Par contre, en associant plusieurs d’entre eux (mécanique + électronique + gravage), on peut quand même dormir sur ses deux oreilles.

                  ________________________________

                  https://www.motomag.com/Seconder-son-antivol-2317.html

                  QlNvsb.

                  #972083
                  marcomoto
                  Participant

                     

                     

                    VOLEUR de MOTOS, JE TE PARLE ! ! ! ! ! ! ! !

                     

                     

                    Quoi ? Tu voles des motos ? Encore ?

                    Pourquoi t’ es GRAVE de chez GRAVE ?

                    Ah, ouais, yo, ta reum & padre sont pas là pour te caresser les côtelettes…

                    J’ hallucine => t’ as pas besoin de tes Parents pour voler donc pas besoin pour piger que c’qu’tu fais, c’ est pas d’la balle du tout ; c’ est la misère, c’ est d’la merde à 2 €.

                    J’t’l’dis : faut être mongol d’ une force ! Prendre des risques ça comme pour faire le beau devant les Poteaux & les poufs.

                    Ne viens pas m’dire qu’ y a pas 1 Grand Frère qui tourne rond !

                    Bien sûr qu’ y en a ! Ben, ouais, ces mecs-là, ils se sont sortis les doigts du CUL ; marre de tes sketches, de ta « Vie », de faire du mal à des PETITS en leur chourant leurs brêles, etc.

                    Z’ ont fait marcher leur cervelle pour trouver des bons trips (=> j’veux dire : occupations !) à défaut de taffer !

                    Pourquoi faire comme les 2-3 branleurs de ton coin, pourquoi pas imiter les goods ?

                    Trop mortel ton Futur…

                    « Violer » des garages, « entrer » sans demander, toucher, casser, voler, perturber, emmerder, traumatiser, affaiblir, déséquilibrer des Hommes et des Minots => ‘tain, faut vraiment être trop courageux !

                    Devant tant d’ innocence, t’ es vraiment désolant, mon pôv père…

                    Tu f’ras quoi dans 5 ans : zonzon, mort, maniaco-depressif, criminel, shooté, banni ou Papa travailleur normal ?

                    Si tu fais partie d’ une bande et qu’ elle est si organisée qu’ça, pourquoi on t’retrouve en récidive tous les 2 ans au trou (Bilans Police Nationale) ? ? ?

                    Le marché de l’ occase se portera bien sans toi, tu sais ?

                    Tu te porteras très bien sans « lui »…

                    T’en as pas marre desfois ; ça doit t’gonfler !

                    Piquer des cross pour flamber 2 heures sur 2-3 parkings & pas pouvoir la r’vendre car tu connais personne ou qu’c’ est trop risqué OU la revendre & s’faire braquer après… Mwouarf…

                    Ou peut-être que t’ es un mec sans soupçon, qu’ as fait son « trou » dans la Société => dans ce cas, la kleptomanie et ses dérives, ça s’soigne. Maintenant, tu l’sais ; plus d’ excuses…

                    Ben, mec, la montée d’ adrénaline, tu l’ auras quand tu verras ta reum & tes p’tits Frères pleurer en te voyant serré par la « cavalerie » cause tes conneries ! (Baaah, c’ est déjà fait…)

                    Et quand un mec va t’loger une bastos dans la tête parcequ’ il a cru qu’tu en voulais à ses ENFANTS…

                    Et pis, desfois, on vient pour que dalle ; le mec, il a foutu sa charrette ailleurs ou y’a les Voisins ou trop d’ Alarmes ou trop compliqué. Mwouaaarfff !

                    Ah, ouais, faut chouraver les richous ; sont ripoux avec leur fric & toi, t’as que dalle… Ben, ouais.. Ouais, ouais, c’ est achement dur à trouver ça ! Tu l’ as trouvé tout seul ? ? ?

                    Mort de rire comment qu’tu passes pour un mauvais revendeur avec tes casses à la mord-moi l’nœud.

                    Aucun risque, tu fais le genre j’ assure, mais tu braques qd y’ a personne ou qd y’ a rien à perdre ! Pfffffffffffff ! ! !

                    Minable, la honte style looser ! Pourquoi ne pas entrer dans le Commissariat & leur montrer ce qu’ t’ as réussi à chourer sous leur nez ? Ca, ça a d’la gueule ; ça fait l’chasseur qui « chasse » mais qui laisse sa proie repartir « vivante » quand il tombe dessus => c’ est beau, non ?

                    Oui, mais non, tu peux pas, t’ as des codes de merde à respecter.

                    Ah, jusqu’ à quel âge les codes de merde à respecter, Man ? Jusqu’ au zonzon, la tôle, la prison, le mitard, jusqu’ à la mort ? ? ?

                    Comment qu’t’ es lourd… Tu fais exprès ou c’ est genre, je suis pas idiot mais j’suis tout petit & malheureux, alors j’préfère les conneries comme les « autres » ?

                    Et pis, perso, tu kiffes ta race d’ en parler à ta Cop, à ta Famille ?

                    Perso, ça m’f’rait crever de honte…

                    Décidément, y’ a qu’d’chi (à part les gars du coin, les volés… la Police) pour s’ intéresser à toi. Ben merde alors, c’ est très con, ça !

                    Pour un mec qu’ a besoin d’faire le beau, y’ a pas grand mode au balcon…

                    T’ es fier ou tu planques ton magot dès qu’ y a les keufs ?

                    Ah, c’ est vrai, t’ es avec 30 copains quand les condés déboulent… Tu parles, c’ est des VRAIS Copains, ça, t’ es sûr, mwouaaaarfff…

                    Le premier qui peut balancer l’ autre pour éviter d’ aller s’faire racketer (voire PIRE !) en cabane, il le fait ! ! !

                    T’ assumes rien même dans tes vidéos sur le Net => y’ a pas l’ adresse pour v’nir te pécho ! ! !

                    Ho, man, tu sais quand ça stoppe c’bazar ? => au gnouf !

                    Ca s’ arrête pas ça comme, c’ est d’la coc ton trip… sauf que à un moment, tu verras, STOP, y’ a les perdreaux, une Femme, des Enfants, l’ âge… la maturité…

                    A moins qu’tu piges un jour (AVANT qu’ il ne soit trop tard) qu’ y a des tonnes d’trucs à faire dans la Vie => Sports, Associations pour les Jeunes, les Petits, pour la Vie des Quartiers, se faire des Potes, des VRAIS !

                    Pense à Toi, bordel ! ! !

                    Trouve-toi une Poule, une VRAIE, qui t’ Aime ; ça change la Vie…

                    Moi aussi, j’suis passé par la case trou, violon, si tu préfères. Y’a quelques années pour « Coups & Blessures » mais j’ m’ suis racheté une Vie (suis pas un Saint ni curé quand même…) mais j’n’fais d’mal à personne.

                    Maintenant, y’ a des mots que tu entendras encore OU qu’tu n’ entendras plus JAMAIS => prison,

                    maison d’arrêt, cachot, cellule, geôle, pénitencier, dépôt, bagne, centrale, maison de correction, emprisonnement, détention, incarcération, réclusion…

                    J’t’ propose pas mon aide perso (quoique) mais l’ aide de la Société dans laquelle on vit TOUS… et crois-moi, y’ a pire comme système => chez nous, on coupe pas les mains des voleurs, ailleurs, si ! ! !

                    C’ est toi qui gère, c’ est ta Vie..

                    Ca, tu piges !

                    Perso, bonjour l’ angoisse, j’m’prends plus la tête depuis longtemps, je drive. Le panard !

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                    QUE LA VIE TE SOIT BELLE, quand tu auras compris !

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                    Marco, jamais désabusé car il a « vu »

                    06.63.153.933 + [email protected]

                     

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                    Tortosa, ex-truand, ex-taulard, peintre et pédagogue.

                     

                    Ex-truand fiché au grand banditisme, ex-taulard à la Santé pendant 22 ans, François Tortosa :

                     

                    "En 1977, j’ai été incarcéré au 42, rue de la Santé. En 2007, j’expose au… 100, rue de la Santé! Il m’aura fallu 30 ans pour parcourir une centaine de mètres et passer de l’ombre à la lumière", raconte-t-il avec humour à l’AFP.

                     

                     

                    "J’ai en moi une plaie qui ne guérira jamais.

                    J’ai fait mourir ma mère et mon père par mes actes.

                    J’ai beau me noyer dans la peinture, je ne pourrai pas les faire revenir.

                    J’ai payé, mais je ne peux effacer mon passé de truand".

                     

                     

                     

                    Il y met pourtant une ardeur décuplée par son besoin de rédemption, travaillant avec les enfants handicapés de quartiers difficiles, comme à l’Institut médico-éducatif de Bobigny.

                    "J’établis un lien affectif avec eux, je suis devenu comme un papa, un vieux frère".

                    Tortosa était d’ailleurs parti pour être instituteur. "Seulement, dit-il, j’ai basculé dans le banditisme. J’ai été arrêté… Arrêté par le Commissaire Broussard, incarcéré comme "DPS" (détenu particulièrement surveillé, autrement dit dangereux), il ne songe qu’à s’évader.

                     

                     

                    "J’ai eu une chance inouïe d’avoir ces mains tendues.

                    Mais je m’inquiète pour ces gosses qui échouent en prison.

                    Parce qu’ on ne leur y apprend rien.

                    Telle que la prison est conçue actuellement, il est impossible d’échapper à la récidive.

                    Les murs vous enlèvent tout.

                    Votre avenir, votre passé, vos espoirs, vos larmes, votre rire.

                    Les murs vous assèchent.

                    Ceux qui ne sont pas des criminels endurcis le deviendront".

                     

                    "Et en même temps, ça enrichit mon Moi profond.

                    Quand je travaille avec des handicapés mentaux, y compris des autistes, je compense ce que je n’ai pas su faire auprès de mes trois fils…

                    J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                    "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                    "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                    "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                    "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                    "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                    "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                     

                     

                     

                    "Pitchic’art", Musée Singer-Polignac, Centre hospitalier Sainte-Anne, 1 rue Cabanis, Paris 14e. Du 8 juin au 8 juillet. Tous les jours de 14 h à 19h (sauf mardi).

                     

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                    VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! !

                     

                     

                    Sympa le zonzon qd on s’fait gauler => => =>

                     

                     

                    " Une heure, un jour, j’ai tout perdu. Je me suis retrouvé seul dans une cellule. J’ai compris alors la vanité de bien des choses et l’hypocrisie de bien des hommes.

                    J’ai vécu les premiers mois de détention en référence constante aux camps de concentration. Ce souvenir me donnait de la force. Vingt ans plus tôt, j’avais tenu le coup. Pourquoi lâcher prise ? Le désarroi m’envahissait en pensant à ma femme, si jeune encore. Tout juste vingt-cinq ans et deux petites filles qui parlaient à peine. Dans la tempête, il est plus facile d’être seul. Quand on y entraîne les siens, les choses deviennent obscures.

                    Aujourd’hui encore, des souvenirs de coursive, de fenêtres ouvertes sur le béton, de nuits d’angoisse, d’ennui à couper au couteau, remontent parfois à la surface. Ce ne sont pas des images anodines. Le corps se met en berne, lourd et fatigué. Le ciel devient blafard. Je me suis senti soudain comme un prisonnier en cavale, dont l’esprit échafaude mille solutions pour ne pas être renvoyé en cellule.

                    Aucune solidarité humaine ne pourra jamais empêcher l’enfermement d’attaquer les prisonniers dans ce qu’ils ont de meilleur. Comme la rouille érode le fer, la prison détruit. C’est un pourrissoir moral. L’uniformité des jours m’écrasait. J’étais nourri, chauffé, logé. Je n’avais plus aucune initiative, aucune responsabilité. Chaque heure, chaque minute, il fallait résister à la destruction de soi.

                    Au fil des mois, l’angoisse devint mon ennemie familière : l’impuissance, l’accablement des aubes sans oubli, l’ennui monstrueux que rien ne pouvait combler. L’angoisse montait à intervalles réguliers, comme une marée puissante, bousculant les résolutions, la volonté, le courage. C’était une lutte exténuante qui se déroulait dans un cadre morne, toujours semblable, dont la règle était la régularité oppressante des horaires.

                    J’ai compris en prison ce que pouvait être la vocation monastique, la contemplation. Certes, le moine choisit sa condition. Mais le monastère et la détention sont des expériences similaires. Dehors, la liberté se dissout parfois dans l’agitation. L’enfermement peut développer une force intérieure qui peut être plus grande que la violence qui nous est faite. C’est ce qui m’a sauvé plusieurs fois dans ma vie.

                    A ma sortie, en dehors de l’oasis familiale, j’ai connu une sorte de trou noir. Je ne reconnaissais plus ni les lieux, ni les gens, ni les enseignes, ni les voitures. Je me sentais étranger dans un monde étranger. Je n’avais plus de papiers d’identité, plus de carnet de chèques, plus de maison, plus de métier. Pour de longs mois encore, j’étais un citoyen de second rang.

                    On m’invita à Paris quelques jours, et ce fut pire encore. J’avais une sensibilité exacerbée, presque obsessionnelle, vis-à-vis de la vanité, de l’hypocrisie, des tiroirs à double fond de la comédie humaine. On me posait des questions imbéciles sur ma détention. La moindre manifestation maladroite, qu’elle fût de mépris ou de flatterie, réveillait ma colère.

                    Il s’en est fallu d’un rien pour que je bascule dans une délectation tragique et un puits d’amertume.

                     

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                    https://www.prison.eu.org/article.php3?id_article=591 =>

                     

                    Convention européenne pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants :

                    Article 1er :

                    Il est institué un Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (ci-après dénommé : "le Comité"). Par le moyen de visites, le Comité examine le traitement des personnes privées de liberté en vue de renforcer, le cas échéant, leur protection contre la torture et les peines ou traitements inhumains ou dégradants.

                     

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                    https://www.prison.eu.org/rubrique.php3?id_rubrique=718 =>

                    Conditions de vie du quartier discplinaire ou "mitard" – 01/05/02

                    Courrier 2 de Joelle Aubron, prisonnière d’Action Directe – 18/04/04

                    Courrier adressé à des parlementaires sur l’usage disproportionné de la violence à la MA de Fleury-mérogis – 11/04/07

                    Détenue à Moulins – 23/03/04

                    Empêchements au quotidien… – 02/10/03

                    Enquête sur la vétusté de la MA de Mulhouse et la violence de l’enfermement. – 29/01/04

                    Familles Citoyen-détenu : régime de vie dans les Prisons – 13/05/05

                    Je viens dénoncer haut et fort les conditions de vie de la MA de Fleury – 01/04/04

                    Jean-Marc Rouillan porte plainte contre la Maison centrale de Moulins – 29/05/04

                    Jérôme Bouthier dénonce des brimades – 06/09/03

                    Kamel Douadi : une fouille qui tourne mal – 10/11/02

                    l’A4DF veut dénoncer les conséquences de la surpopulation carcérale – 20/01/04

                    Le vote des prisonnier(e)s en France rendu impossible ? – 14/09/05

                    Mikel Otegi a été agressé par un surveillant – 17/10/05

                    Prisonnier politique basque aux baumettes militant en greve de la soif, puis de la faim subit des tortures tant physiques que morales de la part de la penitentiaire…. – 05/12/05

                    Refus de colis de Noël – 16/01/04

                    Réinsertion en prison ou l’école de la haine – 12/01/04

                    Stefan Philippe dénonce des brimades – 05/09/03

                     

                     

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                    https://www.prison.eu.org/article.php3?id_article=8554 =>

                     

                    1019 Jours de détention… en Maison d’Arrêt.

                    Extrait de la correspondance adressée à ma fille, pour lui présenter mes conditions de détention et mon « nouveau » cadre de vie.

                    Premier jour :

                    Ta « bonne » résolution de m’écrire me réjouit, mais il faut que tu saches que le courrier suit le trajet suivant avant de t’arriver et/ou de m’arriver :

                    Quand je t’écris, le courrier part à 7 h de ma cellule, « ouvert » c’est-à-dire non collé.

                    Comme je suis « prévenu », il transite chez le Juge d’Instruction qui a « un droit de regard » pour les besoins de l’instruction… et qui l’expédie… quand il a le temps. En pratique, il faut compter de 7 à 10 jours. Pour le courrier que je reçois, il arrive à la prison qui le fait transiter par le Juge d’Instruction qui le re-expédie à la prison, qui me le remet « ouvert », vers 11h30.

                    Lorsque je serai « condamné », puisque la vérification se fera sur place, cela ira donc plus vite.

                    Continuons notre visite.

                    Je vais te présenter ma nouvelle "résidence".

                    On peut y être pour quelques jours, quelques mois, quelques années…

                    En arrivant, ce qui impressionne, c’est le nombre de portes : 4 pour arriver à "l’accueil", pour faire 15 m.

                    A l’accueil (le greffe), passage obligé à toute entrée ou sortie, m’ont quitté mes accompagnateurs (la police). Là, c’est de nouveau, état-civil, signes particuliers, photo, empreintes digitales et/ou empreintes biométriques.

                    Depuis 2004, la prise d’empreintes digitales (toute la main) sans encre, avec relais informatique et donc photo + signes particuliers est mise en place et sert à tous les déplacements (sorties de l’établissement) et lors de contact avec les gens de l’extérieur (parloir) pour éviter la substitution d’individu…

                    C’est au greffe que t’est attribué un numéro d’écrou que tu gardes jusqu’à ta sortie (si on doit y revenir, c’est un numéro nouveau). Pour moi : 37876.

                    En fait, c’est un numéro chronologique et par comparaison avec un ancien et un nouvel entrant, je me suis rendu compte qu’il y avait une centaine d’entrées par mois (au 01/11/02 – la moyenne est passée à 115 sur 10 mois).

                    Et comme le nombre total de détenus ne varie que de 10 à 20 par mois, on peut considérer qu’il y a aussi une centaine de sorties (libération ou transfert vers un autre lieu) – cela fait beaucoup de "mouvements"…, plus de 200… par mois.

                    Après cette première étape, c’est la "fouille" (qui a lieu chaque fois que tu vas être ou as été en contact avec l’extérieur). Il s’agit de se déshabiller entièrement et les vêtements sont palpés. Ce qui est recherché, ce sont les stupéfiants (sous toutes leurs formes) et/ou un objet pouvant être dangereux et/ou les téléphones portables. Tu te rhabilles et on te prend ce qui ne t’est pas indispensable, une liste en est faite. On ne te laisse que montre, alliance, médaille religieuse. Tes papiers d’identité sont pris. A priori, les piercings ne sont pas tolérés – personne n’en a. J’ai oublié de te dire que l’argent que tu as sur toi est pris à l’accueil, il est mis sur ton compte individuel (pécule) qui est à ta disposition pour "cantiner".

                    Il n’y a aucune circulation d’argent. Ainsi, ayant été incarcéré 2 jours avant la mise en circulation de l’euro… à ce jour, je n’en ai jamais vu (en vrai)…

                    A la fouille, on appelle aussi ce lieu « vestiaire », tu reçois ton paquetage (comme à l’armée), c’est-à-dire housse de matelas, draps, couvertures (2), affaires de toilette de première nécessité : brosse à dents, dentifrice, crème à raser, rasoirs jetables, papier hygiénique, savon, serviette et gant de toilette + vaisselle (assiette, verre, bol, cuillère à soupe et à café, fourchette, couteau qui ne coupe pas…).

                    A l’accueil, avaient été donnés également 2 livrets sur la vie en prison et une série d’étiquettes que tu vas distribuer dans les premiers jours, dans tous les services où tu vas passer. Est également faite, une carte d’identité interne avec photo et empreinte digitale…

                    Après la fouille, tu es amené, avec ton gros paquetage informe et difficile à porter, au centre de la détention, sorte de PC, charnière de toutes les directions, c’est là que j’ai appris l’étage et le n° de ma cellule.

                    J’y suis allé et je m’y suis installé.

                     

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                    https://www.prison.eu.org/article.php3?id_article=8563 =>

                    La violence… en prison.

                    1019 Jours de détention… en Maison d’Arrêt.

                    Extrait de la correspondance adressée à ma fille, pour lui présenter mes conditions de détention et mon « nouveau » cadre de vie.

                    La violence :

                    Comme tu le sais, dans une prison, c’est comme dans la vie « dehors », il y a de tout… et l’on ne choisit pas ses voisins… donc, il faut faire avec… et avec un peu de bon sens, la cohabitation est possible.

                    Ce qui ne veut pas dire que « tout » est facile et cool…

                    On m’interroge souvent, de dehors, sur la violence qui habite la prison. Je dirai qu’elle est latente et présente à chaque instant, mais aussi, qu’elle se manifeste rarement.

                    Il est vrai que des efforts sont faits pour l’éviter, mais pas tous les efforts (et mesures) qui pourraient l’être.

                    Pour expliquer le risque de conflits, il faut faire l’état de la population existante, ici, et en faire plusieurs recoupements.

                    En premier lieu, il y a les prévenus (ceux qui ne sont pas jugés) et qui sont donc en attente d’une décision qui ne leur appartient plus, puisque tout le monde le dit, ici et dehors, le jugement (audience) ne modifie que très rarement l’intime-conviction de la police (qui fait l’enquête) et des juges (procureur, juge d’instruction, juges) qui décident… à charge, trop rarement à décharge…

                    La deuxième catégorie de détenus est celle des condamnés : « ils exécutent » leur peine. En théorie, si la peine dépasse 12 mois, l’intéressé devrait quitter la Maison d’arrêt « rapidement » pour un Centre de détention (CD) où la vie et la réinsertion y sont meilleures…

                    Pour le départ en CD, en pratique, il n’y a pas de « normes » et l’impression est que c’est « à la tête du client ».

                    Cette première différenciation fait que le prévenu est « moins calme », plus « mal dans sa peau », en fait « plus inquiet », car même si l’on sait que l’on va être condamné, il reste toujours une « certaine » incertitude, de plus, venant d’arriver, il doit s’adapter à cette nouvelle « vie » et à ses contraintes, ce qui ne se fait pas toujours sans casse.

                    Le second critère qui fait que la violence peut naître, réside dans le fait que chacun a son « délit » : une bonne majorité de détenus sont là pour un problème de stupéfiants (consommation, dealer, passeur) et ils arrivent en rafale, un bon tiers fait l’objet d’accusations (vraies ou fausses) d’agressions sexuelles de toutes sortes (ils sont appelés les « pointeurs »).

                    A cela, il faut rajouter les voleurs, braqueurs, délits de la route et de l’alcool, agressions physiques et assassinat… Certains ne sont là, souvent, que pour quelques mois, mais ils reviennent « souvent ». Pour ma part, avec 2 ou 3 autres, peut-être, je suis l’exception qui ne rentre pas dans une catégorie à risques.

                    A ce critère, il faut rajouter celui de l’origine culturelle : 90 % d’origine étrangère, si ce n’est plus (beaucoup en 2ème génération), les 3/4 du Magreb, mais aussi des russes, colombiens, roumains, gitans, turcs, tchèques, etc…

                    A cela, se rajoute le critère d’âge, la moitié a moins de 35 ans, les plus vieux (plus de 50 ans) sont très souvent, a priori, qualifiés de « pointeurs », même si ce n’est pas le cas : à toi d’imposer la vérité et la différence….

                    Il y a aussi les clans et, en particulier, celui des « stupéfiants » qui fait bloc et méprise les autres. Le mépris se manifeste physiquement et, ainsi, s’il est « coutume » de se serrer la main pour se dire bonjour ou lorsque l’on arrive dans un groupe (activité ou bibliothèque ou autre), beaucoup refusent de serrer la main aux pointeurs.

                    Une des premières préoccupations, lors de l’arrivée d’un nouveau, est de savoir « pourquoi » il est là, et les journaux sont souvent là pour relater le fait divers, ou, c’est l’interrogation directe : dissimuler ou transformer la vérité est très mal « appréciée » lorsque la vérité se sait.

                    Par obligation, je dirais que, « les pointeurs » sont particulièrement « protégés » par l’administration, et ce, non sans raison, car ils sont très souvent « agressés » verbalement et souvent « physiquement » (surtout s’ils ont exercé leur perversion (maladie) sur des mineurs).

                    Ainsi, la promenade dite « auxi » (entre midi) est également « réservée » aux pointeurs qui ont eu des problèmes d’agressions.

                    La violence se manifeste le plus souvent pour des motifs très « futiles » et de façon « imprévisible ». Elle se manifeste par une empoignade, voire quelques coups « réels » et blessant qui nécessitent le passage à l’infirmerie. Et ce, aussi bien, en cellule, avec un co-détenu, que dans les couloirs, aux douches, en promenade ou en sport.

                    Il est vrai que sur demande, il est relativement facile de changer de cellule si on trouve un autre co-détenu qui accepte (il faut une double demande), mais cela ne résout pas tout…

                    Toute violence physique (entre détenus et/ou avec un surveillant) ou verbale (vis-à-vis d’un surveillant) fait l’objet d’un « rapport » qui est suivi d’un passage au « prétoire » (sorte de tribunal interne) qui se solde par un non-lieu, une peine de quelques jours (maxi 45) de mitard (cachot) avec sursis ou ferme et parfois une suite « judiciaire », s’il y a plainte.

                    En règle générale, les deux protagonistes sont sanctionnés, si le responsable (l’origine) du conflit n’est pas « clairement » reconnu.

                    Le passage au prétoire est souvent redouté car, très souvent, suivi de mitard et en pratique d’une prolongation de la durée de la peine (par la suppression des remises de peines), ce qui fait, qu’en pratique, et c’est cela qui me semble pernicieux, en cas de conflit « devant témoins », rares sont les interventions et remises au calme (par un tiers), car on craint toujours de se voir pris dans la bagarre et, au final, se retrouver en la place « principale »… le conflit ayant changé d’intervenants…

                    Tout cela n’est pas simple… mais en fait… même si j’ai eu connaissance de quelques mauvais coups (nez cassé, chute dans les escaliers, etc…), on ne peut pas dire que la violence soit omniprésente, au moins ici, ailleurs, je ne sais… mais le sentiment général fait que l’on est souvent sur la défensive et que les sujets « chauds » de discussions sont « évités » et, en fait, la plaisanterie n’a pas souvent cours… car cela peut être mal interprété et devenir source de conflit… aussi l’ambiance franche de « camaraderie » ne peut avoir lieu qu’entre un noyau au demeurant « restreint » et sans témoin, car une mauvaise interprétation est toujours à craindre… et la déformation (le colportage) de ce que l’on a dit… se produit très (trop) vite…

                     

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                    (2006) Blog 19 Hygiène… ll faut en parler – 14/10/06

                    (2006) Blog 20 Nouvelle destination = le Centre de détention – 15/10/06

                    (2006) Blog 21 Arrivée en Centre de détention… – 16/10/06

                    (2006) Blog 22 Remises de peines… – 17/10/06

                    (2006) Blog 23 Survivre, c’est s’occuper… – 18/10/06

                    (2006) Blog 24 Un nouveau style de prison = Programme 13.000 – 19/10/06

                    (2006) Blog 25 La vie en Centre de détention… – 20/10/06

                    (2006) Blog 26 Gens du "dedans"… gens du "dehors" – 21/10/06

                    (2006) Blog 27 Quelques "mots" à connaître… un lexique perso – 22/10/06

                    (2006) Blog 28 Une perm… pour quoi faire…. – 23/10/06

                    (2006) Blog 29 La sortie… il y a en toujours une – 24/10/06

                    (2006) Blog 30 Tradition oblige… – 25/10/06

                    (2006) Blog 31 Parlons de l’ambiance "Parloirs"… – 28/10/06

                    (2006) Blog 32 Tout peut être utile… un jour – 28/10/06

                    (2006) Blog 33 L’affaire… qui mène en prison… parfois, souvent – 29/10/06

                    (2006) Blog 34 Où est l’autorité… ? – 30/10/06

                    (2006) Blog 35 Le bruit…. – 31/10/06

                    (2006) Blog 36 Comment "voyage" un détenu ? – 31/10/06

                    (2006) Blog 37 Droits et Obligations : les parloirs… – 01/11/06

                    (2006) Blog 38 Droits et Obligations : Parlons "Santé" – 02/11/06

                    (2006) Blog 39 " C’est bon de le savoir… " – 03/11/06

                    (2006) Blog 40 "Affectation… pour les longues peines… un leurre" – 04/11/06

                    (2006) Blog 41 "La récidive… " – 05/11/06

                    (2006) Blog 42 " La discipline… " – 06/11/06

                    (2006) Blog 43 " Gens du "dedans"… gens du "dehors" " – 07/11/06

                    (2006) Blog 44 " Le détenu a des droits…à faire respecter " – 08/11/06

                    (2006) Blog 45 " La sortie…cela se prépare… " – 11/11/06

                    (2006) Blog 46 " Les parloirs… un moment privilégié ??? " – 12/11/06

                    (2006) Blog 47 " La sortie… elle se prépare " – 13/11/06

                    (2006) Blog 48 " La sortie… elle se prépare " – 16/10/06

                    (2006) Blog 48 " Quelques réflexions " – 14/11/06

                    (2006) Blog 49 " En guise de conclusion " – 15/11/06

                    (2006) Blog 50 " L’affaire… " – 16/11/06

                    (2006) Blog 51 "Le mot de la fin " – 18/12/06

                    (2006) Blog 52 " Utilité et/ou Inutilité de la prison… " – 19/11/06

                    (2006) Blog 53 Ma prison… ou la prison, telle que je la voudrais… – 19/11/06

                    (2006) Blog 54 Coût de "Ma prison…" – 16/12/06

                     

                     

                    ****************

                     

                     

                    => la CONSECRATION pour 1 voleur… Yeaaaah, j’ ai connu… J’suis fort, ouais, j’suis costaud ds ma tête…

                    => l’ ABOUTISSEMENT, plutôt, non ?

                     

                     

                     

                    Gaffe, les mecs ! ! ! ! ! ! ! !

                    Que la Vie vous soit belle… encore un peu…

                    ________________

                    VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! !

                     

                     

                    Voleurs de moto(s), voleurs de moto(s), vous trouvez ça frolichon comme carte de visite, terrible, vraiment valorisant, glorifiant ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    On peut l’ écrire sur 1 CV ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    C’ est utile pour la Vie future, celle de quelqu’ 1 qui veut vivre normalement, être ou continuer de représenter 1 Exemple aux yeux de ses Enfants ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Le vol de motos est-il si gratifiant pour que vous en preniez le risque (pénal, social… voire physique ! ! !) ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Ca rapporte tant que ça (j’n’parle plus de reconnaissance) à long terme ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Ca rapporte la Gloire & en +, on devient richissime ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous mobilisez 1 bonne partie de vos NRJ car en définitive, c’ est très simple & pas risqué du tout de revendre ces motos ou pièces ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous accédez à 1 Statut, 1 niveau + élevé car notre Société vous montre toute sa gratitude (Retraites beaucoup + importantes pour les voleurs car vous payez vos charges Sécu, URSSAF, sociales, CSG, CRDS, vos Impôts de Micro-Entreprise, BIC Bénéfices Industriels & Commerciaux…) ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Bref, vous êtes en règle avé la Loi, hein ? Tout à fait adaptés, intégrés, heureux de vivre ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous n’ avez jamais de revers, jamais de souci, jamais de prob avé qui que ce soit (Intermédiaires, commanditaires, Police, Gendarmerie, votre conscience, votre Famille, les témoins, « l’ emprunté », la Justice, les revendeurs, les receleurs, les complices) ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    La Vie est belle, facile, vous avez la fortune… mais c’ est « drôle », vous r’commencez quand même…

                    Hmmmm ? ? ?

                    Avé les vols de motos, ce qui est super bien, c’ est que vous montrez votre grande & puissante virilité d’ Homme ; vous vous assumez pleinement, vous exaltez les Vertus du Mâle => le Courage, la force, l’ Intelligence, ah, ouais ! (…)

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous vous structurez, vous trouvez votre voie, votre Personnalité grâce à ces « expériences » irremplaçables !

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous êtes bénis des Dieux ( & de la Justice des Hommes) puisque vous « débarrassez » les cons de riches ou les cons de jeunes ou les cons de naïfs ; les cons.

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous faîtes même des blogs mais c’ est marrant… Y’ a pas une adresse fiable pour vous contacter pour acheter des pièces ; merde alors… C’ est pas bien, ça, niveau marketing.

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous vous entrainez au 100 m ou au 5000 m si, par « bonheur », vous trouvez 1 camarade de jeu qui veut vous faire la peau car il vous a pris en flag ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Ca doit quand même être du taf à « remaquiller » pour revendre toutes ces motos ou pièces ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Et puis, ça doit pas être toujours facile de rester discret, sans aucune trace, preuve. Ben, ouais, de nos jours, les portables (tél & ordi) sont indispensables mais ça peut parler… Quel métier !

                    Hmmmm ? ? ?

                    Le + facile, c’ est quand vous volez des motos à 1 Team ; apparemment, ils ne s’ y attendent pas …& puis, ils ont tous les moyens, bien sûr !

                    Hmmmm ? ? ?

                    De toute façon, dépouiller des Champions, pô grave, suffit de débrancher 1 peu le cerveau rayon fierté, honneur ou truc de ce genre, & roule ma poule !

                    Hmmmm ? ? ?

                    Et, pas de carte grise, juste quelques n° à limer & à refaire, & comme personne ne regarde de très près, vous ne vous emmerdez pas trop (enfin, si,1 peu quand même…).

                    Hmmmm ? ? ?

                    Un bidule 1 peu chiant, c’ est que vous dormez mal ou pas assez ; ben, ouais, vous êtes déphasés car souvent vous « bossez » la nuit. Alors, forcément, vous voyez toujours les mêmes « têtes » & question drague, c’ est pas terrible…

                    Hmmmm ? ? ?

                    Ah, autre chose, heureusement, vous, voleurs de motos, vous vous y connaissez en mécanique (& j’vous parle pas question Pilotage, vous êtes des chefs !) ; bref, quand vous n’ avez plus d’ huile, vous en prenez dans 1 autre moto ou mieux, + rapide & moins dangereux, vous la brûlez & balancez ds 1 décharge…

                    Hmmmm ? ? ?

                    Un des (très) rares probs, c’ est « l’ outillage », bon, ça coûte 1 peu cher au début (surtout quand dans la panique, vous en oubliez « sur place »), c’ est lourd & pas toujours adapté… surtout que maintenant, y’ a des malins qui ont des Alarmes anti-détection, anti-vibration & anti-intrusion (reliées au téléphone…) voire avé les gaz incapacitants, voire les 3 Pittbulls (ça, c’ est le + difficile…). M’ enfin, comme dit Gaston, on a rien sans rien.

                    Hmmmm ? ? ?

                    Y’ en a même qui mettent des pitons, des chaînes des U, des bloque-disques, qui enlèvent 1 roue, le CDI… Bon, vous vous barrez avé c’que vous pouvez, genre le matos, les outils, l’ équipement, la moto du Petit, les VTT, le « Karcher ». Elle est pô belle la Vie ?

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous avez même des terrains bien à vous, où vous pouvez « rouler »… Bon, quelques fois, 1 ancien proprio de moto vient avé ses Potes mais vous essayez de vous barrer avant ;comme ça, pas d’bobo pour vous & puis de toute façon, vous êtes forts alors vous préférez vous tirer.

                    Hmmmm ? ? ?

                    Vous en parlez ouvertement à tout le monde, à vos Parents, à votre Copine (si elle n’ est pas du même « milieu »), à votre petite Sœur (si elle est toute mimi & honnête), à vos VRAIS Amis, à votre Famille (entière), à vos voisins, à vos Collègues ? ? ?

                    Hmmmm ? ? ?

                     

                     

                     

                    NON ? Aaaah… Ben, tiens…

                     

                     

                     

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                    “Il y a TOUJOURS le choix dans la Vie.

                    Nos choix font ce que nous sommes.

                    On peut TOUJOURS choisir le Bien ! »

                    (Spiderman 3)

                     

                     

                     

                    THINK, les mecs, THINK…

                     

                     

                    VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

                     

                     

                    Article 131-3 :

                    Les peines correctionnelles encourues par les personnes physiques sont :

                    1° L’emprisonnement ;

                    2° L’amende ;

                    3° Le jour-amende ;

                    4° Le travail d’intérêt général ;

                    5° Les peines privatives ou restrictives de droits prévues à l’article 131-6 ;

                    6° Les peines complémentaires prévues à l’article 131-10.

                     

                    Article 311-14 :

                    Les personnes physiques coupables de l’une des infractions prévues au présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes :

                    1° L’interdiction des droits civiques, civils et de famille, suivant les modalités prévues par l’article 131-26 ;

                    2° L’interdiction, suivant les modalités prévues par l’article 131-27, d’exercer une fonction publique ou d’exercer l’activité professionnelle

                    ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, cette interdiction étant définitive ou provisoire dans les cas prévus aux articles 311-6 à 311-10 et pour une durée de cinq ans au plus dans les cas prévus aux articles 311-3 à 311-5 ;

                    3° L’interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de cinq ans au plus, une arme soumise à autorisation ;

                    4° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit, à l’exception des objets susceptibles de restitution ;

                    5° L’interdiction de séjour, suivant les modalités prévues par l’article 131-31, dans les cas prévus par les articles 311-6 à 311-10.

                     

                    Article 321-1 :

                    Le recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d’intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose provient d’un crime ou d’un délit.

                    Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d’un crime ou d’un délit.

                    Le recel est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 2 500 000 F (400 000 €) d’amende.

                    Article 322-1 :

                    La destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 200 000 F (30 000 €) d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger.

                    Le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins, sans autorisation préalable, sur les façades, les véhicules, les voies publiques ou le mobilier urbain est puni de 25 000 F (4000 €) d’amende lorsqu’il n’en est résulté qu’un dommage léger.

                     

                    (Sources : justice.gouv.fr)

                     

                    ******************

                     

                     

                    Non, non, tous les voleurs ne passent pas TOUTES les mailles du "filet" !

                    J’ en connais 2…

                    Si chacun en connaît 2, ça fait du monde…

                     

                    ************

                     

                    ALORS, les "lecteurs" du Forum intéressés par le bizness "larcin", hmmmmmmmmm ? ? ?

                    (Même si ce n’ est 1 pour 100 des 14 000 Forumers de "notre" merveilleux Site => cela nous amène tout de même à "toucher" quelques 140 "prospects" du vol (! ! !)… qui ne constitueront, hélas, qu’ 1 INFIME partie de "l’ iceberg"… mais, bon…).

                    ALORS les mecs ? ? ?

                     

                    VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

                     

                     

                    Garde à vue :

                    Définition.

                    Durée de la garde à vue.

                    Information du procureur.

                    Déroulement de la garde à vue.

                    Droits des personnes placées en garde à vue.

                    Présence d’un avocat.

                    Cas des mineurs placés en garde à vue.

                    Fin de la garde à vue.

                    Où s’ adresser pour toute information ?

                    **********

                     

                    Définition :

                    C’est une mesure par laquelle un officier de police judiciaire (gendarme ou fonctionnaire de police), retient dans les locaux de la police ou de la gendarmerie, pendant une durée légalement déterminée, toute personne, qui pour les nécessités de l’enquête, doit rester à la disposition des services de police.

                    Qui peut être placé en garde à vue ?

                    Une personne peut être gardée à vue afin d’être interrogée, si elle a commis un crime ou un délit ou s’il existe à son encontre une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tenté de commettre une infraction.

                    Seuls les suspects peuvent être placés en garde à vue.

                    Le cas des témoins :

                    Le témoin ne peut être gardé à vue dans le cadre d’une enquête.

                    Lorsqu’il n’existe aucune raison plausible de soupçonner qu’il a commis ou tenté de commettre une infraction, il ne peut être retenu par l’officier de police judiciaire que le temps strictement nécessaire à son audition.

                    Toutefois, un témoin peut être gardé à vue lorsque l’officier de police judiciaire agit sur délégation du juge d’instruction.

                    Il est alors tenu de comparaître, de prêter serment et de déposer.

                    S’il ne comparaît pas il peut y être contraint par la force publique et il encourt une amende de 3 750 EUR .

                     

                    Quelle est la durée de la garde à vue ?

                    La garde est de vingt-quatre heures.

                    Elle peut être prolongée de vingt-quatre heures, soit quarante-huit heures maximum, sur autorisation écrite du procureur de la République.

                    En cas de trafic et d’usage de drogue et pour les affaires de terrorisme, la garde à vue peut être de quatre jours.

                     

                    Information du procureur :

                    En cas d’enquête de flagrance, de commission rogatoire et d’enquête préliminaire, le procureur de la République doit être informé immédiatement du placement en garde à vue d’une personne.

                    A l’issue du délai de vingt-quatre heures, la personne gardée à vue doit lui être obligatoirement présentée.

                     

                    Déroulement de la garde à vue :

                    La prolongation de garde à vue sans présentation de l’intéressé peut, à titre exceptionnel, être décidée par le procureur de la République.

                    L’autorisation est écrite et motivée.

                    A l’expiration du délai maximal de quarante-huit heures, la personne gardée à vue doit obligatoirement être remise en liberté ou présentée au procureur de la République ou au juge d’instruction qui décideront alors de son sort.

                    Lorsqu’il est indispensable pour les nécessités de l’enquête de procéder à des investigations corporelles internes sur une personne gardée à vue, celles-ci ne peuvent être réalisées que par un médecin requis à cet effet.

                     

                    L’officier de police judiciaire peut s’ opposer au droit de prévenir votre famille s’il estime que cela peut porter tort à l’enquête. Dans ce cas, le procureur de la République, prévenu sans délai, doit trancher.

                    Examen médical :

                    Vous pouvez demander à être examiné par un médecin durant les vingt-quatre premières heures de garde à vue.

                    Un membre de la famille peut demander un examen médical à défaut de demande faite par l’intéressé, par l’officier de police judiciaire ou le procureur de la République.

                    Présence d’un avocat :

                    La personne gardée à vue peut s’entretenir avec un avocat dès le début de sa garde à vue. En cas de prolongation, cet entretien peut avoir lieu dès le début de la prolongation (soit à l’issue de vingt-quatre heures).

                    Pour les gardes à vue concernant les faits de participation à une association de malfaiteurs, de proxénétisme aggravé, d’extorsion de fonds, de destruction ou de vol commis en bande organisée, l’entretien avec un avocat ne peut intervenir qu’à l’issue d’un délai de quarante-huit heures.

                    Ce délai est porté à soixante-douze heures pour les gardes à vue concernant les affaires de terrorisme ou de trafic de stupéfiants.

                    L’entretien est confidentiel, il ne peut excéder trente minutes.

                    L’avocat peut présenter des observations qui seront jointes à la procédure.

                     

                    Personnes mineures placées en garde à vue :

                    Les déclarations d’un mineur gardé à vue doivent faire l’objet d’un enregistrement audiovisuel.

                    Ces enregistrements ne pourront être visionnés qu’avant l’audience du jugement, en cas de contestation du contenu du procès verbal de police.

                     

                    Fin de la garde à vue :

                    A l’expiration d’un délai de six mois à compter de la fin de la garde à vue, toute personne gardée à vue, qui n’a pas fait l’objet de poursuites, peut interroger le procureur de la République sur la suite donnée, ou susceptible d’être donnée, à la procédure.

                    Cette demande doit être adressée par lettre recommandée avec accusé de réception.

                    Cette possibilité ne concerne pas les personnes gardées à vue pour des faits tels que la participation à une association de malfaiteurs, de proxénétisme aggravé, d’extorsion de fonds, de destruction ou de vol commis en bande organisée.

                     

                    Pour toute information, s’adresser :

                    • au service d’accueil et de renseignements du tribunal de grande instance,

                    • au service de consultation gratuite des avocats (se renseigner auprès de la mairie, du tribunal d’instance ou de grande instance),

                    • à un avocat.

                     

                    (Sources : https://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F2807.xhtml?&n=Justice&l=N14)

                     

                    **********************

                     

                    Perso, ça m’fait flipper GRAVE car je connais.

                    ALORS les mecs ? ? ?

                     

                     

                    VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

                     

                     

                    Et que dire, que faire, que penser…

                    …lorsque l’ on vient « violer » votre local, votre garage, vous soustraire l’ objet de tant d’ attentions, votre jardin (secret), votre « histoire », cet endroit de Vie bien à vous, lorsque l’ on vous a, sans demander (…), touché, cassé des « objets inanimés » (comme disait DEVOS) mais ayant une Ame…

                    Cela vous est bien sûr arrivé, à de maintes reprises, Messieurs les voleurs ; & comme vous êtes blindés, purs & durs, inoxydables, imperturbables, COURAGEUX, uniques, forts… vous ne ressentez jamais rien de perturbant, rien de traumatisant (le traumatisme, la déception, l’ amertume, l’ émotion, l’ affection & son équilibre fragile… sont pour les faibles…).

                     

                    Ouais, ben, on ne doit pas être du même « moule » car, sachez, ou reconnaissez que lorsque, tout honnête (naïf pour vous) qu’ il est, un jeune, un moins jeune, un petit Enfant découvre que son objet « transitionnel » a disparu, non pas de sa belle mort, mais du fait de quelques-uns d’ entre vous, il va, en ouvrant la porte ou en écoutant le récit… :

                    1 /Rester incrédule face à pourtant ce qu’ il peut constater de visu… & par l’ absence.

                    En effet, après s’ être projeté de diverses manières, toutes aussi profondes les unes que les autres, à travers cet (ces) objet ; après avoir vécu un type de relation très particulière, voire intime, avé lui ; après avoir été si attaché à cet objet que la relation avé d’ autres éléments de son environnement lui semblait + aisée (Eh, oui, la Moto, ça peut aider…) ; le voilà peut-être SEUL…

                    2 / Etre impuissant face à ce désastre émotionnel.

                    3 / Nourrir toutes les rancoeurs face à ce Destin, ce Monde, cette Société, face à lui-même (ou ses Proches).

                    4 / Refouler, intérioriser (si vous voulez) ses sentiments (une « sorte » de stress post-traumatique) OU à contrario, laisser jaillir sa colère ou (&) sa haine…(Pulsion de vengeance qui va l’ orienter dans une recherche de « son » voleur… pour diminuer la tension…).

                    5 / Engager toutes les actions possibles & imaginables (… + ou moins légales…) pour récup son bien OU

                    tout laisser tomber pour soit assumer (moralement car financièrement…), soit regretter, se projeter vers le…passé, capituler…

                    Quels dégâts !

                     

                     

                    SAISISSEZ, Messieurs les voleurs, que vous « dépouillez » + que souvent des Adultes aux moyens limités mais également des TITOUS, des Petit(e)s à qui le Papa Noël a fait le cadeau du Rêve, des Enfants, tout simplement, dont la faiblesse n’ a d’ égal que leur innocence & incompréhension face à ce monde que vous faussez…

                    Des Enfants, qui deviendront « adultes », des Adultes qui aimeraient tant préserver leur descendance des effets de votre morbidité, espérons-le (je le sais !), non rédhibitoire.

                     

                     

                    Vos faits d’ armes voudraient que nous versions tous inexorablement vers une vision manichéenne, éminemment désolante, de notre Système ;

                    je m’ y refuse, j’ ai été coupable, j’ ai été victime, je sais qu’ il existe pour TOUS, une issue ;

                    A vous de réfléchir, à nous de construire.

                     

                     

                    THINK.

                     

                     

                     

                    Que la Vie vous soit belle, les mecs, et calmez-vous un peu.

                     

                     

                     

                     

                    #972084
                    marcomoto
                    Participant

                       

                       

                      VOLEUR de MOTOS, JE TE PARLE ! ! ! ! ! ! ! !

                       

                       

                      Quoi ? Tu voles des motos ? Encore ?

                      Pourquoi t’ es GRAVE de chez GRAVE ?

                      Ah, ouais, yo, ta reum & padre sont pas là pour te caresser les côtelettes…

                      J’ hallucine => t’ as pas besoin de tes Parents pour voler donc pas besoin pour piger que c’qu’tu fais, c’ est pas d’la balle du tout ; c’ est la misère, c’ est d’la merde à 2 €.

                      J’t’l’dis : faut être mongol d’ une force ! Prendre des risques ça comme pour faire le beau devant les Poteaux & les poufs.

                      Ne viens pas m’dire qu’ y a pas 1 Grand Frère qui tourne rond !

                      Bien sûr qu’ y en a ! Ben, ouais, ces mecs-là, ils se sont sortis les doigts du CUL ; marre de tes sketches, de ta « Vie », de faire du mal à des PETITS en leur chourant leurs brêles, etc.

                      Z’ ont fait marcher leur cervelle pour trouver des bons trips (=> j’veux dire : occupations !) à défaut de taffer !

                      Pourquoi faire comme les 2-3 branleurs de ton coin, pourquoi pas imiter les goods ?

                      Trop mortel ton Futur…

                      « Violer » des garages, « entrer » sans demander, toucher, casser, voler, perturber, emmerder, traumatiser, affaiblir, déséquilibrer des Hommes et des Minots => ‘tain, faut vraiment être trop courageux !

                      Devant tant d’ innocence, t’ es vraiment désolant, mon pôv père…

                      Tu f’ras quoi dans 5 ans : zonzon, mort, maniaco-depressif, criminel, shooté, banni ou Papa travailleur normal ?

                      Si tu fais partie d’ une bande et qu’ elle est si organisée qu’ça, pourquoi on t’retrouve en récidive tous les 2 ans au trou (Bilans Police Nationale) ? ? ?

                      Le marché de l’ occase se portera bien sans toi, tu sais ?

                      Tu te porteras très bien sans « lui »…

                      T’en as pas marre desfois ; ça doit t’gonfler !

                      Piquer des cross pour flamber 2 heures sur 2-3 parkings & pas pouvoir la r’vendre car tu connais personne ou qu’c’ est trop risqué OU la revendre & s’faire braquer après… Mwouarf…

                      Ou peut-être que t’ es un mec sans soupçon, qu’ as fait son « trou » dans la Société => dans ce cas, la kleptomanie et ses dérives, ça s’soigne. Maintenant, tu l’sais ; plus d’ excuses…

                      Ben, mec, la montée d’ adrénaline, tu l’ auras quand tu verras ta reum & tes p’tits Frères pleurer en te voyant serré par la « cavalerie » cause tes conneries ! (Baaah, c’ est déjà fait…)

                      Et quand un mec va t’loger une bastos dans la tête parcequ’ il a cru qu’tu en voulais à ses ENFANTS…

                      Et pis, desfois, on vient pour que dalle ; le mec, il a foutu sa charrette ailleurs ou y’a les Voisins ou trop d’ Alarmes ou trop compliqué. Mwouaaarfff !

                      Ah, ouais, faut chouraver les richous ; sont ripoux avec leur fric & toi, t’as que dalle… Ben, ouais.. Ouais, ouais, c’ est achement dur à trouver ça ! Tu l’ as trouvé tout seul ? ? ?

                      Mort de rire comment qu’tu passes pour un mauvais revendeur avec tes casses à la mord-moi l’nœud.

                      Aucun risque, tu fais le genre j’ assure, mais tu braques qd y’ a personne ou qd y’ a rien à perdre ! Pfffffffffffff ! ! !

                      Minable, la honte style looser ! Pourquoi ne pas entrer dans le Commissariat & leur montrer ce qu’ t’ as réussi à chourer sous leur nez ? Ca, ça a d’la gueule ; ça fait l’chasseur qui « chasse » mais qui laisse sa proie repartir « vivante » quand il tombe dessus => c’ est beau, non ?

                      Oui, mais non, tu peux pas, t’ as des codes de merde à respecter.

                      Ah, jusqu’ à quel âge les codes de merde à respecter, Man ? Jusqu’ au zonzon, la tôle, la prison, le mitard, jusqu’ à la mort ? ? ?

                      Comment qu’t’ es lourd… Tu fais exprès ou c’ est genre, je suis pas idiot mais j’suis tout petit & malheureux, alors j’préfère les conneries comme les « autres » ?

                      Et pis, perso, tu kiffes ta race d’ en parler à ta Cop, à ta Famille ?

                      Perso, ça m’f’rait crever de honte…

                      Décidément, y’ a qu’d’chi (à part les gars du coin, les volés… la Police) pour s’ intéresser à toi. Ben merde alors, c’ est très con, ça !

                      Pour un mec qu’ a besoin d’faire le beau, y’ a pas grand mode au balcon…

                      T’ es fier ou tu planques ton magot dès qu’ y a les keufs ?

                      Ah, c’ est vrai, t’ es avec 30 copains quand les condés déboulent… Tu parles, c’ est des VRAIS Copains, ça, t’ es sûr, mwouaaaarfff…

                      Le premier qui peut balancer l’ autre pour éviter d’ aller s’faire racketer (voire PIRE !) en cabane, il le fait ! ! !

                      T’ assumes rien même dans tes vidéos sur le Net => y’ a pas l’ adresse pour v’nir te pécho ! ! !

                      Ho, man, tu sais quand ça stoppe c’bazar ? => au gnouf !

                      Ca s’ arrête pas ça comme, c’ est d’la coc ton trip… sauf que à un moment, tu verras, STOP, y’ a les perdreaux, une Femme, des Enfants, l’ âge… la maturité…

                      A moins qu’tu piges un jour (AVANT qu’ il ne soit trop tard) qu’ y a des tonnes d’trucs à faire dans la Vie => Sports, Associations pour les Jeunes, les Petits, pour la Vie des Quartiers, se faire des Potes, des VRAIS !

                      Pense à Toi, bordel ! ! !

                      Trouve-toi une Poule, une VRAIE, qui t’ Aime ; ça change la Vie…

                      Moi aussi, j’suis passé par la case trou, violon, si tu préfères. Y’a quelques années pour « Coups & Blessures » mais j’ m’ suis racheté une Vie (suis pas un Saint ni curé quand même…) mais j’n’fais d’mal à personne.

                      Maintenant, y’ a des mots que tu entendras encore OU qu’tu n’ entendras plus JAMAIS => prison,

                      maison d’arrêt, cachot, cellule, geôle, pénitencier, dépôt, bagne, centrale, maison de correction, emprisonnement, détention, incarcération, réclusion…

                      J’t’ propose pas mon aide perso (quoique) mais l’ aide de la Société dans laquelle on vit TOUS… et crois-moi, y’ a pire comme système => chez nous, on coupe pas les mains des voleurs, ailleurs, si ! ! !

                      C’ est toi qui gère, c’ est ta Vie..

                      Ca, tu piges !

                      Perso, bonjour l’ angoisse, j’m’prends plus la tête depuis longtemps, je drive. Le panard !

                      ________________________

                      QUE LA VIE TE SOIT BELLE, quand tu auras compris !

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                      Marco, jamais désabusé car il a « vu »

                      06.63.153.933 + [email protected]

                       

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                      Tortosa, ex-truand, ex-taulard, peintre et pédagogue.

                       

                      Ex-truand fiché au grand banditisme, ex-taulard à la Santé pendant 22 ans, François Tortosa :

                       

                      "En 1977, j’ai été incarcéré au 42, rue de la Santé. En 2007, j’expose au… 100, rue de la Santé! Il m’aura fallu 30 ans pour parcourir une centaine de mètres et passer de l’ombre à la lumière", raconte-t-il avec humour à l’AFP.

                       

                       

                      "J’ai en moi une plaie qui ne guérira jamais.

                      J’ai fait mourir ma mère et mon père par mes actes.

                      J’ai beau me noyer dans la peinture, je ne pourrai pas les faire revenir.

                      J’ai payé, mais je ne peux effacer mon passé de truand".

                       

                       

                       

                      Il y met pourtant une ardeur décuplée par son besoin de rédemption, travaillant avec les enfants handicapés de quartiers difficiles, comme à l’Institut médico-éducatif de Bobigny.

                      "J’établis un lien affectif avec eux, je suis devenu comme un papa, un vieux frère".

                      Tortosa était d’ailleurs parti pour être instituteur. "Seulement, dit-il, j’ai basculé dans le banditisme. J’ai été arrêté… Arrêté par le Commissaire Broussard, incarcéré comme "DPS" (détenu particulièrement surveillé, autrement dit dangereux), il ne songe qu’à s’évader.

                       

                       

                      "J’ai eu une chance inouïe d’avoir ces mains tendues.

                      Mais je m’inquiète pour ces gosses qui échouent en prison.

                      Parce qu’ on ne leur y apprend rien.

                      Telle que la prison est conçue actuellement, il est impossible d’échapper à la récidive.

                      Les murs vous enlèvent tout.

                      Votre avenir, votre passé, vos espoirs, vos larmes, votre rire.

                      Les murs vous assèchent.

                      Ceux qui ne sont pas des criminels endurcis le deviendront".

                       

                      "Et en même temps, ça enrichit mon Moi profond.

                      Quand je travaille avec des handicapés mentaux, y compris des autistes, je compense ce que je n’ai pas su faire auprès de mes trois fils…

                      J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                      "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                      "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                      "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                      "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                      "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                      "J’ai transformé ma vanité de truand en orgueil d’honnête homme".

                       

                       

                       

                      "Pitchic’art", Musée Singer-Polignac, Centre hospitalier Sainte-Anne, 1 rue Cabanis, Paris 14e. Du 8 juin au 8 juillet. Tous les jours de 14 h à 19h (sauf mardi).

                       

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                      VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! !

                       

                       

                      Sympa le zonzon qd on s’fait gauler => => =>

                       

                       

                      " Une heure, un jour, j’ai tout perdu. Je me suis retrouvé seul dans une cellule. J’ai compris alors la vanité de bien des choses et l’hypocrisie de bien des hommes.

                      J’ai vécu les premiers mois de détention en référence constante aux camps de concentration. Ce souvenir me donnait de la force. Vingt ans plus tôt, j’avais tenu le coup. Pourquoi lâcher prise ? Le désarroi m’envahissait en pensant à ma femme, si jeune encore. Tout juste vingt-cinq ans et deux petites filles qui parlaient à peine. Dans la tempête, il est plus facile d’être seul. Quand on y entraîne les siens, les choses deviennent obscures.

                      Aujourd’hui encore, des souvenirs de coursive, de fenêtres ouvertes sur le béton, de nuits d’angoisse, d’ennui à couper au couteau, remontent parfois à la surface. Ce ne sont pas des images anodines. Le corps se met en berne, lourd et fatigué. Le ciel devient blafard. Je me suis senti soudain comme un prisonnier en cavale, dont l’esprit échafaude mille solutions pour ne pas être renvoyé en cellule.

                      Aucune solidarité humaine ne pourra jamais empêcher l’enfermement d’attaquer les prisonniers dans ce qu’ils ont de meilleur. Comme la rouille érode le fer, la prison détruit. C’est un pourrissoir moral. L’uniformité des jours m’écrasait. J’étais nourri, chauffé, logé. Je n’avais plus aucune initiative, aucune responsabilité. Chaque heure, chaque minute, il fallait résister à la destruction de soi.

                      Au fil des mois, l’angoisse devint mon ennemie familière : l’impuissance, l’accablement des aubes sans oubli, l’ennui monstrueux que rien ne pouvait combler. L’angoisse montait à intervalles réguliers, comme une marée puissante, bousculant les résolutions, la volonté, le courage. C’était une lutte exténuante qui se déroulait dans un cadre morne, toujours semblable, dont la règle était la régularité oppressante des horaires.

                      J’ai compris en prison ce que pouvait être la vocation monastique, la contemplation. Certes, le moine choisit sa condition. Mais le monastère et la détention sont des expériences similaires. Dehors, la liberté se dissout parfois dans l’agitation. L’enfermement peut développer une force intérieure qui peut être plus grande que la violence qui nous est faite. C’est ce qui m’a sauvé plusieurs fois dans ma vie.

                      A ma sortie, en dehors de l’oasis familiale, j’ai connu une sorte de trou noir. Je ne reconnaissais plus ni les lieux, ni les gens, ni les enseignes, ni les voitures. Je me sentais étranger dans un monde étranger. Je n’avais plus de papiers d’identité, plus de carnet de chèques, plus de maison, plus de métier. Pour de longs mois encore, j’étais un citoyen de second rang.

                      On m’invita à Paris quelques jours, et ce fut pire encore. J’avais une sensibilité exacerbée, presque obsessionnelle, vis-à-vis de la vanité, de l’hypocrisie, des tiroirs à double fond de la comédie humaine. On me posait des questions imbéciles sur ma détention. La moindre manifestation maladroite, qu’elle fût de mépris ou de flatterie, réveillait ma colère.

                      Il s’en est fallu d’un rien pour que je bascule dans une délectation tragique et un puits d’amertume.

                       

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                      https://www.prison.eu.org/article.php3?id_article=591 =>

                       

                      Convention européenne pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants :

                      Article 1er :

                      Il est institué un Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (ci-après dénommé : "le Comité"). Par le moyen de visites, le Comité examine le traitement des personnes privées de liberté en vue de renforcer, le cas échéant, leur protection contre la torture et les peines ou traitements inhumains ou dégradants.

                       

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                      https://www.prison.eu.org/rubrique.php3?id_rubrique=718 =>

                      Conditions de vie du quartier discplinaire ou "mitard" – 01/05/02

                      Courrier 2 de Joelle Aubron, prisonnière d’Action Directe – 18/04/04

                      Courrier adressé à des parlementaires sur l’usage disproportionné de la violence à la MA de Fleury-mérogis – 11/04/07

                      Détenue à Moulins – 23/03/04

                      Empêchements au quotidien… – 02/10/03

                      Enquête sur la vétusté de la MA de Mulhouse et la violence de l’enfermement. – 29/01/04

                      Familles Citoyen-détenu : régime de vie dans les Prisons – 13/05/05

                      Je viens dénoncer haut et fort les conditions de vie de la MA de Fleury – 01/04/04

                      Jean-Marc Rouillan porte plainte contre la Maison centrale de Moulins – 29/05/04

                      Jérôme Bouthier dénonce des brimades – 06/09/03

                      Kamel Douadi : une fouille qui tourne mal – 10/11/02

                      l’A4DF veut dénoncer les conséquences de la surpopulation carcérale – 20/01/04

                      Le vote des prisonnier(e)s en France rendu impossible ? – 14/09/05

                      Mikel Otegi a été agressé par un surveillant – 17/10/05

                      Prisonnier politique basque aux baumettes militant en greve de la soif, puis de la faim subit des tortures tant physiques que morales de la part de la penitentiaire…. – 05/12/05

                      Refus de colis de Noël – 16/01/04

                      Réinsertion en prison ou l’école de la haine – 12/01/04

                      Stefan Philippe dénonce des brimades – 05/09/03

                       

                       

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                      https://www.prison.eu.org/article.php3?id_article=8554 =>

                       

                      1019 Jours de détention… en Maison d’Arrêt.

                      Extrait de la correspondance adressée à ma fille, pour lui présenter mes conditions de détention et mon « nouveau » cadre de vie.

                      Premier jour :

                      Ta « bonne » résolution de m’écrire me réjouit, mais il faut que tu saches que le courrier suit le trajet suivant avant de t’arriver et/ou de m’arriver :

                      Quand je t’écris, le courrier part à 7 h de ma cellule, « ouvert » c’est-à-dire non collé.

                      Comme je suis « prévenu », il transite chez le Juge d’Instruction qui a « un droit de regard » pour les besoins de l’instruction… et qui l’expédie… quand il a le temps. En pratique, il faut compter de 7 à 10 jours. Pour le courrier que je reçois, il arrive à la prison qui le fait transiter par le Juge d’Instruction qui le re-expédie à la prison, qui me le remet « ouvert », vers 11h30.

                      Lorsque je serai « condamné », puisque la vérification se fera sur place, cela ira donc plus vite.

                      Continuons notre visite.

                      Je vais te présenter ma nouvelle "résidence".

                      On peut y être pour quelques jours, quelques mois, quelques années…

                      En arrivant, ce qui impressionne, c’est le nombre de portes : 4 pour arriver à "l’accueil", pour faire 15 m.

                      A l’accueil (le greffe), passage obligé à toute entrée ou sortie, m’ont quitté mes accompagnateurs (la police). Là, c’est de nouveau, état-civil, signes particuliers, photo, empreintes digitales et/ou empreintes biométriques.

                      Depuis 2004, la prise d’empreintes digitales (toute la main) sans encre, avec relais informatique et donc photo + signes particuliers est mise en place et sert à tous les déplacements (sorties de l’établissement) et lors de contact avec les gens de l’extérieur (parloir) pour éviter la substitution d’individu…

                      C’est au greffe que t’est attribué un numéro d’écrou que tu gardes jusqu’à ta sortie (si on doit y revenir, c’est un numéro nouveau). Pour moi : 37876.

                      En fait, c’est un numéro chronologique et par comparaison avec un ancien et un nouvel entrant, je me suis rendu compte qu’il y avait une centaine d’entrées par mois (au 01/11/02 – la moyenne est passée à 115 sur 10 mois).

                      Et comme le nombre total de détenus ne varie que de 10 à 20 par mois, on peut considérer qu’il y a aussi une centaine de sorties (libération ou transfert vers un autre lieu) – cela fait beaucoup de "mouvements"…, plus de 200… par mois.

                      Après cette première étape, c’est la "fouille" (qui a lieu chaque fois que tu vas être ou as été en contact avec l’extérieur). Il s’agit de se déshabiller entièrement et les vêtements sont palpés. Ce qui est recherché, ce sont les stupéfiants (sous toutes leurs formes) et/ou un objet pouvant être dangereux et/ou les téléphones portables. Tu te rhabilles et on te prend ce qui ne t’est pas indispensable, une liste en est faite. On ne te laisse que montre, alliance, médaille religieuse. Tes papiers d’identité sont pris. A priori, les piercings ne sont pas tolérés – personne n’en a. J’ai oublié de te dire que l’argent que tu as sur toi est pris à l’accueil, il est mis sur ton compte individuel (pécule) qui est à ta disposition pour "cantiner".

                      Il n’y a aucune circulation d’argent. Ainsi, ayant été incarcéré 2 jours avant la mise en circulation de l’euro… à ce jour, je n’en ai jamais vu (en vrai)…

                      A la fouille, on appelle aussi ce lieu « vestiaire », tu reçois ton paquetage (comme à l’armée), c’est-à-dire housse de matelas, draps, couvertures (2), affaires de toilette de première nécessité : brosse à dents, dentifrice, crème à raser, rasoirs jetables, papier hygiénique, savon, serviette et gant de toilette + vaisselle (assiette, verre, bol, cuillère à soupe et à café, fourchette, couteau qui ne coupe pas…).

                      A l’accueil, avaient été donnés également 2 livrets sur la vie en prison et une série d’étiquettes que tu vas distribuer dans les premiers jours, dans tous les services où tu vas passer. Est également faite, une carte d’identité interne avec photo et empreinte digitale…

                      Après la fouille, tu es amené, avec ton gros paquetage informe et difficile à porter, au centre de la détention, sorte de PC, charnière de toutes les directions, c’est là que j’ai appris l’étage et le n° de ma cellule.

                      J’y suis allé et je m’y suis installé.

                       

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                      https://www.prison.eu.org/article.php3?id_article=8563 =>

                      La violence… en prison.

                      1019 Jours de détention… en Maison d’Arrêt.

                      Extrait de la correspondance adressée à ma fille, pour lui présenter mes conditions de détention et mon « nouveau » cadre de vie.

                      La violence :

                      Comme tu le sais, dans une prison, c’est comme dans la vie « dehors », il y a de tout… et l’on ne choisit pas ses voisins… donc, il faut faire avec… et avec un peu de bon sens, la cohabitation est possible.

                      Ce qui ne veut pas dire que « tout » est facile et cool…

                      On m’interroge souvent, de dehors, sur la violence qui habite la prison. Je dirai qu’elle est latente et présente à chaque instant, mais aussi, qu’elle se manifeste rarement.

                      Il est vrai que des efforts sont faits pour l’éviter, mais pas tous les efforts (et mesures) qui pourraient l’être.

                      Pour expliquer le risque de conflits, il faut faire l’état de la population existante, ici, et en faire plusieurs recoupements.

                      En premier lieu, il y a les prévenus (ceux qui ne sont pas jugés) et qui sont donc en attente d’une décision qui ne leur appartient plus, puisque tout le monde le dit, ici et dehors, le jugement (audience) ne modifie que très rarement l’intime-conviction de la police (qui fait l’enquête) et des juges (procureur, juge d’instruction, juges) qui décident… à charge, trop rarement à décharge…

                      La deuxième catégorie de détenus est celle des condamnés : « ils exécutent » leur peine. En théorie, si la peine dépasse 12 mois, l’intéressé devrait quitter la Maison d’arrêt « rapidement » pour un Centre de détention (CD) où la vie et la réinsertion y sont meilleures…

                      Pour le départ en CD, en pratique, il n’y a pas de « normes » et l’impression est que c’est « à la tête du client ».

                      Cette première différenciation fait que le prévenu est « moins calme », plus « mal dans sa peau », en fait « plus inquiet », car même si l’on sait que l’on va être condamné, il reste toujours une « certaine » incertitude, de plus, venant d’arriver, il doit s’adapter à cette nouvelle « vie » et à ses contraintes, ce qui ne se fait pas toujours sans casse.

                      Le second critère qui fait que la violence peut naître, réside dans le fait que chacun a son « délit » : une bonne majorité de détenus sont là pour un problème de stupéfiants (consommation, dealer, passeur) et ils arrivent en rafale, un bon tiers fait l’objet d’accusations (vraies ou fausses) d’agressions sexuelles de toutes sortes (ils sont appelés les « pointeurs »).

                      A cela, il faut rajouter les voleurs, braqueurs, délits de la route et de l’alcool, agressions physiques et assassinat… Certains ne sont là, souvent, que pour quelques mois, mais ils reviennent « souvent ». Pour ma part, avec 2 ou 3 autres, peut-être, je suis l’exception qui ne rentre pas dans une catégorie à risques.

                      A ce critère, il faut rajouter celui de l’origine culturelle : 90 % d’origine étrangère, si ce n’est plus (beaucoup en 2ème génération), les 3/4 du Magreb, mais aussi des russes, colombiens, roumains, gitans, turcs, tchèques, etc…

                      A cela, se rajoute le critère d’âge, la moitié a moins de 35 ans, les plus vieux (plus de 50 ans) sont très souvent, a priori, qualifiés de « pointeurs », même si ce n’est pas le cas : à toi d’imposer la vérité et la différence….

                      Il y a aussi les clans et, en particulier, celui des « stupéfiants » qui fait bloc et méprise les autres. Le mépris se manifeste physiquement et, ainsi, s’il est « coutume » de se serrer la main pour se dire bonjour ou lorsque l’on arrive dans un groupe (activité ou bibliothèque ou autre), beaucoup refusent de serrer la main aux pointeurs.

                      Une des premières préoccupations, lors de l’arrivée d’un nouveau, est de savoir « pourquoi » il est là, et les journaux sont souvent là pour relater le fait divers, ou, c’est l’interrogation directe : dissimuler ou transformer la vérité est très mal « appréciée » lorsque la vérité se sait.

                      Par obligation, je dirais que, « les pointeurs » sont particulièrement « protégés » par l’administration, et ce, non sans raison, car ils sont très souvent « agressés » verbalement et souvent « physiquement » (surtout s’ils ont exercé leur perversion (maladie) sur des mineurs).

                      Ainsi, la promenade dite « auxi » (entre midi) est également « réservée » aux pointeurs qui ont eu des problèmes d’agressions.

                      La violence se manifeste le plus souvent pour des motifs très « futiles » et de façon « imprévisible ». Elle se manifeste par une empoignade, voire quelques coups « réels » et blessant qui nécessitent le passage à l’infirmerie. Et ce, aussi bien, en cellule, avec un co-détenu, que dans les couloirs, aux douches, en promenade ou en sport.

                      Il est vrai que sur demande, il est relativement facile de changer de cellule si on trouve un autre co-détenu qui accepte (il faut une double demande), mais cela ne résout pas tout…

                      Toute violence physique (entre détenus et/ou avec un surveillant) ou verbale (vis-à-vis d’un surveillant) fait l’objet d’un « rapport » qui est suivi d’un passage au « prétoire » (sorte de tribunal interne) qui se solde par un non-lieu, une peine de quelques jours (maxi 45) de mitard (cachot) avec sursis ou ferme et parfois une suite « judiciaire », s’il y a plainte.

                      En règle générale, les deux protagonistes sont sanctionnés, si le responsable (l’origine) du conflit n’est pas « clairement » reconnu.

                      Le passage au prétoire est souvent redouté car, très souvent, suivi de mitard et en pratique d’une prolongation de la durée de la peine (par la suppression des remises de peines), ce qui fait, qu’en pratique, et c’est cela qui me semble pernicieux, en cas de conflit « devant témoins », rares sont les interventions et remises au calme (par un tiers), car on craint toujours de se voir pris dans la bagarre et, au final, se retrouver en la place « principale »… le conflit ayant changé d’intervenants…

                      Tout cela n’est pas simple… mais en fait… même si j’ai eu connaissance de quelques mauvais coups (nez cassé, chute dans les escaliers, etc…), on ne peut pas dire que la violence soit omniprésente, au moins ici, ailleurs, je ne sais… mais le sentiment général fait que l’on est souvent sur la défensive et que les sujets « chauds » de discussions sont « évités » et, en fait, la plaisanterie n’a pas souvent cours… car cela peut être mal interprété et devenir source de conflit… aussi l’ambiance franche de « camaraderie » ne peut avoir lieu qu’entre un noyau au demeurant « restreint » et sans témoin, car une mauvaise interprétation est toujours à craindre… et la déformation (le colportage) de ce que l’on a dit… se produit très (trop) vite…

                       

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                      (2006) Blog 20 Nouvelle destination = le Centre de détention – 15/10/06

                      (2006) Blog 21 Arrivée en Centre de détention… – 16/10/06

                      (2006) Blog 22 Remises de peines… – 17/10/06

                      (2006) Blog 23 Survivre, c’est s’occuper… – 18/10/06

                      (2006) Blog 24 Un nouveau style de prison = Programme 13.000 – 19/10/06

                      (2006) Blog 25 La vie en Centre de détention… – 20/10/06

                      (2006) Blog 26 Gens du "dedans"… gens du "dehors" – 21/10/06

                      (2006) Blog 27 Quelques "mots" à connaître… un lexique perso – 22/10/06

                      (2006) Blog 28 Une perm… pour quoi faire…. – 23/10/06

                      (2006) Blog 29 La sortie… il y a en toujours une – 24/10/06

                      (2006) Blog 30 Tradition oblige… – 25/10/06

                      (2006) Blog 31 Parlons de l’ambiance "Parloirs"… – 28/10/06

                      (2006) Blog 32 Tout peut être utile… un jour – 28/10/06

                      (2006) Blog 33 L’affaire… qui mène en prison… parfois, souvent – 29/10/06

                      (2006) Blog 34 Où est l’autorité… ? – 30/10/06

                      (2006) Blog 35 Le bruit…. – 31/10/06

                      (2006) Blog 36 Comment "voyage" un détenu ? – 31/10/06

                      (2006) Blog 37 Droits et Obligations : les parloirs… – 01/11/06

                      (2006) Blog 38 Droits et Obligations : Parlons "Santé" – 02/11/06

                      (2006) Blog 39 " C’est bon de le savoir… " – 03/11/06

                      (2006) Blog 40 "Affectation… pour les longues peines… un leurre" – 04/11/06

                      (2006) Blog 41 "La récidive… " – 05/11/06

                      (2006) Blog 42 " La discipline… " – 06/11/06

                      (2006) Blog 43 " Gens du "dedans"… gens du "dehors" " – 07/11/06

                      (2006) Blog 44 " Le détenu a des droits…à faire respecter " – 08/11/06

                      (2006) Blog 45 " La sortie…cela se prépare… " – 11/11/06

                      (2006) Blog 46 " Les parloirs… un moment privilégié ??? " – 12/11/06

                      (2006) Blog 47 " La sortie… elle se prépare " – 13/11/06

                      (2006) Blog 48 " La sortie… elle se prépare " – 16/10/06

                      (2006) Blog 48 " Quelques réflexions " – 14/11/06

                      (2006) Blog 49 " En guise de conclusion " – 15/11/06

                      (2006) Blog 50 " L’affaire… " – 16/11/06

                      (2006) Blog 51 "Le mot de la fin " – 18/12/06

                      (2006) Blog 52 " Utilité et/ou Inutilité de la prison… " – 19/11/06

                      (2006) Blog 53 Ma prison… ou la prison, telle que je la voudrais… – 19/11/06

                      (2006) Blog 54 Coût de "Ma prison…" – 16/12/06

                       

                       

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                      => la CONSECRATION pour 1 voleur… Yeaaaah, j’ ai connu… J’suis fort, ouais, j’suis costaud ds ma tête…

                      => l’ ABOUTISSEMENT, plutôt, non ?

                       

                       

                       

                      Gaffe, les mecs ! ! ! ! ! ! ! !

                      Que la Vie vous soit belle… encore un peu…

                      ________________

                      VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! !

                       

                       

                      Voleurs de moto(s), voleurs de moto(s), vous trouvez ça frolichon comme carte de visite, terrible, vraiment valorisant, glorifiant ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      On peut l’ écrire sur 1 CV ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      C’ est utile pour la Vie future, celle de quelqu’ 1 qui veut vivre normalement, être ou continuer de représenter 1 Exemple aux yeux de ses Enfants ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Le vol de motos est-il si gratifiant pour que vous en preniez le risque (pénal, social… voire physique ! ! !) ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Ca rapporte tant que ça (j’n’parle plus de reconnaissance) à long terme ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Ca rapporte la Gloire & en +, on devient richissime ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous mobilisez 1 bonne partie de vos NRJ car en définitive, c’ est très simple & pas risqué du tout de revendre ces motos ou pièces ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous accédez à 1 Statut, 1 niveau + élevé car notre Société vous montre toute sa gratitude (Retraites beaucoup + importantes pour les voleurs car vous payez vos charges Sécu, URSSAF, sociales, CSG, CRDS, vos Impôts de Micro-Entreprise, BIC Bénéfices Industriels & Commerciaux…) ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Bref, vous êtes en règle avé la Loi, hein ? Tout à fait adaptés, intégrés, heureux de vivre ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous n’ avez jamais de revers, jamais de souci, jamais de prob avé qui que ce soit (Intermédiaires, commanditaires, Police, Gendarmerie, votre conscience, votre Famille, les témoins, « l’ emprunté », la Justice, les revendeurs, les receleurs, les complices) ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      La Vie est belle, facile, vous avez la fortune… mais c’ est « drôle », vous r’commencez quand même…

                      Hmmmm ? ? ?

                      Avé les vols de motos, ce qui est super bien, c’ est que vous montrez votre grande & puissante virilité d’ Homme ; vous vous assumez pleinement, vous exaltez les Vertus du Mâle => le Courage, la force, l’ Intelligence, ah, ouais ! (…)

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous vous structurez, vous trouvez votre voie, votre Personnalité grâce à ces « expériences » irremplaçables !

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous êtes bénis des Dieux ( & de la Justice des Hommes) puisque vous « débarrassez » les cons de riches ou les cons de jeunes ou les cons de naïfs ; les cons.

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous faîtes même des blogs mais c’ est marrant… Y’ a pas une adresse fiable pour vous contacter pour acheter des pièces ; merde alors… C’ est pas bien, ça, niveau marketing.

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous vous entrainez au 100 m ou au 5000 m si, par « bonheur », vous trouvez 1 camarade de jeu qui veut vous faire la peau car il vous a pris en flag ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Ca doit quand même être du taf à « remaquiller » pour revendre toutes ces motos ou pièces ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Et puis, ça doit pas être toujours facile de rester discret, sans aucune trace, preuve. Ben, ouais, de nos jours, les portables (tél & ordi) sont indispensables mais ça peut parler… Quel métier !

                      Hmmmm ? ? ?

                      Le + facile, c’ est quand vous volez des motos à 1 Team ; apparemment, ils ne s’ y attendent pas …& puis, ils ont tous les moyens, bien sûr !

                      Hmmmm ? ? ?

                      De toute façon, dépouiller des Champions, pô grave, suffit de débrancher 1 peu le cerveau rayon fierté, honneur ou truc de ce genre, & roule ma poule !

                      Hmmmm ? ? ?

                      Et, pas de carte grise, juste quelques n° à limer & à refaire, & comme personne ne regarde de très près, vous ne vous emmerdez pas trop (enfin, si,1 peu quand même…).

                      Hmmmm ? ? ?

                      Un bidule 1 peu chiant, c’ est que vous dormez mal ou pas assez ; ben, ouais, vous êtes déphasés car souvent vous « bossez » la nuit. Alors, forcément, vous voyez toujours les mêmes « têtes » & question drague, c’ est pas terrible…

                      Hmmmm ? ? ?

                      Ah, autre chose, heureusement, vous, voleurs de motos, vous vous y connaissez en mécanique (& j’vous parle pas question Pilotage, vous êtes des chefs !) ; bref, quand vous n’ avez plus d’ huile, vous en prenez dans 1 autre moto ou mieux, + rapide & moins dangereux, vous la brûlez & balancez ds 1 décharge…

                      Hmmmm ? ? ?

                      Un des (très) rares probs, c’ est « l’ outillage », bon, ça coûte 1 peu cher au début (surtout quand dans la panique, vous en oubliez « sur place »), c’ est lourd & pas toujours adapté… surtout que maintenant, y’ a des malins qui ont des Alarmes anti-détection, anti-vibration & anti-intrusion (reliées au téléphone…) voire avé les gaz incapacitants, voire les 3 Pittbulls (ça, c’ est le + difficile…). M’ enfin, comme dit Gaston, on a rien sans rien.

                      Hmmmm ? ? ?

                      Y’ en a même qui mettent des pitons, des chaînes des U, des bloque-disques, qui enlèvent 1 roue, le CDI… Bon, vous vous barrez avé c’que vous pouvez, genre le matos, les outils, l’ équipement, la moto du Petit, les VTT, le « Karcher ». Elle est pô belle la Vie ?

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous avez même des terrains bien à vous, où vous pouvez « rouler »… Bon, quelques fois, 1 ancien proprio de moto vient avé ses Potes mais vous essayez de vous barrer avant ;comme ça, pas d’bobo pour vous & puis de toute façon, vous êtes forts alors vous préférez vous tirer.

                      Hmmmm ? ? ?

                      Vous en parlez ouvertement à tout le monde, à vos Parents, à votre Copine (si elle n’ est pas du même « milieu »), à votre petite Sœur (si elle est toute mimi & honnête), à vos VRAIS Amis, à votre Famille (entière), à vos voisins, à vos Collègues ? ? ?

                      Hmmmm ? ? ?

                       

                       

                       

                      NON ? Aaaah… Ben, tiens…

                       

                       

                       

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                      “Il y a TOUJOURS le choix dans la Vie.

                      Nos choix font ce que nous sommes.

                      On peut TOUJOURS choisir le Bien ! »

                      (Spiderman 3)

                       

                       

                       

                      THINK, les mecs, THINK…

                       

                       

                      VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

                       

                       

                      Article 131-3 :

                      Les peines correctionnelles encourues par les personnes physiques sont :

                      1° L’emprisonnement ;

                      2° L’amende ;

                      3° Le jour-amende ;

                      4° Le travail d’intérêt général ;

                      5° Les peines privatives ou restrictives de droits prévues à l’article 131-6 ;

                      6° Les peines complémentaires prévues à l’article 131-10.

                       

                      Article 311-14 :

                      Les personnes physiques coupables de l’une des infractions prévues au présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes :

                      1° L’interdiction des droits civiques, civils et de famille, suivant les modalités prévues par l’article 131-26 ;

                      2° L’interdiction, suivant les modalités prévues par l’article 131-27, d’exercer une fonction publique ou d’exercer l’activité professionnelle

                      ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, cette interdiction étant définitive ou provisoire dans les cas prévus aux articles 311-6 à 311-10 et pour une durée de cinq ans au plus dans les cas prévus aux articles 311-3 à 311-5 ;

                      3° L’interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de cinq ans au plus, une arme soumise à autorisation ;

                      4° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l’infraction ou de la chose qui en est le produit, à l’exception des objets susceptibles de restitution ;

                      5° L’interdiction de séjour, suivant les modalités prévues par l’article 131-31, dans les cas prévus par les articles 311-6 à 311-10.

                       

                      Article 321-1 :

                      Le recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d’intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose provient d’un crime ou d’un délit.

                      Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d’un crime ou d’un délit.

                      Le recel est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 2 500 000 F (400 000 €) d’amende.

                      Article 322-1 :

                      La destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 200 000 F (30 000 €) d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger.

                      Le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins, sans autorisation préalable, sur les façades, les véhicules, les voies publiques ou le mobilier urbain est puni de 25 000 F (4000 €) d’amende lorsqu’il n’en est résulté qu’un dommage léger.

                       

                      (Sources : justice.gouv.fr)

                       

                      ******************

                       

                       

                      Non, non, tous les voleurs ne passent pas TOUTES les mailles du "filet" !

                      J’ en connais 2…

                      Si chacun en connaît 2, ça fait du monde…

                       

                      ************

                       

                      ALORS, les "lecteurs" du Forum intéressés par le bizness "larcin", hmmmmmmmmm ? ? ?

                      (Même si ce n’ est 1 pour 100 des 14 000 Forumers de "notre" merveilleux Site => cela nous amène tout de même à "toucher" quelques 140 "prospects" du vol (! ! !)… qui ne constitueront, hélas, qu’ 1 INFIME partie de "l’ iceberg"… mais, bon…).

                      ALORS les mecs ? ? ?

                       

                      VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

                       

                       

                      Garde à vue :

                      Définition.

                      Durée de la garde à vue.

                      Information du procureur.

                      Déroulement de la garde à vue.

                      Droits des personnes placées en garde à vue.

                      Présence d’un avocat.

                      Cas des mineurs placés en garde à vue.

                      Fin de la garde à vue.

                      Où s’ adresser pour toute information ?

                      **********

                       

                      Définition :

                      C’est une mesure par laquelle un officier de police judiciaire (gendarme ou fonctionnaire de police), retient dans les locaux de la police ou de la gendarmerie, pendant une durée légalement déterminée, toute personne, qui pour les nécessités de l’enquête, doit rester à la disposition des services de police.

                      Qui peut être placé en garde à vue ?

                      Une personne peut être gardée à vue afin d’être interrogée, si elle a commis un crime ou un délit ou s’il existe à son encontre une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tenté de commettre une infraction.

                      Seuls les suspects peuvent être placés en garde à vue.

                      Le cas des témoins :

                      Le témoin ne peut être gardé à vue dans le cadre d’une enquête.

                      Lorsqu’il n’existe aucune raison plausible de soupçonner qu’il a commis ou tenté de commettre une infraction, il ne peut être retenu par l’officier de police judiciaire que le temps strictement nécessaire à son audition.

                      Toutefois, un témoin peut être gardé à vue lorsque l’officier de police judiciaire agit sur délégation du juge d’instruction.

                      Il est alors tenu de comparaître, de prêter serment et de déposer.

                      S’il ne comparaît pas il peut y être contraint par la force publique et il encourt une amende de 3 750 EUR .

                       

                      Quelle est la durée de la garde à vue ?

                      La garde est de vingt-quatre heures.

                      Elle peut être prolongée de vingt-quatre heures, soit quarante-huit heures maximum, sur autorisation écrite du procureur de la République.

                      En cas de trafic et d’usage de drogue et pour les affaires de terrorisme, la garde à vue peut être de quatre jours.

                       

                      Information du procureur :

                      En cas d’enquête de flagrance, de commission rogatoire et d’enquête préliminaire, le procureur de la République doit être informé immédiatement du placement en garde à vue d’une personne.

                      A l’issue du délai de vingt-quatre heures, la personne gardée à vue doit lui être obligatoirement présentée.

                       

                      Déroulement de la garde à vue :

                      La prolongation de garde à vue sans présentation de l’intéressé peut, à titre exceptionnel, être décidée par le procureur de la République.

                      L’autorisation est écrite et motivée.

                      A l’expiration du délai maximal de quarante-huit heures, la personne gardée à vue doit obligatoirement être remise en liberté ou présentée au procureur de la République ou au juge d’instruction qui décideront alors de son sort.

                      Lorsqu’il est indispensable pour les nécessités de l’enquête de procéder à des investigations corporelles internes sur une personne gardée à vue, celles-ci ne peuvent être réalisées que par un médecin requis à cet effet.

                       

                      L’officier de police judiciaire peut s’ opposer au droit de prévenir votre famille s’il estime que cela peut porter tort à l’enquête. Dans ce cas, le procureur de la République, prévenu sans délai, doit trancher.

                      Examen médical :

                      Vous pouvez demander à être examiné par un médecin durant les vingt-quatre premières heures de garde à vue.

                      Un membre de la famille peut demander un examen médical à défaut de demande faite par l’intéressé, par l’officier de police judiciaire ou le procureur de la République.

                      Présence d’un avocat :

                      La personne gardée à vue peut s’entretenir avec un avocat dès le début de sa garde à vue. En cas de prolongation, cet entretien peut avoir lieu dès le début de la prolongation (soit à l’issue de vingt-quatre heures).

                      Pour les gardes à vue concernant les faits de participation à une association de malfaiteurs, de proxénétisme aggravé, d’extorsion de fonds, de destruction ou de vol commis en bande organisée, l’entretien avec un avocat ne peut intervenir qu’à l’issue d’un délai de quarante-huit heures.

                      Ce délai est porté à soixante-douze heures pour les gardes à vue concernant les affaires de terrorisme ou de trafic de stupéfiants.

                      L’entretien est confidentiel, il ne peut excéder trente minutes.

                      L’avocat peut présenter des observations qui seront jointes à la procédure.

                       

                      Personnes mineures placées en garde à vue :

                      Les déclarations d’un mineur gardé à vue doivent faire l’objet d’un enregistrement audiovisuel.

                      Ces enregistrements ne pourront être visionnés qu’avant l’audience du jugement, en cas de contestation du contenu du procès verbal de police.

                       

                      Fin de la garde à vue :

                      A l’expiration d’un délai de six mois à compter de la fin de la garde à vue, toute personne gardée à vue, qui n’a pas fait l’objet de poursuites, peut interroger le procureur de la République sur la suite donnée, ou susceptible d’être donnée, à la procédure.

                      Cette demande doit être adressée par lettre recommandée avec accusé de réception.

                      Cette possibilité ne concerne pas les personnes gardées à vue pour des faits tels que la participation à une association de malfaiteurs, de proxénétisme aggravé, d’extorsion de fonds, de destruction ou de vol commis en bande organisée.

                       

                      Pour toute information, s’adresser :

                      • au service d’accueil et de renseignements du tribunal de grande instance,

                      • au service de consultation gratuite des avocats (se renseigner auprès de la mairie, du tribunal d’instance ou de grande instance),

                      • à un avocat.

                       

                      (Sources : https://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F2807.xhtml?&n=Justice&l=N14)

                       

                      **********************

                       

                      Perso, ça m’fait flipper GRAVE car je connais.

                      ALORS les mecs ? ? ?

                       

                       

                      VOLEURS de MOTOS, JE VOUS PARLE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

                       

                       

                      Et que dire, que faire, que penser…

                      …lorsque l’ on vient « violer » votre local, votre garage, vous soustraire l’ objet de tant d’ attentions, votre jardin (secret), votre « histoire », cet endroit de Vie bien à vous, lorsque l’ on vous a, sans demander (…), touché, cassé des « objets inanimés » (comme disait DEVOS) mais ayant une Ame…

                      Cela vous est bien sûr arrivé, à de maintes reprises, Messieurs les voleurs ; & comme vous êtes blindés, purs & durs, inoxydables, imperturbables, COURAGEUX, uniques, forts… vous ne ressentez jamais rien de perturbant, rien de traumatisant (le traumatisme, la déception, l’ amertume, l’ émotion, l’ affection & son équilibre fragile… sont pour les faibles…).

                       

                      Ouais, ben, on ne doit pas être du même « moule » car, sachez, ou reconnaissez que lorsque, tout honnête (naïf pour vous) qu’ il est, un jeune, un moins jeune, un petit Enfant découvre que son objet « transitionnel » a disparu, non pas de sa belle mort, mais du fait de quelques-uns d’ entre vous, il va, en ouvrant la porte ou en écoutant le récit… :

                      1 /Rester incrédule face à pourtant ce qu’ il peut constater de visu… & par l’ absence.

                      En effet, après s’ être projeté de diverses manières, toutes aussi profondes les unes que les autres, à travers cet (ces) objet ; après avoir vécu un type de relation très particulière, voire intime, avé lui ; après avoir été si attaché à cet objet que la relation avé d’ autres éléments de son environnement lui semblait + aisée (Eh, oui, la Moto, ça peut aider…) ; le voilà peut-être SEUL…

                      2 / Etre impuissant face à ce désastre émotionnel.

                      3 / Nourrir toutes les rancoeurs face à ce Destin, ce Monde, cette Société, face à lui-même (ou ses Proches).

                      4 / Refouler, intérioriser (si vous voulez) ses sentiments (une « sorte » de stress post-traumatique) OU à contrario, laisser jaillir sa colère ou (&) sa haine…(Pulsion de vengeance qui va l’ orienter dans une recherche de « son » voleur… pour diminuer la tension…).

                      5 / Engager toutes les actions possibles & imaginables (… + ou moins légales…) pour récup son bien OU

                      tout laisser tomber pour soit assumer (moralement car financièrement…), soit regretter, se projeter vers le…passé, capituler…

                      Quels dégâts !

                       

                       

                      SAISISSEZ, Messieurs les voleurs, que vous « dépouillez » + que souvent des Adultes aux moyens limités mais également des TITOUS, des Petit(e)s à qui le Papa Noël a fait le cadeau du Rêve, des Enfants, tout simplement, dont la faiblesse n’ a d’ égal que leur innocence & incompréhension face à ce monde que vous faussez…

                      Des Enfants, qui deviendront « adultes », des Adultes qui aimeraient tant préserver leur descendance des effets de votre morbidité, espérons-le (je le sais !), non rédhibitoire.

                       

                       

                      Vos faits d’ armes voudraient que nous versions tous inexorablement vers une vision manichéenne, éminemment désolante, de notre Système ;

                      je m’ y refuse, j’ ai été coupable, j’ ai été victime, je sais qu’ il existe pour TOUS, une issue ;

                      A vous de réfléchir, à nous de construire.

                       

                       

                      THINK.

                       

                       

                       

                      Que la Vie vous soit belle, les mecs, et calmez-vous un peu.

                       

                       

                       

                       

                      #972085
                      fafoulspyder
                      Participant

                         UP

                        #972086
                        fafoulspyder
                        Participant

                           UP

                          #972087
                          marcomoto
                          Participant

                             

                            Hello PACDU13,

                             

                            => va chercher Bonheur avec 48 bonnes ID expérimentées (vers la fin de ce post).

                            Que la Vie te soit belle.

                             

                             

                            #972088
                            marcomoto
                            Participant

                               

                              Hello PACDU13,

                               

                              => va chercher Bonheur avec 48 bonnes ID expérimentées (vers la fin de ce post).

                              Que la Vie te soit belle.

                               

                               

                              #972089
                              julienb89
                              Participant

                                Ayant acheté une moto qui s’averait en fait etre volé, à un vendeur tout ce qui ressemble à un crossman…

                                Ayant ma famille qui travaille au Palais de justice…

                                Je peux répondre à ta question : pourquoi volent ils nos motos ?

                                Parce qu’il n’y a pas d’immatriculations, parce retaper des numéros c’est facile, parce que écouler ces véhicules est facile, parce que trop peu de monde en achetant de l’occase ne vérifie jamais les numéros de série… voilà pourquoi ils volent des cross… et plus de mercedes…

                                Soyez prudent, ne vous vantez pas, enlever une roue, attacher la meme dans votre garage, pas de rendez vous à votre domicile mais chez un concessionaire ou sur un terrain et faite des détours pour rentrer chez vous, etc…, etc …

                                #972090
                                julienb89
                                Participant

                                  Ayant acheté une moto qui s’averait en fait etre volé, à un vendeur tout ce qui ressemble à un crossman…

                                  Ayant ma famille qui travaille au Palais de justice…

                                  Je peux répondre à ta question : pourquoi volent ils nos motos ?

                                  Parce qu’il n’y a pas d’immatriculations, parce retaper des numéros c’est facile, parce que écouler ces véhicules est facile, parce que trop peu de monde en achetant de l’occase ne vérifie jamais les numéros de série… voilà pourquoi ils volent des cross… et plus de mercedes…

                                  Soyez prudent, ne vous vantez pas, enlever une roue, attacher la meme dans votre garage, pas de rendez vous à votre domicile mais chez un concessionaire ou sur un terrain et faite des détours pour rentrer chez vous, etc…, etc …

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