J’avoue avoir été un peu court dans mes explications, alors je me confonds en excuses plus plates les unes que les autres. Pan sur le bec !
Pour restituer le contexte, on est en 1986 à l’époque des la loi Devaquet sur le statut des université. En pleine tourmente (la mort de Malik Oussekine, ça vous dit ?), notre mouvement ayant un syndicat étudiant, le premier dans son université, et le sieur Polac organisant un "débat" sur le sujet, omet tout sinplement de nous inviter, nous la première force syndicale étudiante d’une des plus importantes université de Paris. En plus, nous étions à contre-courant de de la proposition gouvernementale et des idées égalitaristes des syndicats bolchéviques. Il nous semblait donc normal d’en être. De mémoire, on nous en avait fait la promesse mais elle n’a pas tenue.
D’où, notre débarquement au studio pour permettre à nos idées d’être diffusées. Un cerbère un peu trop zélé aura tenté de nous empêcher de rentrer, mais notre force de persuasion intellectuelle aura vaincu cet obstacle…
On avait fait un coup assez semblable avec Jean-francois Kahn et son "évènement du jeudi" qui avait été quelque peu désobligeant avec nous en couverture du journal. Tout en envahissant ses bureaux, nous lui avons offert du champagne en lui expliquant notre action et il nous aura offert en retour une tribune le n° suivant.
La différence entre un valet du régime et un honnète homme.
"321", quand des intermittents du spectacle viennent perturber le festival de Cannes, tu désaprouves ? C’est des fâchistes aussi ?
"321" avec un "nom" comme ça, es-tu un robot ?
, le il y a 11 années et 9 mois.
7.9 € TTC
