Causette Gaëtan Le Hir
Auteur d’un bon début de saison en Supercross SX2, Gaëtan LeHir n’a pu concrétiser face à Yannis Irsuti et Thomas Do. Mauvais départ, soucis techniques l’ont éloignés de la course au titre. Du coup, à 23 printemps, le Parisien a décidé de monter dans la catégorie supérieure, le 450. Un mec à suivre.
Alors tu fais quoi Gaët par ce beau temps ?
” Je vais à la salle. Tous les jours… Y’a que ça à faire, je n’ai pas pu rouler en Angleterre, ni même au Danemark, sur l’épreuve qui s’est disputée ce week-end (ndr, une course remportée par Thomas Ramette). Pas les bons contacts… Jusque là, j’essayais d’éviter le supplice de la salle de sport, mais vu que je vais monter en 450, mon entraîneur ne m’a pas laissé le choix. Après avec le temps, c’est un mal pour un bien…”
Alors ça y est, tu montes dans la cour des grands, le 450 ?
” Ben oui. A 23 ans, il était temps ! Surtout que Honda m’a bien fait comprendre qu’il souhaitait me voir dans la catégorie. Bon, au début, ça m’a soulé parce que j’adore le 250. Je m’éclate vraiment sur cette cylindrée. Mais bon, après pas mal de roulage en 450, je commence à me faire plaisir. Et je suis content de ma montée. Mon père aussi pour le coup ! Financièrement, c’est bien moins coûteux de rouler sur une quatre et demi qu’une deux et demi qui réclame de la préparation et beaucoup d’entretien. Il faut ouvrir, vérifier et changer les pièces toutes les deux courses de supercross, pour nous c’était dur à suivre. Et pour mon père, c’était stressant. Surtout que j’ai cassé deux fois cette année. Bref, le 450, c’est top. Hormis des suspensions préparées, et peut être une courbe d’allumage spécifique, je roulerai avec la CRF stock. On revit !”
Quel est ton programme cette année ?
” Je vais participer aux trois premières du championnat de France Elite. Ça va me permettre de rouler en course avec la 450, de choper la caisse et de prendre la vitesse pour le supercross. Ensuite, selon mes résultats, j’enchaînerai par le SX avec l’ouverture du championnat à Clermont-Ferrand. Si je suis pas trop mal placé, je finirai la saison de MX, sinon, je me mettrai direct à fond dans le SX. Bon, je pense que je ne jouerai pas avec les calibres de la catégorie, je manque vraiment d’expérience pour les suivre, mais encore une fois, ils vont me tirer et je vais apprendre. Ensuite, un truc que j’aimerais, c’est rouler au Touquet l’année prochaine. J’ai regardé la course devant la télé et pendant les trois heures de course, j’étais à bloc. C’est une course qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie !”
En SX, tu vises quel résultat ?
” Alors là ! Je ne sais pas trop. J’ai roulé à Metz pour la finale du SX Tour avec la 450, je me suis qualifié le samedi et franchement j’ai eu du mal. J’ai eu beaucoup de difficultés pour me régler sur les sauts. En 250, ce n’est pas dur, tu mets à fond ! En 450, j’ai fait la même et me suis mis quelques fois très long… J’ai même demandé aux autres pilotes comment il faisait pour se régler (rires) ! Mais bon, ensuite, j’ai roulé à Dortmund pour l’Allemagne et ça s’est mieux passé. J’ai fini second d’une demie finale et sixième de la finale le samedi, le deuxième jour de course. En tout cas, je n’ai pas d’objectif très précis encore. “
Tu bosses seul ?
” Non, Loïc Rombaut qui a lancé son école de pilotage me coache depuis l’année dernière. C’est un gros progrès pour moi car mon père n’était peut être plus assez critique pour me faire progresser. Loïc a un oeil et il sait encore comment rouler vite. C’est chouette, on bosse bien ! A côté de ça, je travaille physiquement avec Philippe Juanole qui me suit depuis 5 ans. Bref, j’ai tout pour y arriver, vivement que 2018 débute !”
Causette Gaëtan Le Hir
Auteur d’un bon début de saison en Supercross SX2, Gaëtan LeHir n’a pu concrétiser face à Yannis Irsuti et Thomas Do. Mauvais départ, soucis techniques l’ont éloignés de la course au titre. Du coup, à 23 printemps, le Parisien a décidé de monter dans la catégorie supérieure, le 450. Un mec à suivre.
Alors tu fais quoi Gaët par ce beau temps ?
” Je vais à la salle. Tous les jours… Y’a que ça à faire, je n’ai pas pu rouler en Angleterre, ni même au Danemark, sur l’épreuve qui s’est disputée ce week-end (ndr, une course remportée par Thomas Ramette). Pas les bons contacts… Jusque là, j’essayais d’éviter le supplice de la salle de sport, mais vu que je vais monter en 450, mon entraîneur ne m’a pas laissé le choix. Après avec le temps, c’est un mal pour un bien…”
Alors ça y est, tu montes dans la cour des grands, le 450 ?
” Ben oui. A 23 ans, il était temps ! Surtout que Honda m’a bien fait comprendre qu’il souhaitait me voir dans la catégorie. Bon, au début, ça m’a soulé parce que j’adore le 250. Je m’éclate vraiment sur cette cylindrée. Mais bon, après pas mal de roulage en 450, je commence à me faire plaisir. Et je suis content de ma montée. Mon père aussi pour le coup ! Financièrement, c’est bien moins coûteux de rouler sur une quatre et demi qu’une deux et demi qui réclame de la préparation et beaucoup d’entretien. Il faut ouvrir, vérifier et changer les pièces toutes les deux courses de supercross, pour nous c’était dur à suivre. Et pour mon père, c’était stressant. Surtout que j’ai cassé deux fois cette année. Bref, le 450, c’est top. Hormis des suspensions préparées, et peut être une courbe d’allumage spécifique, je roulerai avec la CRF stock. On revit !”
Quel est ton programme cette année ?
” Je vais participer aux trois premières du championnat de France Elite. Ça va me permettre de rouler en course avec la 450, de choper la caisse et de prendre la vitesse pour le supercross. Ensuite, selon mes résultats, j’enchaînerai par le SX avec l’ouverture du championnat à Clermont-Ferrand. Si je suis pas trop mal placé, je finirai la saison de MX, sinon, je me mettrai direct à fond dans le SX. Bon, je pense que je ne jouerai pas avec les calibres de la catégorie, je manque vraiment d’expérience pour les suivre, mais encore une fois, ils vont me tirer et je vais apprendre. Ensuite, un truc que j’aimerais, c’est rouler au Touquet l’année prochaine. J’ai regardé la course devant la télé et pendant les trois heures de course, j’étais à bloc. C’est une course qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie !”
En SX, tu vises quel résultat ?
” Alors là ! Je ne sais pas trop. J’ai roulé à Metz pour la finale du SX Tour avec la 450, je me suis qualifié le samedi et franchement j’ai eu du mal. J’ai eu beaucoup de difficultés pour me régler sur les sauts. En 250, ce n’est pas dur, tu mets à fond ! En 450, j’ai fait la même et me suis mis quelques fois très long… J’ai même demandé aux autres pilotes comment il faisait pour se régler (rires) ! Mais bon, ensuite, j’ai roulé à Dortmund pour l’Allemagne et ça s’est mieux passé. J’ai fini second d’une demie finale et sixième de la finale le samedi, le deuxième jour de course. En tout cas, je n’ai pas d’objectif très précis encore. “
Tu bosses seul ?
” Non, Loïc Rombaut qui a lancé son école de pilotage me coache depuis l’année dernière. C’est un gros progrès pour moi car mon père n’était peut être plus assez critique pour me faire progresser. Loïc a un oeil et il sait encore comment rouler vite. C’est chouette, on bosse bien ! A côté de ça, je travaille physiquement avec Philippe Juanole qui me suit depuis 5 ans. Bref, j’ai tout pour y arriver, vivement que 2018 débute !”
Causette Gaëtan Le Hir
Auteur d’un bon début de saison en Supercross SX2, Gaëtan LeHir n’a pu concrétiser face à Yannis Irsuti et Thomas Do. Mauvais départ, soucis techniques l’ont éloignés de la course au titre. Du coup, à 23 printemps, le Parisien a décidé de monter dans la catégorie supérieure, le 450. Un mec à suivre.
Alors tu fais quoi Gaët par ce beau temps ?
” Je vais à la salle. Tous les jours… Y’a que ça à faire, je n’ai pas pu rouler en Angleterre, ni même au Danemark, sur l’épreuve qui s’est disputée ce week-end (ndr, une course remportée par Thomas Ramette). Pas les bons contacts… Jusque là, j’essayais d’éviter le supplice de la salle de sport, mais vu que je vais monter en 450, mon entraîneur ne m’a pas laissé le choix. Après avec le temps, c’est un mal pour un bien…”
Alors ça y est, tu montes dans la cour des grands, le 450 ?
” Ben oui. A 23 ans, il était temps ! Surtout que Honda m’a bien fait comprendre qu’il souhaitait me voir dans la catégorie. Bon, au début, ça m’a soulé parce que j’adore le 250. Je m’éclate vraiment sur cette cylindrée. Mais bon, après pas mal de roulage en 450, je commence à me faire plaisir. Et je suis content de ma montée. Mon père aussi pour le coup ! Financièrement, c’est bien moins coûteux de rouler sur une quatre et demi qu’une deux et demi qui réclame de la préparation et beaucoup d’entretien. Il faut ouvrir, vérifier et changer les pièces toutes les deux courses de supercross, pour nous c’était dur à suivre. Et pour mon père, c’était stressant. Surtout que j’ai cassé deux fois cette année. Bref, le 450, c’est top. Hormis des suspensions préparées, et peut être une courbe d’allumage spécifique, je roulerai avec la CRF stock. On revit !”
Quel est ton programme cette année ?
” Je vais participer aux trois premières du championnat de France Elite. Ça va me permettre de rouler en course avec la 450, de choper la caisse et de prendre la vitesse pour le supercross. Ensuite, selon mes résultats, j’enchaînerai par le SX avec l’ouverture du championnat à Clermont-Ferrand. Si je suis pas trop mal placé, je finirai la saison de MX, sinon, je me mettrai direct à fond dans le SX. Bon, je pense que je ne jouerai pas avec les calibres de la catégorie, je manque vraiment d’expérience pour les suivre, mais encore une fois, ils vont me tirer et je vais apprendre. Ensuite, un truc que j’aimerais, c’est rouler au Touquet l’année prochaine. J’ai regardé la course devant la télé et pendant les trois heures de course, j’étais à bloc. C’est une course qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie !”
En SX, tu vises quel résultat ?
” Alors là ! Je ne sais pas trop. J’ai roulé à Metz pour la finale du SX Tour avec la 450, je me suis qualifié le samedi et franchement j’ai eu du mal. J’ai eu beaucoup de difficultés pour me régler sur les sauts. En 250, ce n’est pas dur, tu mets à fond ! En 450, j’ai fait la même et me suis mis quelques fois très long… J’ai même demandé aux autres pilotes comment il faisait pour se régler (rires) ! Mais bon, ensuite, j’ai roulé à Dortmund pour l’Allemagne et ça s’est mieux passé. J’ai fini second d’une demie finale et sixième de la finale le samedi, le deuxième jour de course. En tout cas, je n’ai pas d’objectif très précis encore. “
Tu bosses seul ?
” Non, Loïc Rombaut qui a lancé son école de pilotage me coache depuis l’année dernière. C’est un gros progrès pour moi car mon père n’était peut être plus assez critique pour me faire progresser. Loïc a un oeil et il sait encore comment rouler vite. C’est chouette, on bosse bien ! A côté de ça, je travaille physiquement avec Philippe Juanole qui me suit depuis 5 ans. Bref, j’ai tout pour y arriver, vivement que 2018 débute !”
Causette Gaëtan Le Hir
Auteur d’un bon début de saison en Supercross SX2, Gaëtan LeHir n’a pu concrétiser face à Yannis Irsuti et Thomas Do. Mauvais départ, soucis techniques l’ont éloignés de la course au titre. Du coup, à 23 printemps, le Parisien a décidé de monter dans la catégorie supérieure, le 450. Un mec à suivre.
Alors tu fais quoi Gaët par ce beau temps ?
” Je vais à la salle. Tous les jours… Y’a que ça à faire, je n’ai pas pu rouler en Angleterre, ni même au Danemark, sur l’épreuve qui s’est disputée ce week-end (ndr, une course remportée par Thomas Ramette). Pas les bons contacts… Jusque là, j’essayais d’éviter le supplice de la salle de sport, mais vu que je vais monter en 450, mon entraîneur ne m’a pas laissé le choix. Après avec le temps, c’est un mal pour un bien…”
Alors ça y est, tu montes dans la cour des grands, le 450 ?
” Ben oui. A 23 ans, il était temps ! Surtout que Honda m’a bien fait comprendre qu’il souhaitait me voir dans la catégorie. Bon, au début, ça m’a soulé parce que j’adore le 250. Je m’éclate vraiment sur cette cylindrée. Mais bon, après pas mal de roulage en 450, je commence à me faire plaisir. Et je suis content de ma montée. Mon père aussi pour le coup ! Financièrement, c’est bien moins coûteux de rouler sur une quatre et demi qu’une deux et demi qui réclame de la préparation et beaucoup d’entretien. Il faut ouvrir, vérifier et changer les pièces toutes les deux courses de supercross, pour nous c’était dur à suivre. Et pour mon père, c’était stressant. Surtout que j’ai cassé deux fois cette année. Bref, le 450, c’est top. Hormis des suspensions préparées, et peut être une courbe d’allumage spécifique, je roulerai avec la CRF stock. On revit !”
Quel est ton programme cette année ?
” Je vais participer aux trois premières du championnat de France Elite. Ça va me permettre de rouler en course avec la 450, de choper la caisse et de prendre la vitesse pour le supercross. Ensuite, selon mes résultats, j’enchaînerai par le SX avec l’ouverture du championnat à Clermont-Ferrand. Si je suis pas trop mal placé, je finirai la saison de MX, sinon, je me mettrai direct à fond dans le SX. Bon, je pense que je ne jouerai pas avec les calibres de la catégorie, je manque vraiment d’expérience pour les suivre, mais encore une fois, ils vont me tirer et je vais apprendre. Ensuite, un truc que j’aimerais, c’est rouler au Touquet l’année prochaine. J’ai regardé la course devant la télé et pendant les trois heures de course, j’étais à bloc. C’est une course qu’il faut faire au moins une fois dans sa vie !”
En SX, tu vises quel résultat ?
” Alors là ! Je ne sais pas trop. J’ai roulé à Metz pour la finale du SX Tour avec la 450, je me suis qualifié le samedi et franchement j’ai eu du mal. J’ai eu beaucoup de difficultés pour me régler sur les sauts. En 250, ce n’est pas dur, tu mets à fond ! En 450, j’ai fait la même et me suis mis quelques fois très long… J’ai même demandé aux autres pilotes comment il faisait pour se régler (rires) ! Mais bon, ensuite, j’ai roulé à Dortmund pour l’Allemagne et ça s’est mieux passé. J’ai fini second d’une demie finale et sixième de la finale le samedi, le deuxième jour de course. En tout cas, je n’ai pas d’objectif très précis encore. “
Tu bosses seul ?
” Non, Loïc Rombaut qui a lancé son école de pilotage me coache depuis l’année dernière. C’est un gros progrès pour moi car mon père n’était peut être plus assez critique pour me faire progresser. Loïc a un oeil et il sait encore comment rouler vite. C’est chouette, on bosse bien ! A côté de ça, je travaille physiquement avec Philippe Juanole qui me suit depuis 5 ans. Bref, j’ai tout pour y arriver, vivement que 2018 débute !”