Mathys Boisramé dispute ce week-end la finale de l’Europe MX 250 à Assen, un championnat qu’il a remporté fin août en Bulgarie. Une belle performance que son manager français Josse Sallefranque analyse en nous dévoilant la personnalité de son poulain. Au fait, si vous ne l’avez pas encore dévoré, vous pouvez retrouver une interview du Breton dans notre dernier Emag…
On a travaillé environ un an et demi ensemble et honnêtement, ça a super bien collé. Nous qui étions un peu déçus des jeunes, notamment parce qu’ils sont vite découragés et un peu superficiels, à s’attacher par exemple au look d’un bandeau de lunettes, on a trouvé un pilote qui a faim et qui sait ce qu’il veut. Il est concentré sur la course, ne lâche rien jusqu’au drapeau à damier et il ne se cherche jamais d’excuse, c’est top. Ça fait plaisir quand tu passes des nuits à travailler sur sa moto.
Techniquement, il demande une chose, des chevaux. Toujours plus ! Cette année, il a pris conscience de l’importance des réglages suspensions et comme on a bien travaillé avec Goby Racing, il a décidé de les conserver pour l’Europe alors qu’il avait à priori la possibilité de rouler avec des éléments usine… Pour l’année prochaine, on ne devrait plus travailler ensemble car il dépendra directement de Honda Europe, mais qui sait, s’il désire rouler en Elite, alors, il se pourrait qu’on lui donne un coup de main. Maintenant, il aura une vingtaine de courses à s’infuser, il aura peut être sa dose !”
Mathys Boisramé dispute ce week-end la finale de l’Europe MX 250 à Assen, un championnat qu’il a remporté fin août en Bulgarie. Une belle performance que son manager français Josse Sallefranque analyse en nous dévoilant la personnalité de son poulain. Au fait, si vous ne l’avez pas encore dévoré, vous pouvez retrouver une interview du Breton dans notre dernier Emag…
On a travaillé environ un an et demi ensemble et honnêtement, ça a super bien collé. Nous qui étions un peu déçus des jeunes, notamment parce qu’ils sont vite découragés et un peu superficiels, à s’attacher par exemple au look d’un bandeau de lunettes, on a trouvé un pilote qui a faim et qui sait ce qu’il veut. Il est concentré sur la course, ne lâche rien jusqu’au drapeau à damier et il ne se cherche jamais d’excuse, c’est top. Ça fait plaisir quand tu passes des nuits à travailler sur sa moto.
Techniquement, il demande une chose, des chevaux. Toujours plus ! Cette année, il a pris conscience de l’importance des réglages suspensions et comme on a bien travaillé avec Goby Racing, il a décidé de les conserver pour l’Europe alors qu’il avait à priori la possibilité de rouler avec des éléments usine… Pour l’année prochaine, on ne devrait plus travailler ensemble car il dépendra directement de Honda Europe, mais qui sait, s’il désire rouler en Elite, alors, il se pourrait qu’on lui donne un coup de main. Maintenant, il aura une vingtaine de courses à s’infuser, il aura peut être sa dose !”
Mathys Boisramé dispute ce week-end la finale de l’Europe MX 250 à Assen, un championnat qu’il a remporté fin août en Bulgarie. Une belle performance que son manager français Josse Sallefranque analyse en nous dévoilant la personnalité de son poulain. Au fait, si vous ne l’avez pas encore dévoré, vous pouvez retrouver une interview du Breton dans notre dernier Emag…
On a travaillé environ un an et demi ensemble et honnêtement, ça a super bien collé. Nous qui étions un peu déçus des jeunes, notamment parce qu’ils sont vite découragés et un peu superficiels, à s’attacher par exemple au look d’un bandeau de lunettes, on a trouvé un pilote qui a faim et qui sait ce qu’il veut. Il est concentré sur la course, ne lâche rien jusqu’au drapeau à damier et il ne se cherche jamais d’excuse, c’est top. Ça fait plaisir quand tu passes des nuits à travailler sur sa moto.
Techniquement, il demande une chose, des chevaux. Toujours plus ! Cette année, il a pris conscience de l’importance des réglages suspensions et comme on a bien travaillé avec Goby Racing, il a décidé de les conserver pour l’Europe alors qu’il avait à priori la possibilité de rouler avec des éléments usine… Pour l’année prochaine, on ne devrait plus travailler ensemble car il dépendra directement de Honda Europe, mais qui sait, s’il désire rouler en Elite, alors, il se pourrait qu’on lui donne un coup de main. Maintenant, il aura une vingtaine de courses à s’infuser, il aura peut être sa dose !”
Mathys Boisramé dispute ce week-end la finale de l’Europe MX 250 à Assen, un championnat qu’il a remporté fin août en Bulgarie. Une belle performance que son manager français Josse Sallefranque analyse en nous dévoilant la personnalité de son poulain. Au fait, si vous ne l’avez pas encore dévoré, vous pouvez retrouver une interview du Breton dans notre dernier Emag…
On a travaillé environ un an et demi ensemble et honnêtement, ça a super bien collé. Nous qui étions un peu déçus des jeunes, notamment parce qu’ils sont vite découragés et un peu superficiels, à s’attacher par exemple au look d’un bandeau de lunettes, on a trouvé un pilote qui a faim et qui sait ce qu’il veut. Il est concentré sur la course, ne lâche rien jusqu’au drapeau à damier et il ne se cherche jamais d’excuse, c’est top. Ça fait plaisir quand tu passes des nuits à travailler sur sa moto.
Techniquement, il demande une chose, des chevaux. Toujours plus ! Cette année, il a pris conscience de l’importance des réglages suspensions et comme on a bien travaillé avec Goby Racing, il a décidé de les conserver pour l’Europe alors qu’il avait à priori la possibilité de rouler avec des éléments usine… Pour l’année prochaine, on ne devrait plus travailler ensemble car il dépendra directement de Honda Europe, mais qui sait, s’il désire rouler en Elite, alors, il se pourrait qu’on lui donne un coup de main. Maintenant, il aura une vingtaine de courses à s’infuser, il aura peut être sa dose !”