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dmr4230 a écrit :dryan a écrit :Ah, je me disais bien qu’il y avait un truc qui clochait chez toi,
Oui mais là c’est parce que le système IA n’est pas encore parfait.
Il s’améliore tous les jours et les progrès en informatique vont dans le bon sens.
Constate toi même, aujourd’hui grâce à cet IA j’arrive à discuter avec toi, dans quelque temps je suis certain que je pourrais échanger avec un supporter de l’OM.
.
Un supporter de quoi?
; )))))
the mx addict a écrit :
Thanks à mon paternel, au GP de Suisse, à MV Spécial Cross, pour m’avoir montré la Voie…
;-)))
… de rien ! Y’avait quoi dans ce Sp Cross 89 ?
Si tu l’avais écris, tu le saurais.
Mon père, mes oncles pratiquaient le motocross. Mes premiers tours de roues c’était en 1977 sur une KTM avec mon père. Pfouaaa je me souviens encore des vibrations de l’engin car je me tenais à la barre centrale du guidon.
Noël 78 l’Italjet rouge est arrivée, j’avais 3 ans. Çà s’était de la Machine de guerre, suspensions et freins au top ;-))).
Ensuite comme Ganja, j’ai enchaîné minivert, cadet, junior, national et les rallyes pour terminer.
ça s’est probablement produit aux tout début des 70’s quand j’ai fait, chez mes grands parents, la découverte d’un bout de film Super 8 d’une vingtaine de secondes du MX/Side inter du patelin voisin.
Double révélation ce jour là.
A l’édition suivante, j’ai tapé très fort l’incruste auprès de mon oncle pour qu’il m’y emmène après le repas familiale dominicale.
Puis, les étapes classiques.
Avec les potes, on s’est lassé des karts fabriqués avec des roues de landau ou roulements à billes pour passer au vélo cross, direction le “trou d’bombe” ou “trou d’l’enfer”
Aprentissage, dans un champ, du passage des vitesses sur une Tobec 125 ou 175 des 50’s sortie de grange.
Premier MJ un soir de mars 1975 parce que la couverture avec Gene Romero (RIP) vainqueur des 200 miles de Daytona était jolie
Les heures de colles pour moi et mon voisin en cours d’allemand parce qu’on apprenait consciencieusement les mots “flat four”, “liquid cooled”, “gold wing”, sous la table.
A 17ans, je voulais ouvrir un magasin de motos pour vendre des DTMX endurisées.
A 20 ans c’était fait sans même avoir demandé le consentement à Papa/Maman
kvalo a écrit :ça s’est probablement produit aux tout début des 70’s quand j’ai fait, chez mes grands parents, la découverte d’un bout de film Super 8 d’une vingtaine de secondes du MX/Side inter du patelin voisin.
Double révélation ce jour là.
A l’édition suivante, j’ai tapé très fort l’incruste auprès de mon oncle pour qu’il m’y emmène après le repas familiale dominicale.
Puis, les étapes classiques.
Avec les potes, on s’est lassé des karts fabriqués avec des roues de landau ou roulements à billes pour passer au vélo cross, direction le “trou d’bombe” ou “trou d’l’enfer”
Aprentissage, dans un champ, du passage des vitesses sur une Tobec 125 ou 175 des 50’s sortie de grange.
Premier MJ un soir de mars 1975 parce que la couverture avec Gene Romero (RIP) vainqueur des 200 miles de Daytona était jolie
Les heures de colles pour moi et mon voisin en cours d’allemand parce qu’on apprenait consciencieusement les mots “flat four”, “liquid cooled”, “gold wing”, sous la table.
A 17ans, je voulais ouvrir un magasin de motos pour vendre des DTMX endurisées.
A 20 ans c’était fait sans même avoir demandé le consentement à Papa/Maman
Alors moi… je suis extrémement curieux de savoir à quoi ressemblait l’aventure d’un jeune de 20 ans qui ouvrait un magasin de moto à cette époque là !
Début des années 80 je suppose ?
Dis… tu veux pas nous raconter ? :)))
swann a écrit :kvalo a écrit :ça s’est probablement produit aux tout début des 70’s quand j’ai fait, chez mes grands parents, la découverte d’un bout de film Super 8 d’une vingtaine de secondes du MX/Side inter du patelin voisin.
Double révélation ce jour là.
A l’édition suivante, j’ai tapé très fort l’incruste auprès de mon oncle pour qu’il m’y emmène après le repas familiale dominicale.
Puis, les étapes classiques.
Avec les potes, on s’est lassé des karts fabriqués avec des roues de landau ou roulements à billes pour passer au vélo cross, direction le “trou d’bombe” ou “trou d’l’enfer”
Aprentissage, dans un champ, du passage des vitesses sur une Tobec 125 ou 175 des 50’s sortie de grange.
Premier MJ un soir de mars 1975 parce que la couverture avec Gene Romero (RIP) vainqueur des 200 miles de Daytona était jolie
Les heures de colles pour moi et mon voisin en cours d’allemand parce qu’on apprenait consciencieusement les mots “flat four”, “liquid cooled”, “gold wing”, sous la table.
A 17ans, je voulais ouvrir un magasin de motos pour vendre des DTMX endurisées.
A 20 ans c’était fait sans même avoir demandé le consentement à Papa/MamanAlors moi… je suis extrémement curieux de savoir à quoi ressemblait l’aventure d’un jeune de 20 ans qui ouvrait un magasin de moto à cette époque là !
Début des années 80 je suppose ?
Dis… tu veux pas nous raconter ? :)))
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Oui, ça m’interesse aussi!
Pareil.
swann a écrit :Alors moi… je suis extrémement curieux de savoir à quoi ressemblait l’aventure d’un jeune de 20 ans qui ouvrait un magasin de moto à cette époque là !
Début des années 80 je suppose ?
Dis… tu veux pas nous raconter ? :)))
Oh, y’a rien de particulièrement glorieux ni inhumain à cet épisode
Les 70’s étaient la meilleure période économique de la France et le marché moto très porteur. Donc, facile et tentant de se lancer dans l’aventure
Je ne vous apprends rien.
De la même façon qu’on voyait des mécaniciens auto se mettre à leur compte avec leur caisse à outils et devenir agent Renault ou Peugeot en 2 temps 3 mouvements, il était fréquent de voir éclore un nouveau magasin de motos un peu partout en France ( je ne me suis pas intéressé au marché européen ;o)
Il fallait 20 000 francs pour créer une sarl à ce moment là.
J’ai touvé 2 illuminés comme moi, un poil + agés, et c’était parti
Dommage que je n’étais pas passionné de jean’s et T shirt, ça rapportait bien plus ;o)
Mais du coup t’es parti avec ta seule passion pour compétence ou t’avais un minimum de bagage “technique” (mécanique ou commerce) ?
On vendait quoi et comment dans un bouclard des 70’s ?
Vous faisiez juste de la mécanique ?
Motos d’occase… neuves ?
J’avoue que j’ai peu connu ces petits magasins indépendants, rapidement j’ai vu les magasins “de marque” se développer… ça me fascine de savoir comment vivait un de ces magasins façon Joe bar team !
Tiens, ça me fait penser qu’à 15 ans, je n’avais qu’une envie, lâcher le bahut dès mon anniversaire suivant pour aller bosser comme arpette dans un bouclard de moto…
Ce qui, chose rarissime, a conduit mon paternel à intervenir, lol…
Il m’a fermement suggéré d’aller passer l’été dans le magasin chez qui j’avais un énoooorme contrat pilote (genre moins 20 sur tout et on t’emmène sur les courses) et de faire le point ensuite…
Ayé, je m’voyais déjà mécano d’usine à monter des culasses DG, des fourches Simons et des amortos Fox…
Au bout d’un mois et demi à trier les casiers à vis, les livraisons de pièces et à changer des kits chaîne sur des 103 de livreurs et des mâchoires de frein sur des MZ, si mon père me l’avait demandé, je l’aurais imploré à genoux pour retourner au lycée…
;-))))
swann a écrit :Mais du coup t’es parti avec ta seule passion pour compétence !
Oui et 5000 francs pour posséder 1/4 de “La Société” ;0))) y a fallu revendre la moto pour réunir la somme
T’as 20 ans, tu vis chez popa moman, la société consomme …… le monde t’appartient ;-))
En 80, y’a un peu moins de 2 millions de chômeurs en France. Les mecs veulent devenir fonctionnaires et les filles en épouser un
Mais moi ( et mes accolytes) on a l’âme de l’ entrepreneur, du bizness man, du trader ;o) et la passion de la moto
Tout appris sur le tas parce que l’économie le permettait. Le marché était porteur détenu à 75 ou 80 % par les japonais qui cherchaient des points de vente.
Pour nous c’est monté jusqu’à 3 principalement avec Honda.
kvalo a écrit :principalement avec Honda.
Tiens, ça me rappelle “Lost”, ton affaire…un récit palpitant pour une fin toute naze !
😉
Un coin de la forêt du Banco près d’Abidjan avait été transformé en piste de MX.
On est passé là par hasard.
Pas plus de 4 gaziers à la fois, avec les premières CR 2t et RM, mid seventies. des sessions de quelques tours, faut dire qu’il fait 35° à l’ombre en permanence…Des sauts jamais vus, de longues glissades en accélérant, se bousculant, des descentes vertiginieuses… Comment était-t’il possible de piloter ainsi, prendre autant de risques au milieu de nulle part, sans moyen médical…juste pour un moment ephémère de plaisir …les sauts et les glissades n’étaient que de quelques mètres au final, mais avec l’odeur de l’huile compétition brûlée, c’est resté définitivement imprimé.
Arrivé en France, Beaucaire ! avec Malherbe, Noyce, Carlqvist et les Fura, Bruno…plus moyen d’y échapper.
dilhat a écrit :kvalo a écrit :principalement avec Honda.
Tiens, ça me rappelle “Lost”, ton affaire…un récit palpitant pour une fin toute naze !
😉
Oui mais moi, depuis toutes ces années Mx2k, j’avançais à couvert en pleine connaissance de notre différent le plus profond :o))))
A cette époque, Maugendre n’était qu’un tremplin pour atteindre Bagnolet ;o))
Et puis la B.O. de Lost, elle est toute naze ;o)
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