Le chir’ peut avoir raison, suivant le contexte.
Le péroné longe le tibia. Le tibia supporte effectivement tout le poids, mais il n’y a pas que le poids du corps à supporter: en bas, en travers des deux, il y a tout l’ensemble de la cheville. Avec divers muscles pour tirer ici et là, on pourrait penser que cette quincaillerie participe de près ou de loin à la mobilité… Il ne doit pas y avoir de hasard, ni d’oubli de l’évolution.
Considérez aussi l’avant-bras. Après le coude, les radius et cubitus, et tous les os du poignet permettent à la main d’effectuer toutes les tâches les plus nobles que le cerveau imagine, et même d’autres tâches suivant l’humeur, que la morale judéo-chrétienne interdit d’expliciter plus en détails.
On ne voit plus les descendants de ceux qui n’avaient pas de péroné: Ils ont tous servi de 4H aux ancêtres de nos lions actuels 😉
– Vous aviez de bons exemples, à examiner l’articulation de vos engins de TP….
– Nul n’est parfait, on a le droit de se tromper.
– C’est vrai que poster fatigué n’est pas toujours le plus efficace pour faire passer une idée…. 🙂
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