Je marche sur les pas de mon père…
On a capté Zachary Pichon, néo pilote 114 Motorsports, lors d’une séance de testing suspensions à Saint-Jean d’Angély. L’occasion de prendre la température sur son changement de team et de monture…
« On a bien bossé avec les gens de Kayaba qui était là pour cette séance de testing même si les conditions n’étaient pas optimales puisqu’il a plu lors de la seconde journée. J’en ai profité pour faire une manche plutôt que tester encore et encore. En tout cas, la moto me va bien telle qu’elle. Je me sens vraiment bien sur la Honda qui est facile et super saine. Je me sens en confiance dessus et j’ai la sensation qu’en virage, je me suis amélioré. Mon feeling est top. Après, niveau moteur, la machine me semble moins nerveuse que la KT, plus souple, mais je n’ai pas encore ma moto de course. On roule encore avec une moto quasi stock puisqu’on se contente d’une culasse et d’un pot. Vivement les premiers moteurs préparés car il me tarde de voir ce que ça donnera sur les pistes un peu molles, là où les KT et Husky se comportent bien en règle générale. Nous attendons les moteurs de notre préparateur, ça devrait bientôt arriver.
Physiquement, je me sens bien à ce stade de la saison, mais je sais que je vais encore progresser. Il me reste encore du temps pour progresser et ça va se faire tout seul en enchaînant les roulages. C’est le programme qui m’attend pour le mois prochain. On part en Sardaigne pour enquiller du roulage dans le sable afin de préparer et la saison, et le championnat d’Italie auquel on va participer. Il me faut plus de roulage dans cette surface, je le sais. Sinon, pour l’entraînement, j’ai maintenant Sébastien Tortelli qui me donne un coup de main. Mon père a conservé sa structure RJ pour permettre au pilote entraîné par Sébastien de rouler sur l’Europe 125 et en « échange », celui-ci me coache sur les entraînements. Il me fait bosser ma vitesse. Ça change des cours avec mon père et c’est positif même si celui-ci reste toujours pas loin.
Autre changement, la présence d’un coéquipier, l’Australien Mitch Evans. Il a 20 ans, est super cool et en plus, il met du gros gaz. Il n’est pas rare qu’il me colle deux secondes de plus et c’est un gros plus de l’avoir à mes côtés car il me tire et me permet d’avoir un repère. Au moins quand on me donne des conseils, je ne discute pas… Il est là pour prouver qu’ils marchent ! En tout cas, mes objectifs sont clairement à la hausse pour cette prochaine année. Je veux finir plus souvent aux portes du top 20 en début de saison, ce que je ne suis pas parvenu à trop faire cette année, pour me rapprocher du top 10 en cours d’année et pourquoi pas envisager quelques top 10 sur la fin… Il me faudra améliorer mes départs, tout comme ma concentration pour éviter ces chutes à répétition qui ont pas mal gâchées ma saison. J’y bosse, notamment avec de la sophrologie…
En tout cas, il se pourrait qu’on me voit sur quelques épreuves de l’Elite si mon calendrier le permet. Je crois qu’il n’y aura pas énormément de concordance de dates, c’est cool. Ça sera un bon entraînement parce que sur le MX2, ça roule vraiment fort devant… »
Je marche sur les pas de mon père…
On a capté Zachary Pichon, néo pilote 114 Motorsports, lors d’une séance de testing suspensions à Saint-Jean d’Angély. L’occasion de prendre la température sur son changement de team et de monture…
« On a bien bossé avec les gens de Kayaba qui était là pour cette séance de testing même si les conditions n’étaient pas optimales puisqu’il a plu lors de la seconde journée. J’en ai profité pour faire une manche plutôt que tester encore et encore. En tout cas, la moto me va bien telle qu’elle. Je me sens vraiment bien sur la Honda qui est facile et super saine. Je me sens en confiance dessus et j’ai la sensation qu’en virage, je me suis amélioré. Mon feeling est top. Après, niveau moteur, la machine me semble moins nerveuse que la KT, plus souple, mais je n’ai pas encore ma moto de course. On roule encore avec une moto quasi stock puisqu’on se contente d’une culasse et d’un pot. Vivement les premiers moteurs préparés car il me tarde de voir ce que ça donnera sur les pistes un peu molles, là où les KT et Husky se comportent bien en règle générale. Nous attendons les moteurs de notre préparateur, ça devrait bientôt arriver.
Physiquement, je me sens bien à ce stade de la saison, mais je sais que je vais encore progresser. Il me reste encore du temps pour progresser et ça va se faire tout seul en enchaînant les roulages. C’est le programme qui m’attend pour le mois prochain. On part en Sardaigne pour enquiller du roulage dans le sable afin de préparer et la saison, et le championnat d’Italie auquel on va participer. Il me faut plus de roulage dans cette surface, je le sais. Sinon, pour l’entraînement, j’ai maintenant Sébastien Tortelli qui me donne un coup de main. Mon père a conservé sa structure RJ pour permettre au pilote entraîné par Sébastien de rouler sur l’Europe 125 et en « échange », celui-ci me coache sur les entraînements. Il me fait bosser ma vitesse. Ça change des cours avec mon père et c’est positif même si celui-ci reste toujours pas loin.
Autre changement, la présence d’un coéquipier, l’Australien Mitch Evans. Il a 20 ans, est super cool et en plus, il met du gros gaz. Il n’est pas rare qu’il me colle deux secondes de plus et c’est un gros plus de l’avoir à mes côtés car il me tire et me permet d’avoir un repère. Au moins quand on me donne des conseils, je ne discute pas… Il est là pour prouver qu’ils marchent ! En tout cas, mes objectifs sont clairement à la hausse pour cette prochaine année. Je veux finir plus souvent aux portes du top 20 en début de saison, ce que je ne suis pas parvenu à trop faire cette année, pour me rapprocher du top 10 en cours d’année et pourquoi pas envisager quelques top 10 sur la fin… Il me faudra améliorer mes départs, tout comme ma concentration pour éviter ces chutes à répétition qui ont pas mal gâchées ma saison. J’y bosse, notamment avec de la sophrologie…
En tout cas, il se pourrait qu’on me voit sur quelques épreuves de l’Elite si mon calendrier le permet. Je crois qu’il n’y aura pas énormément de concordance de dates, c’est cool. Ça sera un bon entraînement parce que sur le MX2, ça roule vraiment fort devant… »
Je marche sur les pas de mon père…
On a capté Zachary Pichon, néo pilote 114 Motorsports, lors d’une séance de testing suspensions à Saint-Jean d’Angély. L’occasion de prendre la température sur son changement de team et de monture…
« On a bien bossé avec les gens de Kayaba qui était là pour cette séance de testing même si les conditions n’étaient pas optimales puisqu’il a plu lors de la seconde journée. J’en ai profité pour faire une manche plutôt que tester encore et encore. En tout cas, la moto me va bien telle qu’elle. Je me sens vraiment bien sur la Honda qui est facile et super saine. Je me sens en confiance dessus et j’ai la sensation qu’en virage, je me suis amélioré. Mon feeling est top. Après, niveau moteur, la machine me semble moins nerveuse que la KT, plus souple, mais je n’ai pas encore ma moto de course. On roule encore avec une moto quasi stock puisqu’on se contente d’une culasse et d’un pot. Vivement les premiers moteurs préparés car il me tarde de voir ce que ça donnera sur les pistes un peu molles, là où les KT et Husky se comportent bien en règle générale. Nous attendons les moteurs de notre préparateur, ça devrait bientôt arriver.
Physiquement, je me sens bien à ce stade de la saison, mais je sais que je vais encore progresser. Il me reste encore du temps pour progresser et ça va se faire tout seul en enchaînant les roulages. C’est le programme qui m’attend pour le mois prochain. On part en Sardaigne pour enquiller du roulage dans le sable afin de préparer et la saison, et le championnat d’Italie auquel on va participer. Il me faut plus de roulage dans cette surface, je le sais. Sinon, pour l’entraînement, j’ai maintenant Sébastien Tortelli qui me donne un coup de main. Mon père a conservé sa structure RJ pour permettre au pilote entraîné par Sébastien de rouler sur l’Europe 125 et en « échange », celui-ci me coache sur les entraînements. Il me fait bosser ma vitesse. Ça change des cours avec mon père et c’est positif même si celui-ci reste toujours pas loin.
Autre changement, la présence d’un coéquipier, l’Australien Mitch Evans. Il a 20 ans, est super cool et en plus, il met du gros gaz. Il n’est pas rare qu’il me colle deux secondes de plus et c’est un gros plus de l’avoir à mes côtés car il me tire et me permet d’avoir un repère. Au moins quand on me donne des conseils, je ne discute pas… Il est là pour prouver qu’ils marchent ! En tout cas, mes objectifs sont clairement à la hausse pour cette prochaine année. Je veux finir plus souvent aux portes du top 20 en début de saison, ce que je ne suis pas parvenu à trop faire cette année, pour me rapprocher du top 10 en cours d’année et pourquoi pas envisager quelques top 10 sur la fin… Il me faudra améliorer mes départs, tout comme ma concentration pour éviter ces chutes à répétition qui ont pas mal gâchées ma saison. J’y bosse, notamment avec de la sophrologie…
En tout cas, il se pourrait qu’on me voit sur quelques épreuves de l’Elite si mon calendrier le permet. Je crois qu’il n’y aura pas énormément de concordance de dates, c’est cool. Ça sera un bon entraînement parce que sur le MX2, ça roule vraiment fort devant… »
Je marche sur les pas de mon père…
On a capté Zachary Pichon, néo pilote 114 Motorsports, lors d’une séance de testing suspensions à Saint-Jean d’Angély. L’occasion de prendre la température sur son changement de team et de monture…
« On a bien bossé avec les gens de Kayaba qui était là pour cette séance de testing même si les conditions n’étaient pas optimales puisqu’il a plu lors de la seconde journée. J’en ai profité pour faire une manche plutôt que tester encore et encore. En tout cas, la moto me va bien telle qu’elle. Je me sens vraiment bien sur la Honda qui est facile et super saine. Je me sens en confiance dessus et j’ai la sensation qu’en virage, je me suis amélioré. Mon feeling est top. Après, niveau moteur, la machine me semble moins nerveuse que la KT, plus souple, mais je n’ai pas encore ma moto de course. On roule encore avec une moto quasi stock puisqu’on se contente d’une culasse et d’un pot. Vivement les premiers moteurs préparés car il me tarde de voir ce que ça donnera sur les pistes un peu molles, là où les KT et Husky se comportent bien en règle générale. Nous attendons les moteurs de notre préparateur, ça devrait bientôt arriver.
Physiquement, je me sens bien à ce stade de la saison, mais je sais que je vais encore progresser. Il me reste encore du temps pour progresser et ça va se faire tout seul en enchaînant les roulages. C’est le programme qui m’attend pour le mois prochain. On part en Sardaigne pour enquiller du roulage dans le sable afin de préparer et la saison, et le championnat d’Italie auquel on va participer. Il me faut plus de roulage dans cette surface, je le sais. Sinon, pour l’entraînement, j’ai maintenant Sébastien Tortelli qui me donne un coup de main. Mon père a conservé sa structure RJ pour permettre au pilote entraîné par Sébastien de rouler sur l’Europe 125 et en « échange », celui-ci me coache sur les entraînements. Il me fait bosser ma vitesse. Ça change des cours avec mon père et c’est positif même si celui-ci reste toujours pas loin.
Autre changement, la présence d’un coéquipier, l’Australien Mitch Evans. Il a 20 ans, est super cool et en plus, il met du gros gaz. Il n’est pas rare qu’il me colle deux secondes de plus et c’est un gros plus de l’avoir à mes côtés car il me tire et me permet d’avoir un repère. Au moins quand on me donne des conseils, je ne discute pas… Il est là pour prouver qu’ils marchent ! En tout cas, mes objectifs sont clairement à la hausse pour cette prochaine année. Je veux finir plus souvent aux portes du top 20 en début de saison, ce que je ne suis pas parvenu à trop faire cette année, pour me rapprocher du top 10 en cours d’année et pourquoi pas envisager quelques top 10 sur la fin… Il me faudra améliorer mes départs, tout comme ma concentration pour éviter ces chutes à répétition qui ont pas mal gâchées ma saison. J’y bosse, notamment avec de la sophrologie…
En tout cas, il se pourrait qu’on me voit sur quelques épreuves de l’Elite si mon calendrier le permet. Je crois qu’il n’y aura pas énormément de concordance de dates, c’est cool. Ça sera un bon entraînement parce que sur le MX2, ça roule vraiment fort devant… »