L’homme du mercredi a encore frappé ! Décidément, pas facile de battre Cooper Webb le jour des enfants. Et pourtant, il a du s’employer sévère pour rester devant un Eli Tomac une fois de plus très à l’aise dans son costume de patron.
Personne n’a pris plus d’argent les mercredis que Cooper Webb depuis Dorothée !
Incroyable de voir que quelques jours seulement suffisent à produire des résultats différents malgré un circuit très similaire, puisqu’une bonne partie du tracé était exactement le même que dimanche. Bon, OK, devant on retrouve toujours les mêmes, notamment ce diable Cooper Webb une nouvelle fois vainqueur, mais pas dans l’ordre. Depuis l’arrivée pour le sprint final à SLC, CW1 n’a terminé que vainqueur ou second, trois fois chaque. Et serait donc le vainqueur du championnat d’Utah avec 147 points, devant Eli Tomac à 140 points et… Zach Osborne, à 121. Ken Roczen ? Loin derrière avec 94 points, ça ne s’invente pas ! Cooper a encore su dégainer quand il le fallait sur son partenaire d’entraînement Zach Osborne, de nouveau très en verve depuis qu’il a retrouvé ses départs, avant de parvenir à maintenir jusqu’au bout une avance minimale pour ne pas subir d’attaque de Tomac. Du très grand Cooper Webb, encore, qui a signé son meilleur chrono au 25e tour sur 29… Motivé, le garçon.
Eli Tomac était pourtant en mission sur cette finale. Après avoir viré bon dernier au premier virage, il n’a fallu que quelques tours pour le voir recoller aux wagons de devant, composé d’Osborne, Webb, Rozcen et Anderson. Du beau monde ! Et s’il a un temps buté sur un Jason enfin à son niveau en finale, il a fini par trouver l’ouverture, avant de ne faire qu’une bouchée de Kenny et Osborne. A-t-il temporisé volontairement ensuite ? Difficile à dire, mais si cette seconde place le prive provisoirement du titre, elle le met aussi en excellente position pour dimanche, avec 22 points d’avance. Confortable.
Belle victoire de Deano en heat. On est moins sûr du pantalon.
Cette fois, Zach Osborne a tenu devant plus longtemps que d’habitude, 22 tours, et a réussi à garder Ken Roczen derrière lui tout en finissant pas loin du tout des deux énervés devant. Autant dire qu’il risque d’être un client en outdoor, où il est d’ordinaire meilleur qu’en SX !
Trois jours après sa victoire rédemptrice, Ken Roczen n’a cette fois pas enflammé les foules, malgré un départ dans le bon wagon. Une nouvelle fois « timide », il a eu quelques occasions de passer Coop’ sans les saisir, avant de céder aux attaques de Tomac. On notera qu’il a eu la possibilité de sortir Eli mais ne l’a pas prise, ce qui est tout à son honneur. Cette fois, le problème n’était pourtant pas physique, puisqu’il signe son meilleur temps à l’avant-dernier tour… Par contre, qui pourrait expliquer pourquoi il ne faisait pas le 1/2/3/3 après le premier virage ? Un enchaînement que tous les autres tops sautaient sans aucun problème, visiblement plus rapide que le sien ? Si vous avez une idée, déposez-là dans le forum, je suis preneur !
Vainqueur dominateur de sa heat, où il d’ailleurs fait à Ken Roczen exactement ce que Kenny lui a fait dimanche dernier en finale, Jason Anderson n’a pas atterri sur le podium mais a montré que le vrai JA21 était toujours là. Et pour ceux qui doute de son implication depuis qu’il a quitté le programme Baker, notez que lui aussi a signé son meilleur chrono tard dans la finale, au 25e tour. Comme Coop’. Du coup, le voici de nouveau à 5 points seulement de Justin Barcia pour la quatrième place finale, ce qui serait un minimum.
Enfin du bon Brayton ! Pas spécialement flashy depuis qu’on est arrivé, à part sur la toute première course, Justin Brayton a profité d’un bon départ pour sécuriser une bonne sixième place, à la lutte avec l’excellent Malcolm Stewart. JB10 s’est bien tenu à l’écart de la bagarre au championnat, non seulement face à son pote Kenny mais aussi face à Eli.
Derrière ces deux-là, le Rookie de l’année ! Oui, c’est tout ce qu’il y a de plus officiel, Martin Davalos, 33 ans, pro depuis 2006, est le rookie de l’année. Isn’t ironic, comme dirait Alanis Morisette. Le pilote du team Tedder a une nouvelle fois été très bon, il faut le reconnaître. Il aurait une nouvelle fois pu s’imposer en heat sans une « martinade », mais a tenu solidement son rang en finale. Costaud, l’équatorien, sur cette fin de saison.
LOL ! 33 ans, pro depuis 2006, marié un enfant… Et Rookie of the year ! Cela dit, grosse saison pour Davalos, bravo.
À part ça, Barcia a signé sa troisième 9e place de SLC. Dure, la fin de saison. Selon les explications données par Justin et Aaron Plessinger, la Yamaha ne marcherait pas au top sur ce sol béton. Plausible, car les deux ne sont pas les mêmes qu’avant le break, ça ne fait pas de doute. Deano Wilson a réussi à remporter sa heat, en contenant Eli Tomac s’il vous plaît, avant de partir derrière en finale. Quand ça ne veut pas !
250 côte est
L’affrontement McElrath/Sexton tant attendu a bien eu lieu ! Les deux n’étaient séparés que de trois points avant cette finale et les deux vainqueurs de heat ont repris où on les avait laissé : loin devant les autres. Une nouvelle fois, c’est la Yam qui est partie devant, mais Sexton était juste là et n’a pas tardé avant de saisir sa chance avec autorité en posant un joli block-pass de SX qui a, en plus, coûté quelques secondes à McElrath qui n’a jamais pu s’en remettre. Avec six points d’avance, rien n’est fait pour Sexton lors du Showdown, mais ça fait tout de même un (mince, certes) tapis de sécurité. Et la façon dont a roulé le garçon a de quoi impressionner. Sûr de lui, très rapide dans les whoops, très vif à se lever après les virages pour éviter les appels assis consommateurs de centièmes, c’est vraiment du bon boulot, qui plus tout en souplesse. Il ne serait pas étonnant qu’il signe rapidement quelques performances en 450, ce Chase Sexton.
Pénibles, ces maux de ventre !
Derrière, Colt Nichols signe une solitaire troisième place, la sienne en ce moment. Mal parti, il a quand même eu à batailler brièvement avec le rookie Pierce Brown, décidément à son aise sur ses terres natales. En fait, il ne manque pas grand chose au pilote KTM à part de la vitesse dans les whoops, un exercice rarement évident pour les rookies…
Jo Shimoda a également fait étalage de ses progrès en prenant une bonne 5e place qui pourrait compter au championnat pour s’offrir Marchbanks, blessé. Ensuite, on retrouve des solides, comme une nouvelle fois le champion Arenacross Kyle Peters, suivi d’Enzo Lopes et de Chris Blose.
Dimanche, c’est donc la grande finale, avec trois titres encore à attribuer, ce qui n’arrive pas si souvent ! Et, cerise sur le gâteau, on pourra la suivre en live sans faire nuit blanche, puisque le coup d’envoi de la soirée est à 21 h. Un programme disponible sur Automoto La Chaîne, par exemple. Sinon, y’a le bonheur est dans le pré sur C8. Et même une femme d’honneur sur Chérie 25, à vous de voir. Nous, la question, elle est vite répondue.
L’homme du mercredi a encore frappé ! Décidément, pas facile de battre Cooper Webb le jour des enfants. Et pourtant, il a du s’employer sévère pour rester devant un Eli Tomac une fois de plus très à l’aise dans son costume de patron.
Personne n’a pris plus d’argent les mercredis que Cooper Webb depuis Dorothée !
Incroyable de voir que quelques jours seulement suffisent à produire des résultats différents malgré un circuit très similaire, puisqu’une bonne partie du tracé était exactement le même que dimanche. Bon, OK, devant on retrouve toujours les mêmes, notamment ce diable Cooper Webb une nouvelle fois vainqueur, mais pas dans l’ordre. Depuis l’arrivée pour le sprint final à SLC, CW1 n’a terminé que vainqueur ou second, trois fois chaque. Et serait donc le vainqueur du championnat d’Utah avec 147 points, devant Eli Tomac à 140 points et… Zach Osborne, à 121. Ken Roczen ? Loin derrière avec 94 points, ça ne s’invente pas ! Cooper a encore su dégainer quand il le fallait sur son partenaire d’entraînement Zach Osborne, de nouveau très en verve depuis qu’il a retrouvé ses départs, avant de parvenir à maintenir jusqu’au bout une avance minimale pour ne pas subir d’attaque de Tomac. Du très grand Cooper Webb, encore, qui a signé son meilleur chrono au 25e tour sur 29… Motivé, le garçon.
Eli Tomac était pourtant en mission sur cette finale. Après avoir viré bon dernier au premier virage, il n’a fallu que quelques tours pour le voir recoller aux wagons de devant, composé d’Osborne, Webb, Rozcen et Anderson. Du beau monde ! Et s’il a un temps buté sur un Jason enfin à son niveau en finale, il a fini par trouver l’ouverture, avant de ne faire qu’une bouchée de Kenny et Osborne. A-t-il temporisé volontairement ensuite ? Difficile à dire, mais si cette seconde place le prive provisoirement du titre, elle le met aussi en excellente position pour dimanche, avec 22 points d’avance. Confortable.
Belle victoire de Deano en heat. On est moins sûr du pantalon.
Cette fois, Zach Osborne a tenu devant plus longtemps que d’habitude, 22 tours, et a réussi à garder Ken Roczen derrière lui tout en finissant pas loin du tout des deux énervés devant. Autant dire qu’il risque d’être un client en outdoor, où il est d’ordinaire meilleur qu’en SX !
Trois jours après sa victoire rédemptrice, Ken Roczen n’a cette fois pas enflammé les foules, malgré un départ dans le bon wagon. Une nouvelle fois « timide », il a eu quelques occasions de passer Coop’ sans les saisir, avant de céder aux attaques de Tomac. On notera qu’il a eu la possibilité de sortir Eli mais ne l’a pas prise, ce qui est tout à son honneur. Cette fois, le problème n’était pourtant pas physique, puisqu’il signe son meilleur temps à l’avant-dernier tour… Par contre, qui pourrait expliquer pourquoi il ne faisait pas le 1/2/3/3 après le premier virage ? Un enchaînement que tous les autres tops sautaient sans aucun problème, visiblement plus rapide que le sien ? Si vous avez une idée, déposez-là dans le forum, je suis preneur !
Vainqueur dominateur de sa heat, où il d’ailleurs fait à Ken Roczen exactement ce que Kenny lui a fait dimanche dernier en finale, Jason Anderson n’a pas atterri sur le podium mais a montré que le vrai JA21 était toujours là. Et pour ceux qui doute de son implication depuis qu’il a quitté le programme Baker, notez que lui aussi a signé son meilleur chrono tard dans la finale, au 25e tour. Comme Coop’. Du coup, le voici de nouveau à 5 points seulement de Justin Barcia pour la quatrième place finale, ce qui serait un minimum.
Enfin du bon Brayton ! Pas spécialement flashy depuis qu’on est arrivé, à part sur la toute première course, Justin Brayton a profité d’un bon départ pour sécuriser une bonne sixième place, à la lutte avec l’excellent Malcolm Stewart. JB10 s’est bien tenu à l’écart de la bagarre au championnat, non seulement face à son pote Kenny mais aussi face à Eli.
Derrière ces deux-là, le Rookie de l’année ! Oui, c’est tout ce qu’il y a de plus officiel, Martin Davalos, 33 ans, pro depuis 2006, est le rookie de l’année. Isn’t ironic, comme dirait Alanis Morisette. Le pilote du team Tedder a une nouvelle fois été très bon, il faut le reconnaître. Il aurait une nouvelle fois pu s’imposer en heat sans une « martinade », mais a tenu solidement son rang en finale. Costaud, l’équatorien, sur cette fin de saison.
LOL ! 33 ans, pro depuis 2006, marié un enfant… Et Rookie of the year ! Cela dit, grosse saison pour Davalos, bravo.
À part ça, Barcia a signé sa troisième 9e place de SLC. Dure, la fin de saison. Selon les explications données par Justin et Aaron Plessinger, la Yamaha ne marcherait pas au top sur ce sol béton. Plausible, car les deux ne sont pas les mêmes qu’avant le break, ça ne fait pas de doute. Deano Wilson a réussi à remporter sa heat, en contenant Eli Tomac s’il vous plaît, avant de partir derrière en finale. Quand ça ne veut pas !
250 côte est
L’affrontement McElrath/Sexton tant attendu a bien eu lieu ! Les deux n’étaient séparés que de trois points avant cette finale et les deux vainqueurs de heat ont repris où on les avait laissé : loin devant les autres. Une nouvelle fois, c’est la Yam qui est partie devant, mais Sexton était juste là et n’a pas tardé avant de saisir sa chance avec autorité en posant un joli block-pass de SX qui a, en plus, coûté quelques secondes à McElrath qui n’a jamais pu s’en remettre. Avec six points d’avance, rien n’est fait pour Sexton lors du Showdown, mais ça fait tout de même un (mince, certes) tapis de sécurité. Et la façon dont a roulé le garçon a de quoi impressionner. Sûr de lui, très rapide dans les whoops, très vif à se lever après les virages pour éviter les appels assis consommateurs de centièmes, c’est vraiment du bon boulot, qui plus tout en souplesse. Il ne serait pas étonnant qu’il signe rapidement quelques performances en 450, ce Chase Sexton.
Pénibles, ces maux de ventre !
Derrière, Colt Nichols signe une solitaire troisième place, la sienne en ce moment. Mal parti, il a quand même eu à batailler brièvement avec le rookie Pierce Brown, décidément à son aise sur ses terres natales. En fait, il ne manque pas grand chose au pilote KTM à part de la vitesse dans les whoops, un exercice rarement évident pour les rookies…
Jo Shimoda a également fait étalage de ses progrès en prenant une bonne 5e place qui pourrait compter au championnat pour s’offrir Marchbanks, blessé. Ensuite, on retrouve des solides, comme une nouvelle fois le champion Arenacross Kyle Peters, suivi d’Enzo Lopes et de Chris Blose.
Dimanche, c’est donc la grande finale, avec trois titres encore à attribuer, ce qui n’arrive pas si souvent ! Et, cerise sur le gâteau, on pourra la suivre en live sans faire nuit blanche, puisque le coup d’envoi de la soirée est à 21 h. Un programme disponible sur Automoto La Chaîne, par exemple. Sinon, y’a le bonheur est dans le pré sur C8. Et même une femme d’honneur sur Chérie 25, à vous de voir. Nous, la question, elle est vite répondue.
L’homme du mercredi a encore frappé ! Décidément, pas facile de battre Cooper Webb le jour des enfants. Et pourtant, il a du s’employer sévère pour rester devant un Eli Tomac une fois de plus très à l’aise dans son costume de patron.
Personne n’a pris plus d’argent les mercredis que Cooper Webb depuis Dorothée !
Incroyable de voir que quelques jours seulement suffisent à produire des résultats différents malgré un circuit très similaire, puisqu’une bonne partie du tracé était exactement le même que dimanche. Bon, OK, devant on retrouve toujours les mêmes, notamment ce diable Cooper Webb une nouvelle fois vainqueur, mais pas dans l’ordre. Depuis l’arrivée pour le sprint final à SLC, CW1 n’a terminé que vainqueur ou second, trois fois chaque. Et serait donc le vainqueur du championnat d’Utah avec 147 points, devant Eli Tomac à 140 points et… Zach Osborne, à 121. Ken Roczen ? Loin derrière avec 94 points, ça ne s’invente pas ! Cooper a encore su dégainer quand il le fallait sur son partenaire d’entraînement Zach Osborne, de nouveau très en verve depuis qu’il a retrouvé ses départs, avant de parvenir à maintenir jusqu’au bout une avance minimale pour ne pas subir d’attaque de Tomac. Du très grand Cooper Webb, encore, qui a signé son meilleur chrono au 25e tour sur 29… Motivé, le garçon.
Eli Tomac était pourtant en mission sur cette finale. Après avoir viré bon dernier au premier virage, il n’a fallu que quelques tours pour le voir recoller aux wagons de devant, composé d’Osborne, Webb, Rozcen et Anderson. Du beau monde ! Et s’il a un temps buté sur un Jason enfin à son niveau en finale, il a fini par trouver l’ouverture, avant de ne faire qu’une bouchée de Kenny et Osborne. A-t-il temporisé volontairement ensuite ? Difficile à dire, mais si cette seconde place le prive provisoirement du titre, elle le met aussi en excellente position pour dimanche, avec 22 points d’avance. Confortable.
Belle victoire de Deano en heat. On est moins sûr du pantalon.
Cette fois, Zach Osborne a tenu devant plus longtemps que d’habitude, 22 tours, et a réussi à garder Ken Roczen derrière lui tout en finissant pas loin du tout des deux énervés devant. Autant dire qu’il risque d’être un client en outdoor, où il est d’ordinaire meilleur qu’en SX !
Trois jours après sa victoire rédemptrice, Ken Roczen n’a cette fois pas enflammé les foules, malgré un départ dans le bon wagon. Une nouvelle fois « timide », il a eu quelques occasions de passer Coop’ sans les saisir, avant de céder aux attaques de Tomac. On notera qu’il a eu la possibilité de sortir Eli mais ne l’a pas prise, ce qui est tout à son honneur. Cette fois, le problème n’était pourtant pas physique, puisqu’il signe son meilleur temps à l’avant-dernier tour… Par contre, qui pourrait expliquer pourquoi il ne faisait pas le 1/2/3/3 après le premier virage ? Un enchaînement que tous les autres tops sautaient sans aucun problème, visiblement plus rapide que le sien ? Si vous avez une idée, déposez-là dans le forum, je suis preneur !
Vainqueur dominateur de sa heat, où il d’ailleurs fait à Ken Roczen exactement ce que Kenny lui a fait dimanche dernier en finale, Jason Anderson n’a pas atterri sur le podium mais a montré que le vrai JA21 était toujours là. Et pour ceux qui doute de son implication depuis qu’il a quitté le programme Baker, notez que lui aussi a signé son meilleur chrono tard dans la finale, au 25e tour. Comme Coop’. Du coup, le voici de nouveau à 5 points seulement de Justin Barcia pour la quatrième place finale, ce qui serait un minimum.
Enfin du bon Brayton ! Pas spécialement flashy depuis qu’on est arrivé, à part sur la toute première course, Justin Brayton a profité d’un bon départ pour sécuriser une bonne sixième place, à la lutte avec l’excellent Malcolm Stewart. JB10 s’est bien tenu à l’écart de la bagarre au championnat, non seulement face à son pote Kenny mais aussi face à Eli.
Derrière ces deux-là, le Rookie de l’année ! Oui, c’est tout ce qu’il y a de plus officiel, Martin Davalos, 33 ans, pro depuis 2006, est le rookie de l’année. Isn’t ironic, comme dirait Alanis Morisette. Le pilote du team Tedder a une nouvelle fois été très bon, il faut le reconnaître. Il aurait une nouvelle fois pu s’imposer en heat sans une « martinade », mais a tenu solidement son rang en finale. Costaud, l’équatorien, sur cette fin de saison.
LOL ! 33 ans, pro depuis 2006, marié un enfant… Et Rookie of the year ! Cela dit, grosse saison pour Davalos, bravo.
À part ça, Barcia a signé sa troisième 9e place de SLC. Dure, la fin de saison. Selon les explications données par Justin et Aaron Plessinger, la Yamaha ne marcherait pas au top sur ce sol béton. Plausible, car les deux ne sont pas les mêmes qu’avant le break, ça ne fait pas de doute. Deano Wilson a réussi à remporter sa heat, en contenant Eli Tomac s’il vous plaît, avant de partir derrière en finale. Quand ça ne veut pas !
250 côte est
L’affrontement McElrath/Sexton tant attendu a bien eu lieu ! Les deux n’étaient séparés que de trois points avant cette finale et les deux vainqueurs de heat ont repris où on les avait laissé : loin devant les autres. Une nouvelle fois, c’est la Yam qui est partie devant, mais Sexton était juste là et n’a pas tardé avant de saisir sa chance avec autorité en posant un joli block-pass de SX qui a, en plus, coûté quelques secondes à McElrath qui n’a jamais pu s’en remettre. Avec six points d’avance, rien n’est fait pour Sexton lors du Showdown, mais ça fait tout de même un (mince, certes) tapis de sécurité. Et la façon dont a roulé le garçon a de quoi impressionner. Sûr de lui, très rapide dans les whoops, très vif à se lever après les virages pour éviter les appels assis consommateurs de centièmes, c’est vraiment du bon boulot, qui plus tout en souplesse. Il ne serait pas étonnant qu’il signe rapidement quelques performances en 450, ce Chase Sexton.
Pénibles, ces maux de ventre !
Derrière, Colt Nichols signe une solitaire troisième place, la sienne en ce moment. Mal parti, il a quand même eu à batailler brièvement avec le rookie Pierce Brown, décidément à son aise sur ses terres natales. En fait, il ne manque pas grand chose au pilote KTM à part de la vitesse dans les whoops, un exercice rarement évident pour les rookies…
Jo Shimoda a également fait étalage de ses progrès en prenant une bonne 5e place qui pourrait compter au championnat pour s’offrir Marchbanks, blessé. Ensuite, on retrouve des solides, comme une nouvelle fois le champion Arenacross Kyle Peters, suivi d’Enzo Lopes et de Chris Blose.
Dimanche, c’est donc la grande finale, avec trois titres encore à attribuer, ce qui n’arrive pas si souvent ! Et, cerise sur le gâteau, on pourra la suivre en live sans faire nuit blanche, puisque le coup d’envoi de la soirée est à 21 h. Un programme disponible sur Automoto La Chaîne, par exemple. Sinon, y’a le bonheur est dans le pré sur C8. Et même une femme d’honneur sur Chérie 25, à vous de voir. Nous, la question, elle est vite répondue.
L’homme du mercredi a encore frappé ! Décidément, pas facile de battre Cooper Webb le jour des enfants. Et pourtant, il a du s’employer sévère pour rester devant un Eli Tomac une fois de plus très à l’aise dans son costume de patron.
Personne n’a pris plus d’argent les mercredis que Cooper Webb depuis Dorothée !
Incroyable de voir que quelques jours seulement suffisent à produire des résultats différents malgré un circuit très similaire, puisqu’une bonne partie du tracé était exactement le même que dimanche. Bon, OK, devant on retrouve toujours les mêmes, notamment ce diable Cooper Webb une nouvelle fois vainqueur, mais pas dans l’ordre. Depuis l’arrivée pour le sprint final à SLC, CW1 n’a terminé que vainqueur ou second, trois fois chaque. Et serait donc le vainqueur du championnat d’Utah avec 147 points, devant Eli Tomac à 140 points et… Zach Osborne, à 121. Ken Roczen ? Loin derrière avec 94 points, ça ne s’invente pas ! Cooper a encore su dégainer quand il le fallait sur son partenaire d’entraînement Zach Osborne, de nouveau très en verve depuis qu’il a retrouvé ses départs, avant de parvenir à maintenir jusqu’au bout une avance minimale pour ne pas subir d’attaque de Tomac. Du très grand Cooper Webb, encore, qui a signé son meilleur chrono au 25e tour sur 29… Motivé, le garçon.
Eli Tomac était pourtant en mission sur cette finale. Après avoir viré bon dernier au premier virage, il n’a fallu que quelques tours pour le voir recoller aux wagons de devant, composé d’Osborne, Webb, Rozcen et Anderson. Du beau monde ! Et s’il a un temps buté sur un Jason enfin à son niveau en finale, il a fini par trouver l’ouverture, avant de ne faire qu’une bouchée de Kenny et Osborne. A-t-il temporisé volontairement ensuite ? Difficile à dire, mais si cette seconde place le prive provisoirement du titre, elle le met aussi en excellente position pour dimanche, avec 22 points d’avance. Confortable.
Belle victoire de Deano en heat. On est moins sûr du pantalon.
Cette fois, Zach Osborne a tenu devant plus longtemps que d’habitude, 22 tours, et a réussi à garder Ken Roczen derrière lui tout en finissant pas loin du tout des deux énervés devant. Autant dire qu’il risque d’être un client en outdoor, où il est d’ordinaire meilleur qu’en SX !
Trois jours après sa victoire rédemptrice, Ken Roczen n’a cette fois pas enflammé les foules, malgré un départ dans le bon wagon. Une nouvelle fois « timide », il a eu quelques occasions de passer Coop’ sans les saisir, avant de céder aux attaques de Tomac. On notera qu’il a eu la possibilité de sortir Eli mais ne l’a pas prise, ce qui est tout à son honneur. Cette fois, le problème n’était pourtant pas physique, puisqu’il signe son meilleur temps à l’avant-dernier tour… Par contre, qui pourrait expliquer pourquoi il ne faisait pas le 1/2/3/3 après le premier virage ? Un enchaînement que tous les autres tops sautaient sans aucun problème, visiblement plus rapide que le sien ? Si vous avez une idée, déposez-là dans le forum, je suis preneur !
Vainqueur dominateur de sa heat, où il d’ailleurs fait à Ken Roczen exactement ce que Kenny lui a fait dimanche dernier en finale, Jason Anderson n’a pas atterri sur le podium mais a montré que le vrai JA21 était toujours là. Et pour ceux qui doute de son implication depuis qu’il a quitté le programme Baker, notez que lui aussi a signé son meilleur chrono tard dans la finale, au 25e tour. Comme Coop’. Du coup, le voici de nouveau à 5 points seulement de Justin Barcia pour la quatrième place finale, ce qui serait un minimum.
Enfin du bon Brayton ! Pas spécialement flashy depuis qu’on est arrivé, à part sur la toute première course, Justin Brayton a profité d’un bon départ pour sécuriser une bonne sixième place, à la lutte avec l’excellent Malcolm Stewart. JB10 s’est bien tenu à l’écart de la bagarre au championnat, non seulement face à son pote Kenny mais aussi face à Eli.
Derrière ces deux-là, le Rookie de l’année ! Oui, c’est tout ce qu’il y a de plus officiel, Martin Davalos, 33 ans, pro depuis 2006, est le rookie de l’année. Isn’t ironic, comme dirait Alanis Morisette. Le pilote du team Tedder a une nouvelle fois été très bon, il faut le reconnaître. Il aurait une nouvelle fois pu s’imposer en heat sans une « martinade », mais a tenu solidement son rang en finale. Costaud, l’équatorien, sur cette fin de saison.
LOL ! 33 ans, pro depuis 2006, marié un enfant… Et Rookie of the year ! Cela dit, grosse saison pour Davalos, bravo.
À part ça, Barcia a signé sa troisième 9e place de SLC. Dure, la fin de saison. Selon les explications données par Justin et Aaron Plessinger, la Yamaha ne marcherait pas au top sur ce sol béton. Plausible, car les deux ne sont pas les mêmes qu’avant le break, ça ne fait pas de doute. Deano Wilson a réussi à remporter sa heat, en contenant Eli Tomac s’il vous plaît, avant de partir derrière en finale. Quand ça ne veut pas !
250 côte est
L’affrontement McElrath/Sexton tant attendu a bien eu lieu ! Les deux n’étaient séparés que de trois points avant cette finale et les deux vainqueurs de heat ont repris où on les avait laissé : loin devant les autres. Une nouvelle fois, c’est la Yam qui est partie devant, mais Sexton était juste là et n’a pas tardé avant de saisir sa chance avec autorité en posant un joli block-pass de SX qui a, en plus, coûté quelques secondes à McElrath qui n’a jamais pu s’en remettre. Avec six points d’avance, rien n’est fait pour Sexton lors du Showdown, mais ça fait tout de même un (mince, certes) tapis de sécurité. Et la façon dont a roulé le garçon a de quoi impressionner. Sûr de lui, très rapide dans les whoops, très vif à se lever après les virages pour éviter les appels assis consommateurs de centièmes, c’est vraiment du bon boulot, qui plus tout en souplesse. Il ne serait pas étonnant qu’il signe rapidement quelques performances en 450, ce Chase Sexton.
Pénibles, ces maux de ventre !
Derrière, Colt Nichols signe une solitaire troisième place, la sienne en ce moment. Mal parti, il a quand même eu à batailler brièvement avec le rookie Pierce Brown, décidément à son aise sur ses terres natales. En fait, il ne manque pas grand chose au pilote KTM à part de la vitesse dans les whoops, un exercice rarement évident pour les rookies…
Jo Shimoda a également fait étalage de ses progrès en prenant une bonne 5e place qui pourrait compter au championnat pour s’offrir Marchbanks, blessé. Ensuite, on retrouve des solides, comme une nouvelle fois le champion Arenacross Kyle Peters, suivi d’Enzo Lopes et de Chris Blose.
Dimanche, c’est donc la grande finale, avec trois titres encore à attribuer, ce qui n’arrive pas si souvent ! Et, cerise sur le gâteau, on pourra la suivre en live sans faire nuit blanche, puisque le coup d’envoi de la soirée est à 21 h. Un programme disponible sur Automoto La Chaîne, par exemple. Sinon, y’a le bonheur est dans le pré sur C8. Et même une femme d’honneur sur Chérie 25, à vous de voir. Nous, la question, elle est vite répondue.