Pit “Bull” Beirer
Pit Beirer, le directeur de département compétition de KTM a répondu lui aussi à l’affaire Vialle. Voici la traduction de ce qu’il a déclaré à nos collègues de RacerX.
« En tant que fans, nous attendons tous impatiemment le Motocross des Nations. C’est un évènement spécial avec une ambiance particulière et l’une des plus grosses manifestations de l’année en termes d’audience. D’une certaine façon, il peut être comparé à la réunion d’équipes de football nationales à la différence que nous devons supporter, nous les usines, des coûts. En dépit du fait que nous avons d’excellentes relations avec la plupart des fédérations, nous n’avons aucun soutien financier d’elles pendant la saison.
Je dois construire, organiser, et gérer les contrats pour les écuries de course pendant 365 jours par ans et cela implique l’aide de sponsors pour être au plus haut niveau, professionnellement. Et je parle au nom de tous mes collègues des autres marques du paddock qui sont dans une position similaire. Que les Fédérations, qui monte une structure pour une course dans l’année, mette de côté nos partenaires et sponsors n’est pas acceptable. S’ils fournissaient un soutien et un appui pour toute l’année, alors la discussion serait toute autre. Quoiqu’il en soit, nous courrons avec des budgets de plusieurs millions de dollars et qu’elles sautent dans le train et dictent leurs conditions n’est pas correct. »
” Il faut faire des compromis. Pour ma part, il est clair dire que le Motocross des Nations est un événement ou chacun représente un pays, un drapeau – et en tant que team officiel – je suis tout à fait disposé à prendre du recul tout en proposant nos camions, nos ressources, matériels, employés, etc … mais je ne peux pas ignorer nos sponsors qui font en sorte que notre team puisse exister le reste de l’année et envers qui je suis reconnaissant. Dans cette histoire, ce n’est pas une question de pression de la part des sponsors, c’est simplement du bon sens. Ce compromis est injuste et je ne l’accepterais plus. Maintenant, c’est vraiment dommage car un jeune pilote qui méritait largement sa place dans l’équipe vient de se faire éconduire.”
“Les championnats vont passer à 25 courses par an et je pense que le Motocross des Nations doit être repensé pour s’y intégrer. Nous aimons travailler en collaboration avec nos teams et nous nous acceptons l’idée que des managers fédéraux et leur staff s’immiscent dans notre saison pour coordonner si nécessaire un tel week-end mais il y a une limite et il faudra faire des compromis pour qu’une relation saine et équilibrée fonctionne. Dans le respect de chacun. Le pays doit être en première ligne lors des Nations mais cela doit se faire en bonne intelligence parce que tous les coûts sont encore payés par nous.”
Pit “Bull” Beirer
Pit Beirer, le directeur de département compétition de KTM a répondu lui aussi à l’affaire Vialle. Voici la traduction de ce qu’il a déclaré à nos collègues de RacerX.
« En tant que fans, nous attendons tous impatiemment le Motocross des Nations. C’est un évènement spécial avec une ambiance particulière et l’une des plus grosses manifestations de l’année en termes d’audience. D’une certaine façon, il peut être comparé à la réunion d’équipes de football nationales à la différence que nous devons supporter, nous les usines, des coûts. En dépit du fait que nous avons d’excellentes relations avec la plupart des fédérations, nous n’avons aucun soutien financier d’elles pendant la saison.
Je dois construire, organiser, et gérer les contrats pour les écuries de course pendant 365 jours par ans et cela implique l’aide de sponsors pour être au plus haut niveau, professionnellement. Et je parle au nom de tous mes collègues des autres marques du paddock qui sont dans une position similaire. Que les Fédérations, qui monte une structure pour une course dans l’année, mette de côté nos partenaires et sponsors n’est pas acceptable. S’ils fournissaient un soutien et un appui pour toute l’année, alors la discussion serait toute autre. Quoiqu’il en soit, nous courrons avec des budgets de plusieurs millions de dollars et qu’elles sautent dans le train et dictent leurs conditions n’est pas correct. »
” Il faut faire des compromis. Pour ma part, il est clair dire que le Motocross des Nations est un événement ou chacun représente un pays, un drapeau – et en tant que team officiel – je suis tout à fait disposé à prendre du recul tout en proposant nos camions, nos ressources, matériels, employés, etc … mais je ne peux pas ignorer nos sponsors qui font en sorte que notre team puisse exister le reste de l’année et envers qui je suis reconnaissant. Dans cette histoire, ce n’est pas une question de pression de la part des sponsors, c’est simplement du bon sens. Ce compromis est injuste et je ne l’accepterais plus. Maintenant, c’est vraiment dommage car un jeune pilote qui méritait largement sa place dans l’équipe vient de se faire éconduire.”
“Les championnats vont passer à 25 courses par an et je pense que le Motocross des Nations doit être repensé pour s’y intégrer. Nous aimons travailler en collaboration avec nos teams et nous nous acceptons l’idée que des managers fédéraux et leur staff s’immiscent dans notre saison pour coordonner si nécessaire un tel week-end mais il y a une limite et il faudra faire des compromis pour qu’une relation saine et équilibrée fonctionne. Dans le respect de chacun. Le pays doit être en première ligne lors des Nations mais cela doit se faire en bonne intelligence parce que tous les coûts sont encore payés par nous.”
Pit “Bull” Beirer
Pit Beirer, le directeur de département compétition de KTM a répondu lui aussi à l’affaire Vialle. Voici la traduction de ce qu’il a déclaré à nos collègues de RacerX.
« En tant que fans, nous attendons tous impatiemment le Motocross des Nations. C’est un évènement spécial avec une ambiance particulière et l’une des plus grosses manifestations de l’année en termes d’audience. D’une certaine façon, il peut être comparé à la réunion d’équipes de football nationales à la différence que nous devons supporter, nous les usines, des coûts. En dépit du fait que nous avons d’excellentes relations avec la plupart des fédérations, nous n’avons aucun soutien financier d’elles pendant la saison.
Je dois construire, organiser, et gérer les contrats pour les écuries de course pendant 365 jours par ans et cela implique l’aide de sponsors pour être au plus haut niveau, professionnellement. Et je parle au nom de tous mes collègues des autres marques du paddock qui sont dans une position similaire. Que les Fédérations, qui monte une structure pour une course dans l’année, mette de côté nos partenaires et sponsors n’est pas acceptable. S’ils fournissaient un soutien et un appui pour toute l’année, alors la discussion serait toute autre. Quoiqu’il en soit, nous courrons avec des budgets de plusieurs millions de dollars et qu’elles sautent dans le train et dictent leurs conditions n’est pas correct. »
” Il faut faire des compromis. Pour ma part, il est clair dire que le Motocross des Nations est un événement ou chacun représente un pays, un drapeau – et en tant que team officiel – je suis tout à fait disposé à prendre du recul tout en proposant nos camions, nos ressources, matériels, employés, etc … mais je ne peux pas ignorer nos sponsors qui font en sorte que notre team puisse exister le reste de l’année et envers qui je suis reconnaissant. Dans cette histoire, ce n’est pas une question de pression de la part des sponsors, c’est simplement du bon sens. Ce compromis est injuste et je ne l’accepterais plus. Maintenant, c’est vraiment dommage car un jeune pilote qui méritait largement sa place dans l’équipe vient de se faire éconduire.”
“Les championnats vont passer à 25 courses par an et je pense que le Motocross des Nations doit être repensé pour s’y intégrer. Nous aimons travailler en collaboration avec nos teams et nous nous acceptons l’idée que des managers fédéraux et leur staff s’immiscent dans notre saison pour coordonner si nécessaire un tel week-end mais il y a une limite et il faudra faire des compromis pour qu’une relation saine et équilibrée fonctionne. Dans le respect de chacun. Le pays doit être en première ligne lors des Nations mais cela doit se faire en bonne intelligence parce que tous les coûts sont encore payés par nous.”
Pit “Bull” Beirer
Pit Beirer, le directeur de département compétition de KTM a répondu lui aussi à l’affaire Vialle. Voici la traduction de ce qu’il a déclaré à nos collègues de RacerX.
« En tant que fans, nous attendons tous impatiemment le Motocross des Nations. C’est un évènement spécial avec une ambiance particulière et l’une des plus grosses manifestations de l’année en termes d’audience. D’une certaine façon, il peut être comparé à la réunion d’équipes de football nationales à la différence que nous devons supporter, nous les usines, des coûts. En dépit du fait que nous avons d’excellentes relations avec la plupart des fédérations, nous n’avons aucun soutien financier d’elles pendant la saison.
Je dois construire, organiser, et gérer les contrats pour les écuries de course pendant 365 jours par ans et cela implique l’aide de sponsors pour être au plus haut niveau, professionnellement. Et je parle au nom de tous mes collègues des autres marques du paddock qui sont dans une position similaire. Que les Fédérations, qui monte une structure pour une course dans l’année, mette de côté nos partenaires et sponsors n’est pas acceptable. S’ils fournissaient un soutien et un appui pour toute l’année, alors la discussion serait toute autre. Quoiqu’il en soit, nous courrons avec des budgets de plusieurs millions de dollars et qu’elles sautent dans le train et dictent leurs conditions n’est pas correct. »
” Il faut faire des compromis. Pour ma part, il est clair dire que le Motocross des Nations est un événement ou chacun représente un pays, un drapeau – et en tant que team officiel – je suis tout à fait disposé à prendre du recul tout en proposant nos camions, nos ressources, matériels, employés, etc … mais je ne peux pas ignorer nos sponsors qui font en sorte que notre team puisse exister le reste de l’année et envers qui je suis reconnaissant. Dans cette histoire, ce n’est pas une question de pression de la part des sponsors, c’est simplement du bon sens. Ce compromis est injuste et je ne l’accepterais plus. Maintenant, c’est vraiment dommage car un jeune pilote qui méritait largement sa place dans l’équipe vient de se faire éconduire.”
“Les championnats vont passer à 25 courses par an et je pense que le Motocross des Nations doit être repensé pour s’y intégrer. Nous aimons travailler en collaboration avec nos teams et nous nous acceptons l’idée que des managers fédéraux et leur staff s’immiscent dans notre saison pour coordonner si nécessaire un tel week-end mais il y a une limite et il faudra faire des compromis pour qu’une relation saine et équilibrée fonctionne. Dans le respect de chacun. Le pays doit être en première ligne lors des Nations mais cela doit se faire en bonne intelligence parce que tous les coûts sont encore payés par nous.”