Tout ça pour ça !
Salut les p’tits n’veux ! Au lendemain d’un Grand Prix d’Indonésie bien triste, ne sommes-nous pas en droit de nous poser quelques questions ?
Dix-neuf GP cette saison, j’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur le sujet, why not ? Si toutes les parties concernées sont d’accord… Pour l’observateur et le fan, plus il y a de courses à se mettre sous la dent, plus ils s’esbaudissent, n’est-ce pas ? Et les épreuves outre-mer de même : à partir du moment où les budgets permettent les déplacements et qu’on évite les grilles de départ trop squelettiques, vive la mondialisation ! Asie, Amérique, Afrique, Océanie, que le MXGP se disperse aux quatre coins de la planète, je trouve ça formidable…
Mais attention, toujours à bon escient toutefois : ne s’agit-il pas de préserver à tout prix le standing d’une compétition réunissant les meilleurs pilotes, d’un championnat représentant le top du top ? Et ce n’est pas exactement ce à quoi on a assisté le week-end dernier, whatcha think ?
Cela dit, si ça ne tenait qu’à moi, le championnat du monde irait plus souvent en Asie du Sud-Est ! Et, à ce compte-là, je serais dans les starting-blocks pour suivre de près, moi-même personnellement, une vraie grande tournée dans ces régions, qui me sont chères ! Car on ne le sait pas nécessairement, vu d’Europe, mais Thaïlande, Cambodge, Vietnam, Malaisie ou Indonésie sont des pays où le motocross bénéficie d’une vraie popularité. Seulement, cette partie du globe, si elle propose tant de sites enchanteurs et dont les habitants garantissent un accueil toujours merveilleux, est également soumise aux lois d’une météorologie particulière…
Avec ce qu’on appelle une « saison des pluies », ce qui paraît a priori parfaitement significatif comme appellation, non ? A un moment donné dans l’année, il tombe de la flotte, et pas pour rire, au quotidien et en quantité ! Et, justement, dites-donc, eh bien c’est en ce moment, cette fameuse période humide… Le moindre guide touristique vous le dira : « Les variations extrêmes des précipitations sont liées à la mousson. De manière générale, il y a une saison sèche (de juin à septembre), influencée par les masses d’air continental australien, et une saison des pluies (de décembre à mars). Ainsi, visiter l’Indonésie est bien évidemment plus agréable pendant la saison sèche, entre mai et octobre… ». Hum, tu l’as dit bouffi ! Et dans la région plus précisément concernée, l’île de Bangka-Belitung, disons en gros qu’il pleut tout le temps entre novembre et avril. Le climat est à peu près sec entre juin et octobre, le reste du temps il tombe des tonnes d’eau !
Voilà, je vous la fais courte, car vous avez pigé : c’était pas tout à fait le moment d’y aller, quoi ! De toutes façons, dans les faits, vous avez pu apprécier le chantier : essais (très) raccourcis, seconde manche MX2 interrompue, seconde manche MXGP annulée, courses tenant de la tombola, le spectacle proposé n’a eu aucun rapport avec un Grand Prix de motocross moderne, à mon avis. Demandez leur sentiment sur la question à Pauls Jonass ou Romain Febvre, par exemple. Et si ce sont là deux cas de mauvaise fortune extrême, nombreux sont ceux qui l’ont plutôt lourd en rentrant de ce drôle de GP, n’ayant pu exprimer leur talent et ayant manqué des gros points quand d’autres ont eu davantage la veine de s’en tirer avec les honneurs. Car, vous me direz, les conditions étaient les mêmes pour tout le monde, fallait juste être malin, etc. Ouais, si l’on veut, mais vous ne me convaincrez pas sur ce coup-là : voir des quatre-et-demies d’usine pilotées par des champions du monde tels que Febvre ou Herlings bloquées dans un sinistre bourbier, complètement étouffées, comme aspirées par une fange immonde et demeurer plantées là, malgré les efforts désespérés de leurs pilotes et même de pas mal de bonnes volontés venues à la rescousse, ce n’est pas l’idée que je me fais du MX at its best !
Et s’il y en a d’autres qui ont de quoi se montrer heureux après cet épisode, ce sont bien les propriétaires des teams : contents du voyage, comme on dit. Douze mille bornes et tout ce que ça implique pour deux manches et demie, et quelles manches… Bon, une fois encore, répétons-le, c’est une idée géniale d’aller en Indonésie et j’espère vraiment de tout cœur que le Mondial visitera de plus en plus souvent l’Asie du Sud-Est, qui mérite absolument de recevoir les rois (et reines) du motocross. Mais il est des détails à prendre en compte avant d’entreprendre de tels périples, me semble-t-il. C’est tout. Pas plus bête que ça. Maintenant, next stop : l’Argentine. De l’avis de tous, la piste de Neuquen est superbe et la région a surtout la bonne idée d’être située dans l’hémisphère sud, donc là-bas c’est (encore) l’été ! Toujours ça !
Tout ça pour ça !
Salut les p’tits n’veux ! Au lendemain d’un Grand Prix d’Indonésie bien triste, ne sommes-nous pas en droit de nous poser quelques questions ?
Dix-neuf GP cette saison, j’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur le sujet, why not ? Si toutes les parties concernées sont d’accord… Pour l’observateur et le fan, plus il y a de courses à se mettre sous la dent, plus ils s’esbaudissent, n’est-ce pas ? Et les épreuves outre-mer de même : à partir du moment où les budgets permettent les déplacements et qu’on évite les grilles de départ trop squelettiques, vive la mondialisation ! Asie, Amérique, Afrique, Océanie, que le MXGP se disperse aux quatre coins de la planète, je trouve ça formidable…
Mais attention, toujours à bon escient toutefois : ne s’agit-il pas de préserver à tout prix le standing d’une compétition réunissant les meilleurs pilotes, d’un championnat représentant le top du top ? Et ce n’est pas exactement ce à quoi on a assisté le week-end dernier, whatcha think ?
Cela dit, si ça ne tenait qu’à moi, le championnat du monde irait plus souvent en Asie du Sud-Est ! Et, à ce compte-là, je serais dans les starting-blocks pour suivre de près, moi-même personnellement, une vraie grande tournée dans ces régions, qui me sont chères ! Car on ne le sait pas nécessairement, vu d’Europe, mais Thaïlande, Cambodge, Vietnam, Malaisie ou Indonésie sont des pays où le motocross bénéficie d’une vraie popularité. Seulement, cette partie du globe, si elle propose tant de sites enchanteurs et dont les habitants garantissent un accueil toujours merveilleux, est également soumise aux lois d’une météorologie particulière…
Avec ce qu’on appelle une « saison des pluies », ce qui paraît a priori parfaitement significatif comme appellation, non ? A un moment donné dans l’année, il tombe de la flotte, et pas pour rire, au quotidien et en quantité ! Et, justement, dites-donc, eh bien c’est en ce moment, cette fameuse période humide… Le moindre guide touristique vous le dira : « Les variations extrêmes des précipitations sont liées à la mousson. De manière générale, il y a une saison sèche (de juin à septembre), influencée par les masses d’air continental australien, et une saison des pluies (de décembre à mars). Ainsi, visiter l’Indonésie est bien évidemment plus agréable pendant la saison sèche, entre mai et octobre… ». Hum, tu l’as dit bouffi ! Et dans la région plus précisément concernée, l’île de Bangka-Belitung, disons en gros qu’il pleut tout le temps entre novembre et avril. Le climat est à peu près sec entre juin et octobre, le reste du temps il tombe des tonnes d’eau !
Voilà, je vous la fais courte, car vous avez pigé : c’était pas tout à fait le moment d’y aller, quoi ! De toutes façons, dans les faits, vous avez pu apprécier le chantier : essais (très) raccourcis, seconde manche MX2 interrompue, seconde manche MXGP annulée, courses tenant de la tombola, le spectacle proposé n’a eu aucun rapport avec un Grand Prix de motocross moderne, à mon avis. Demandez leur sentiment sur la question à Pauls Jonass ou Romain Febvre, par exemple. Et si ce sont là deux cas de mauvaise fortune extrême, nombreux sont ceux qui l’ont plutôt lourd en rentrant de ce drôle de GP, n’ayant pu exprimer leur talent et ayant manqué des gros points quand d’autres ont eu davantage la veine de s’en tirer avec les honneurs. Car, vous me direz, les conditions étaient les mêmes pour tout le monde, fallait juste être malin, etc. Ouais, si l’on veut, mais vous ne me convaincrez pas sur ce coup-là : voir des quatre-et-demies d’usine pilotées par des champions du monde tels que Febvre ou Herlings bloquées dans un sinistre bourbier, complètement étouffées, comme aspirées par une fange immonde et demeurer plantées là, malgré les efforts désespérés de leurs pilotes et même de pas mal de bonnes volontés venues à la rescousse, ce n’est pas l’idée que je me fais du MX at its best !
Et s’il y en a d’autres qui ont de quoi se montrer heureux après cet épisode, ce sont bien les propriétaires des teams : contents du voyage, comme on dit. Douze mille bornes et tout ce que ça implique pour deux manches et demie, et quelles manches… Bon, une fois encore, répétons-le, c’est une idée géniale d’aller en Indonésie et j’espère vraiment de tout cœur que le Mondial visitera de plus en plus souvent l’Asie du Sud-Est, qui mérite absolument de recevoir les rois (et reines) du motocross. Mais il est des détails à prendre en compte avant d’entreprendre de tels périples, me semble-t-il. C’est tout. Pas plus bête que ça. Maintenant, next stop : l’Argentine. De l’avis de tous, la piste de Neuquen est superbe et la région a surtout la bonne idée d’être située dans l’hémisphère sud, donc là-bas c’est (encore) l’été ! Toujours ça !
Tout ça pour ça !
Salut les p’tits n’veux ! Au lendemain d’un Grand Prix d’Indonésie bien triste, ne sommes-nous pas en droit de nous poser quelques questions ?
Dix-neuf GP cette saison, j’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur le sujet, why not ? Si toutes les parties concernées sont d’accord… Pour l’observateur et le fan, plus il y a de courses à se mettre sous la dent, plus ils s’esbaudissent, n’est-ce pas ? Et les épreuves outre-mer de même : à partir du moment où les budgets permettent les déplacements et qu’on évite les grilles de départ trop squelettiques, vive la mondialisation ! Asie, Amérique, Afrique, Océanie, que le MXGP se disperse aux quatre coins de la planète, je trouve ça formidable…
Mais attention, toujours à bon escient toutefois : ne s’agit-il pas de préserver à tout prix le standing d’une compétition réunissant les meilleurs pilotes, d’un championnat représentant le top du top ? Et ce n’est pas exactement ce à quoi on a assisté le week-end dernier, whatcha think ?
Cela dit, si ça ne tenait qu’à moi, le championnat du monde irait plus souvent en Asie du Sud-Est ! Et, à ce compte-là, je serais dans les starting-blocks pour suivre de près, moi-même personnellement, une vraie grande tournée dans ces régions, qui me sont chères ! Car on ne le sait pas nécessairement, vu d’Europe, mais Thaïlande, Cambodge, Vietnam, Malaisie ou Indonésie sont des pays où le motocross bénéficie d’une vraie popularité. Seulement, cette partie du globe, si elle propose tant de sites enchanteurs et dont les habitants garantissent un accueil toujours merveilleux, est également soumise aux lois d’une météorologie particulière…
Avec ce qu’on appelle une « saison des pluies », ce qui paraît a priori parfaitement significatif comme appellation, non ? A un moment donné dans l’année, il tombe de la flotte, et pas pour rire, au quotidien et en quantité ! Et, justement, dites-donc, eh bien c’est en ce moment, cette fameuse période humide… Le moindre guide touristique vous le dira : « Les variations extrêmes des précipitations sont liées à la mousson. De manière générale, il y a une saison sèche (de juin à septembre), influencée par les masses d’air continental australien, et une saison des pluies (de décembre à mars). Ainsi, visiter l’Indonésie est bien évidemment plus agréable pendant la saison sèche, entre mai et octobre… ». Hum, tu l’as dit bouffi ! Et dans la région plus précisément concernée, l’île de Bangka-Belitung, disons en gros qu’il pleut tout le temps entre novembre et avril. Le climat est à peu près sec entre juin et octobre, le reste du temps il tombe des tonnes d’eau !
Voilà, je vous la fais courte, car vous avez pigé : c’était pas tout à fait le moment d’y aller, quoi ! De toutes façons, dans les faits, vous avez pu apprécier le chantier : essais (très) raccourcis, seconde manche MX2 interrompue, seconde manche MXGP annulée, courses tenant de la tombola, le spectacle proposé n’a eu aucun rapport avec un Grand Prix de motocross moderne, à mon avis. Demandez leur sentiment sur la question à Pauls Jonass ou Romain Febvre, par exemple. Et si ce sont là deux cas de mauvaise fortune extrême, nombreux sont ceux qui l’ont plutôt lourd en rentrant de ce drôle de GP, n’ayant pu exprimer leur talent et ayant manqué des gros points quand d’autres ont eu davantage la veine de s’en tirer avec les honneurs. Car, vous me direz, les conditions étaient les mêmes pour tout le monde, fallait juste être malin, etc. Ouais, si l’on veut, mais vous ne me convaincrez pas sur ce coup-là : voir des quatre-et-demies d’usine pilotées par des champions du monde tels que Febvre ou Herlings bloquées dans un sinistre bourbier, complètement étouffées, comme aspirées par une fange immonde et demeurer plantées là, malgré les efforts désespérés de leurs pilotes et même de pas mal de bonnes volontés venues à la rescousse, ce n’est pas l’idée que je me fais du MX at its best !
Et s’il y en a d’autres qui ont de quoi se montrer heureux après cet épisode, ce sont bien les propriétaires des teams : contents du voyage, comme on dit. Douze mille bornes et tout ce que ça implique pour deux manches et demie, et quelles manches… Bon, une fois encore, répétons-le, c’est une idée géniale d’aller en Indonésie et j’espère vraiment de tout cœur que le Mondial visitera de plus en plus souvent l’Asie du Sud-Est, qui mérite absolument de recevoir les rois (et reines) du motocross. Mais il est des détails à prendre en compte avant d’entreprendre de tels périples, me semble-t-il. C’est tout. Pas plus bête que ça. Maintenant, next stop : l’Argentine. De l’avis de tous, la piste de Neuquen est superbe et la région a surtout la bonne idée d’être située dans l’hémisphère sud, donc là-bas c’est (encore) l’été ! Toujours ça !
Tout ça pour ça !
Salut les p’tits n’veux ! Au lendemain d’un Grand Prix d’Indonésie bien triste, ne sommes-nous pas en droit de nous poser quelques questions ?
Dix-neuf GP cette saison, j’ai déjà eu l’occasion de m’exprimer sur le sujet, why not ? Si toutes les parties concernées sont d’accord… Pour l’observateur et le fan, plus il y a de courses à se mettre sous la dent, plus ils s’esbaudissent, n’est-ce pas ? Et les épreuves outre-mer de même : à partir du moment où les budgets permettent les déplacements et qu’on évite les grilles de départ trop squelettiques, vive la mondialisation ! Asie, Amérique, Afrique, Océanie, que le MXGP se disperse aux quatre coins de la planète, je trouve ça formidable…
Mais attention, toujours à bon escient toutefois : ne s’agit-il pas de préserver à tout prix le standing d’une compétition réunissant les meilleurs pilotes, d’un championnat représentant le top du top ? Et ce n’est pas exactement ce à quoi on a assisté le week-end dernier, whatcha think ?
Cela dit, si ça ne tenait qu’à moi, le championnat du monde irait plus souvent en Asie du Sud-Est ! Et, à ce compte-là, je serais dans les starting-blocks pour suivre de près, moi-même personnellement, une vraie grande tournée dans ces régions, qui me sont chères ! Car on ne le sait pas nécessairement, vu d’Europe, mais Thaïlande, Cambodge, Vietnam, Malaisie ou Indonésie sont des pays où le motocross bénéficie d’une vraie popularité. Seulement, cette partie du globe, si elle propose tant de sites enchanteurs et dont les habitants garantissent un accueil toujours merveilleux, est également soumise aux lois d’une météorologie particulière…
Avec ce qu’on appelle une « saison des pluies », ce qui paraît a priori parfaitement significatif comme appellation, non ? A un moment donné dans l’année, il tombe de la flotte, et pas pour rire, au quotidien et en quantité ! Et, justement, dites-donc, eh bien c’est en ce moment, cette fameuse période humide… Le moindre guide touristique vous le dira : « Les variations extrêmes des précipitations sont liées à la mousson. De manière générale, il y a une saison sèche (de juin à septembre), influencée par les masses d’air continental australien, et une saison des pluies (de décembre à mars). Ainsi, visiter l’Indonésie est bien évidemment plus agréable pendant la saison sèche, entre mai et octobre… ». Hum, tu l’as dit bouffi ! Et dans la région plus précisément concernée, l’île de Bangka-Belitung, disons en gros qu’il pleut tout le temps entre novembre et avril. Le climat est à peu près sec entre juin et octobre, le reste du temps il tombe des tonnes d’eau !
Voilà, je vous la fais courte, car vous avez pigé : c’était pas tout à fait le moment d’y aller, quoi ! De toutes façons, dans les faits, vous avez pu apprécier le chantier : essais (très) raccourcis, seconde manche MX2 interrompue, seconde manche MXGP annulée, courses tenant de la tombola, le spectacle proposé n’a eu aucun rapport avec un Grand Prix de motocross moderne, à mon avis. Demandez leur sentiment sur la question à Pauls Jonass ou Romain Febvre, par exemple. Et si ce sont là deux cas de mauvaise fortune extrême, nombreux sont ceux qui l’ont plutôt lourd en rentrant de ce drôle de GP, n’ayant pu exprimer leur talent et ayant manqué des gros points quand d’autres ont eu davantage la veine de s’en tirer avec les honneurs. Car, vous me direz, les conditions étaient les mêmes pour tout le monde, fallait juste être malin, etc. Ouais, si l’on veut, mais vous ne me convaincrez pas sur ce coup-là : voir des quatre-et-demies d’usine pilotées par des champions du monde tels que Febvre ou Herlings bloquées dans un sinistre bourbier, complètement étouffées, comme aspirées par une fange immonde et demeurer plantées là, malgré les efforts désespérés de leurs pilotes et même de pas mal de bonnes volontés venues à la rescousse, ce n’est pas l’idée que je me fais du MX at its best !
Et s’il y en a d’autres qui ont de quoi se montrer heureux après cet épisode, ce sont bien les propriétaires des teams : contents du voyage, comme on dit. Douze mille bornes et tout ce que ça implique pour deux manches et demie, et quelles manches… Bon, une fois encore, répétons-le, c’est une idée géniale d’aller en Indonésie et j’espère vraiment de tout cœur que le Mondial visitera de plus en plus souvent l’Asie du Sud-Est, qui mérite absolument de recevoir les rois (et reines) du motocross. Mais il est des détails à prendre en compte avant d’entreprendre de tels périples, me semble-t-il. C’est tout. Pas plus bête que ça. Maintenant, next stop : l’Argentine. De l’avis de tous, la piste de Neuquen est superbe et la région a surtout la bonne idée d’être située dans l’hémisphère sud, donc là-bas c’est (encore) l’été ! Toujours ça !