Le plus dur a été de se mettre dans le rythme
Vainqueur des ISDE en catégorie Trophée il y a un mois, Christophe Charlier vient de rempiler avec le succès en conquérant le Motocross des Nations avec Gautier Paulin et Romain Febvre. On lui a posé quelques questions pour comprendre ses émotions.
Alors qu’elle victoire a été la plus difficile à aller chercher ?
C’est celle des 6 jours. Rouler pendant une semaine, c’est vraiment crevant. Après, j’ai vraiment peiné pour retrouver le rythme en motocross. Quand tu t’arrêtes pendant un an, t’es plus trop dedans. Mais ça a été de mieux en mieux tout au long du week-end. Après chaque roulage, je me sentais un peu mieux et lors de la dernière manche, je suis même parvenu à me faire plaisir. Après, la victoire est venue comme un truc en plus.
Qu’est-ce que t’as perdu en un an d’enduro ?
” En fait, j’ai beaucoup gagné dans le gras, quand ça glisse. Je suis bien plus à l’aise qu’auparavant, j’ai plus de feeling et c’est vrai qu’aujourd’hui, ça m’a bien aidé. Après, j’ai perdu le rythme de la course. Quand t’es en bagarre, t’es à fond. En enduro, c’est différent, tu roules contre toi même.”
T’as roulé combien de fois en cross pour préparer cette course ?
” Trois, quatre fois, mais le problème, c’est que je n’ai touché ma moto de course que la semaine dernière, merci d’ailleurs à Jacky Martens qui m’a confié une machine officielle de son team, et il a fallu que je m’y fasse aussi. Je n’étais donc pas complètement près.”
Quand on t’a demandé si tu voulais participe aux Nations, t’as réfléchi combien de temps ?
” Je n’ai pas réfléchi, j’ai dit “oui” de suite. Enfin, après que j’ai réalisé ce qu’on me demandait. C’était une vraie surprise.”
Et ensuite, t’as stressé ?
“Non. Depuis que je suis en enduro, j’ai beaucoup progressé sur ma gestion du stress. Je suis plus calme, j’arrive mieux à gérer mes émotions. Même en roulant, je suis plus safe, je prends moins de risques.”
Oui enfin, la semaine dernière, tu t’en es prise une sérieuse quand même en percutant un arbre…
“C’est vrai, mais ça, c’est le risque du métier.”
T’as envie de revenir en cross après une telle performance ?
“Non. Pas du tout. j’ai un but, c’est réussir en Enduro et dès demain matin, je redeviendrai enduriste. Je n’ai même pas de petits regrets sur ma carrière de crossman. C’est ainsi.”
Le plus dur a été de se mettre dans le rythme
Vainqueur des ISDE en catégorie Trophée il y a un mois, Christophe Charlier vient de rempiler avec le succès en conquérant le Motocross des Nations avec Gautier Paulin et Romain Febvre. On lui a posé quelques questions pour comprendre ses émotions.
Alors qu’elle victoire a été la plus difficile à aller chercher ?
C’est celle des 6 jours. Rouler pendant une semaine, c’est vraiment crevant. Après, j’ai vraiment peiné pour retrouver le rythme en motocross. Quand tu t’arrêtes pendant un an, t’es plus trop dedans. Mais ça a été de mieux en mieux tout au long du week-end. Après chaque roulage, je me sentais un peu mieux et lors de la dernière manche, je suis même parvenu à me faire plaisir. Après, la victoire est venue comme un truc en plus.
Qu’est-ce que t’as perdu en un an d’enduro ?
” En fait, j’ai beaucoup gagné dans le gras, quand ça glisse. Je suis bien plus à l’aise qu’auparavant, j’ai plus de feeling et c’est vrai qu’aujourd’hui, ça m’a bien aidé. Après, j’ai perdu le rythme de la course. Quand t’es en bagarre, t’es à fond. En enduro, c’est différent, tu roules contre toi même.”
T’as roulé combien de fois en cross pour préparer cette course ?
” Trois, quatre fois, mais le problème, c’est que je n’ai touché ma moto de course que la semaine dernière, merci d’ailleurs à Jacky Martens qui m’a confié une machine officielle de son team, et il a fallu que je m’y fasse aussi. Je n’étais donc pas complètement près.”
Quand on t’a demandé si tu voulais participe aux Nations, t’as réfléchi combien de temps ?
” Je n’ai pas réfléchi, j’ai dit “oui” de suite. Enfin, après que j’ai réalisé ce qu’on me demandait. C’était une vraie surprise.”
Et ensuite, t’as stressé ?
“Non. Depuis que je suis en enduro, j’ai beaucoup progressé sur ma gestion du stress. Je suis plus calme, j’arrive mieux à gérer mes émotions. Même en roulant, je suis plus safe, je prends moins de risques.”
Oui enfin, la semaine dernière, tu t’en es prise une sérieuse quand même en percutant un arbre…
“C’est vrai, mais ça, c’est le risque du métier.”
T’as envie de revenir en cross après une telle performance ?
“Non. Pas du tout. j’ai un but, c’est réussir en Enduro et dès demain matin, je redeviendrai enduriste. Je n’ai même pas de petits regrets sur ma carrière de crossman. C’est ainsi.”
Le plus dur a été de se mettre dans le rythme
Vainqueur des ISDE en catégorie Trophée il y a un mois, Christophe Charlier vient de rempiler avec le succès en conquérant le Motocross des Nations avec Gautier Paulin et Romain Febvre. On lui a posé quelques questions pour comprendre ses émotions.
Alors qu’elle victoire a été la plus difficile à aller chercher ?
C’est celle des 6 jours. Rouler pendant une semaine, c’est vraiment crevant. Après, j’ai vraiment peiné pour retrouver le rythme en motocross. Quand tu t’arrêtes pendant un an, t’es plus trop dedans. Mais ça a été de mieux en mieux tout au long du week-end. Après chaque roulage, je me sentais un peu mieux et lors de la dernière manche, je suis même parvenu à me faire plaisir. Après, la victoire est venue comme un truc en plus.
Qu’est-ce que t’as perdu en un an d’enduro ?
” En fait, j’ai beaucoup gagné dans le gras, quand ça glisse. Je suis bien plus à l’aise qu’auparavant, j’ai plus de feeling et c’est vrai qu’aujourd’hui, ça m’a bien aidé. Après, j’ai perdu le rythme de la course. Quand t’es en bagarre, t’es à fond. En enduro, c’est différent, tu roules contre toi même.”
T’as roulé combien de fois en cross pour préparer cette course ?
” Trois, quatre fois, mais le problème, c’est que je n’ai touché ma moto de course que la semaine dernière, merci d’ailleurs à Jacky Martens qui m’a confié une machine officielle de son team, et il a fallu que je m’y fasse aussi. Je n’étais donc pas complètement près.”
Quand on t’a demandé si tu voulais participe aux Nations, t’as réfléchi combien de temps ?
” Je n’ai pas réfléchi, j’ai dit “oui” de suite. Enfin, après que j’ai réalisé ce qu’on me demandait. C’était une vraie surprise.”
Et ensuite, t’as stressé ?
“Non. Depuis que je suis en enduro, j’ai beaucoup progressé sur ma gestion du stress. Je suis plus calme, j’arrive mieux à gérer mes émotions. Même en roulant, je suis plus safe, je prends moins de risques.”
Oui enfin, la semaine dernière, tu t’en es prise une sérieuse quand même en percutant un arbre…
“C’est vrai, mais ça, c’est le risque du métier.”
T’as envie de revenir en cross après une telle performance ?
“Non. Pas du tout. j’ai un but, c’est réussir en Enduro et dès demain matin, je redeviendrai enduriste. Je n’ai même pas de petits regrets sur ma carrière de crossman. C’est ainsi.”
Le plus dur a été de se mettre dans le rythme
Vainqueur des ISDE en catégorie Trophée il y a un mois, Christophe Charlier vient de rempiler avec le succès en conquérant le Motocross des Nations avec Gautier Paulin et Romain Febvre. On lui a posé quelques questions pour comprendre ses émotions.
Alors qu’elle victoire a été la plus difficile à aller chercher ?
C’est celle des 6 jours. Rouler pendant une semaine, c’est vraiment crevant. Après, j’ai vraiment peiné pour retrouver le rythme en motocross. Quand tu t’arrêtes pendant un an, t’es plus trop dedans. Mais ça a été de mieux en mieux tout au long du week-end. Après chaque roulage, je me sentais un peu mieux et lors de la dernière manche, je suis même parvenu à me faire plaisir. Après, la victoire est venue comme un truc en plus.
Qu’est-ce que t’as perdu en un an d’enduro ?
” En fait, j’ai beaucoup gagné dans le gras, quand ça glisse. Je suis bien plus à l’aise qu’auparavant, j’ai plus de feeling et c’est vrai qu’aujourd’hui, ça m’a bien aidé. Après, j’ai perdu le rythme de la course. Quand t’es en bagarre, t’es à fond. En enduro, c’est différent, tu roules contre toi même.”
T’as roulé combien de fois en cross pour préparer cette course ?
” Trois, quatre fois, mais le problème, c’est que je n’ai touché ma moto de course que la semaine dernière, merci d’ailleurs à Jacky Martens qui m’a confié une machine officielle de son team, et il a fallu que je m’y fasse aussi. Je n’étais donc pas complètement près.”
Quand on t’a demandé si tu voulais participe aux Nations, t’as réfléchi combien de temps ?
” Je n’ai pas réfléchi, j’ai dit “oui” de suite. Enfin, après que j’ai réalisé ce qu’on me demandait. C’était une vraie surprise.”
Et ensuite, t’as stressé ?
“Non. Depuis que je suis en enduro, j’ai beaucoup progressé sur ma gestion du stress. Je suis plus calme, j’arrive mieux à gérer mes émotions. Même en roulant, je suis plus safe, je prends moins de risques.”
Oui enfin, la semaine dernière, tu t’en es prise une sérieuse quand même en percutant un arbre…
“C’est vrai, mais ça, c’est le risque du métier.”
T’as envie de revenir en cross après une telle performance ?
“Non. Pas du tout. j’ai un but, c’est réussir en Enduro et dès demain matin, je redeviendrai enduriste. Je n’ai même pas de petits regrets sur ma carrière de crossman. C’est ainsi.”