L’outsider
Troisième du SX Tour à la veille de la grande finale, à 1 petit point des leaders, Thomas Do et Yannis Irsuti, le jeune Calvin Fonvieille peut viser un deuxième titre en supercross après celui décroché en 2017 en Junior. Un objectif qui lui demandera à peu près la même chose que ce week-end à Genève, de bons départs et des courses solides !
Alors Calvin, comment te sens-tu à la veille de cet affrontement final ? Stressé ?
“Ben franchement, pas vraiment puisque j’étais en train de faire une petite sieste ! Je suis dans le camion avec mon père et nous nous rendons à Metz, soit 10 heures de route, c’est la meilleure solution pour passer le temps ! (rires) Non, honnêtement, je ne me sens pas particulièrement en stress, c’est une course comme les autres avec le même nombre de points à glaner.”
Il y a deux ans en Junior, tu avais connu la même situation lors de la finale à Pernes et ça s’était bien déroulé…
” C’est vrai, mais j’avais enchaîné deux holeshots qui m’avaient bien aidé pour gagner les deux manches. J’étais un peu au dessus de mes concurrents ce jour-là. Ce week-end, je sais que ça ne sera pas la même histoire. Le niveau est très homogène devant et je ne me sens pas comme le favori. Mon bon week-end à Genève le week-end dernier ne m’a pas donné un ascendant psychologique sur mes concurrents. Ce sont des teignes qui ne lâchent rien. J’ai eu la chance de partir devant à Genève, voilà tout. Je ne les ai pas ramarrés en partant derrière et doublés à la régulière. Et puis, il ne faut pas se limiter à Do et Irsuti, Brian Hsu n’est qu’à 13 points de nous et il sera tout aussi dangereux que les deux autres. On a vu qu’il était très rapide. Il est peut être un peu chaud dans les whoops par moment, mais en course, c’est un pilote sûr, solide ! Idem pour Julien Roussaly, il pourra s’immiscer dans notre bagarre…”
Est-ce que tu penses que cette finale peut prendre une tournure guerrière ?
“Est-ce que ça peut tourner à la foire d’empoigne ? Non, je ne pense pas. Do, comme Irsuti, sont des battants, mais ils restent corrects sur la piste. Evidemment, ils savent jouer des coudes, mais dans une certaine limite. Et ça sera normal. Un titre sera en jeu. Je ne pense pas qu’ils sont du genre à faire des attentas, ou à sauter de gauche à droite pour rester devant. C’est vrai qu’à Paris l’année dernière, on les avait vu s’accrocher, mais ça n’avait pas été dangereux. En tout cas, je n’ai pas de crainte particulière à ce niveau à la veille de la course.”
Tu aimes le Galaxy d’Amnéville, une petite salle…
” Oui. C’est petit c’est vrai mais la terre est bonne, sans cailloux et ça reste agréable à rouler.”
Ce potentiel titre pourrait changer ta carrière ?
” Je ne le pense pas. L’année prochaine, je connais déjà mon programme : National MX1, Elite MX2 et SX2… Chez qui par contre, je ne le sais pas encore.”
Quoiqu’il en soit, il semblerait que le Calvin 2019 ait passé un cap, on se fait des films ou tu confirmes ?
” Si l’on juge l’année dans sa globalité, je pense que oui. J’ai la sensation d’avoir passé un petit cap, mais je dirais qu’il est surtout psychologique. Je ne me vois plus comme le petit jeune qui bataille contre les gros bras de la catégorie, ses aînés. Celui qui faisait des politesses. Je pense faire maintenant partie de l’élite, m’être affirmé dans le parc.”
Bon et on peut savoir si oui ou non t’as fait floquer un maillot avec le numéro 1 dessus en cas de victoire ?
“Oh que non ! Il me reste encore beaucoup de chemin à faire et ce n’est pas mon genre de m’emballer comme ça (rires)”.
L’outsider
Troisième du SX Tour à la veille de la grande finale, à 1 petit point des leaders, Thomas Do et Yannis Irsuti, le jeune Calvin Fonvieille peut viser un deuxième titre en supercross après celui décroché en 2017 en Junior. Un objectif qui lui demandera à peu près la même chose que ce week-end à Genève, de bons départs et des courses solides !
Alors Calvin, comment te sens-tu à la veille de cet affrontement final ? Stressé ?
“Ben franchement, pas vraiment puisque j’étais en train de faire une petite sieste ! Je suis dans le camion avec mon père et nous nous rendons à Metz, soit 10 heures de route, c’est la meilleure solution pour passer le temps ! (rires) Non, honnêtement, je ne me sens pas particulièrement en stress, c’est une course comme les autres avec le même nombre de points à glaner.”
Il y a deux ans en Junior, tu avais connu la même situation lors de la finale à Pernes et ça s’était bien déroulé…
” C’est vrai, mais j’avais enchaîné deux holeshots qui m’avaient bien aidé pour gagner les deux manches. J’étais un peu au dessus de mes concurrents ce jour-là. Ce week-end, je sais que ça ne sera pas la même histoire. Le niveau est très homogène devant et je ne me sens pas comme le favori. Mon bon week-end à Genève le week-end dernier ne m’a pas donné un ascendant psychologique sur mes concurrents. Ce sont des teignes qui ne lâchent rien. J’ai eu la chance de partir devant à Genève, voilà tout. Je ne les ai pas ramarrés en partant derrière et doublés à la régulière. Et puis, il ne faut pas se limiter à Do et Irsuti, Brian Hsu n’est qu’à 13 points de nous et il sera tout aussi dangereux que les deux autres. On a vu qu’il était très rapide. Il est peut être un peu chaud dans les whoops par moment, mais en course, c’est un pilote sûr, solide ! Idem pour Julien Roussaly, il pourra s’immiscer dans notre bagarre…”
Est-ce que tu penses que cette finale peut prendre une tournure guerrière ?
“Est-ce que ça peut tourner à la foire d’empoigne ? Non, je ne pense pas. Do, comme Irsuti, sont des battants, mais ils restent corrects sur la piste. Evidemment, ils savent jouer des coudes, mais dans une certaine limite. Et ça sera normal. Un titre sera en jeu. Je ne pense pas qu’ils sont du genre à faire des attentas, ou à sauter de gauche à droite pour rester devant. C’est vrai qu’à Paris l’année dernière, on les avait vu s’accrocher, mais ça n’avait pas été dangereux. En tout cas, je n’ai pas de crainte particulière à ce niveau à la veille de la course.”
Tu aimes le Galaxy d’Amnéville, une petite salle…
” Oui. C’est petit c’est vrai mais la terre est bonne, sans cailloux et ça reste agréable à rouler.”
Ce potentiel titre pourrait changer ta carrière ?
” Je ne le pense pas. L’année prochaine, je connais déjà mon programme : National MX1, Elite MX2 et SX2… Chez qui par contre, je ne le sais pas encore.”
Quoiqu’il en soit, il semblerait que le Calvin 2019 ait passé un cap, on se fait des films ou tu confirmes ?
” Si l’on juge l’année dans sa globalité, je pense que oui. J’ai la sensation d’avoir passé un petit cap, mais je dirais qu’il est surtout psychologique. Je ne me vois plus comme le petit jeune qui bataille contre les gros bras de la catégorie, ses aînés. Celui qui faisait des politesses. Je pense faire maintenant partie de l’élite, m’être affirmé dans le parc.”
Bon et on peut savoir si oui ou non t’as fait floquer un maillot avec le numéro 1 dessus en cas de victoire ?
“Oh que non ! Il me reste encore beaucoup de chemin à faire et ce n’est pas mon genre de m’emballer comme ça (rires)”.
L’outsider
Troisième du SX Tour à la veille de la grande finale, à 1 petit point des leaders, Thomas Do et Yannis Irsuti, le jeune Calvin Fonvieille peut viser un deuxième titre en supercross après celui décroché en 2017 en Junior. Un objectif qui lui demandera à peu près la même chose que ce week-end à Genève, de bons départs et des courses solides !
Alors Calvin, comment te sens-tu à la veille de cet affrontement final ? Stressé ?
“Ben franchement, pas vraiment puisque j’étais en train de faire une petite sieste ! Je suis dans le camion avec mon père et nous nous rendons à Metz, soit 10 heures de route, c’est la meilleure solution pour passer le temps ! (rires) Non, honnêtement, je ne me sens pas particulièrement en stress, c’est une course comme les autres avec le même nombre de points à glaner.”
Il y a deux ans en Junior, tu avais connu la même situation lors de la finale à Pernes et ça s’était bien déroulé…
” C’est vrai, mais j’avais enchaîné deux holeshots qui m’avaient bien aidé pour gagner les deux manches. J’étais un peu au dessus de mes concurrents ce jour-là. Ce week-end, je sais que ça ne sera pas la même histoire. Le niveau est très homogène devant et je ne me sens pas comme le favori. Mon bon week-end à Genève le week-end dernier ne m’a pas donné un ascendant psychologique sur mes concurrents. Ce sont des teignes qui ne lâchent rien. J’ai eu la chance de partir devant à Genève, voilà tout. Je ne les ai pas ramarrés en partant derrière et doublés à la régulière. Et puis, il ne faut pas se limiter à Do et Irsuti, Brian Hsu n’est qu’à 13 points de nous et il sera tout aussi dangereux que les deux autres. On a vu qu’il était très rapide. Il est peut être un peu chaud dans les whoops par moment, mais en course, c’est un pilote sûr, solide ! Idem pour Julien Roussaly, il pourra s’immiscer dans notre bagarre…”
Est-ce que tu penses que cette finale peut prendre une tournure guerrière ?
“Est-ce que ça peut tourner à la foire d’empoigne ? Non, je ne pense pas. Do, comme Irsuti, sont des battants, mais ils restent corrects sur la piste. Evidemment, ils savent jouer des coudes, mais dans une certaine limite. Et ça sera normal. Un titre sera en jeu. Je ne pense pas qu’ils sont du genre à faire des attentas, ou à sauter de gauche à droite pour rester devant. C’est vrai qu’à Paris l’année dernière, on les avait vu s’accrocher, mais ça n’avait pas été dangereux. En tout cas, je n’ai pas de crainte particulière à ce niveau à la veille de la course.”
Tu aimes le Galaxy d’Amnéville, une petite salle…
” Oui. C’est petit c’est vrai mais la terre est bonne, sans cailloux et ça reste agréable à rouler.”
Ce potentiel titre pourrait changer ta carrière ?
” Je ne le pense pas. L’année prochaine, je connais déjà mon programme : National MX1, Elite MX2 et SX2… Chez qui par contre, je ne le sais pas encore.”
Quoiqu’il en soit, il semblerait que le Calvin 2019 ait passé un cap, on se fait des films ou tu confirmes ?
” Si l’on juge l’année dans sa globalité, je pense que oui. J’ai la sensation d’avoir passé un petit cap, mais je dirais qu’il est surtout psychologique. Je ne me vois plus comme le petit jeune qui bataille contre les gros bras de la catégorie, ses aînés. Celui qui faisait des politesses. Je pense faire maintenant partie de l’élite, m’être affirmé dans le parc.”
Bon et on peut savoir si oui ou non t’as fait floquer un maillot avec le numéro 1 dessus en cas de victoire ?
“Oh que non ! Il me reste encore beaucoup de chemin à faire et ce n’est pas mon genre de m’emballer comme ça (rires)”.
L’outsider
Troisième du SX Tour à la veille de la grande finale, à 1 petit point des leaders, Thomas Do et Yannis Irsuti, le jeune Calvin Fonvieille peut viser un deuxième titre en supercross après celui décroché en 2017 en Junior. Un objectif qui lui demandera à peu près la même chose que ce week-end à Genève, de bons départs et des courses solides !
Alors Calvin, comment te sens-tu à la veille de cet affrontement final ? Stressé ?
“Ben franchement, pas vraiment puisque j’étais en train de faire une petite sieste ! Je suis dans le camion avec mon père et nous nous rendons à Metz, soit 10 heures de route, c’est la meilleure solution pour passer le temps ! (rires) Non, honnêtement, je ne me sens pas particulièrement en stress, c’est une course comme les autres avec le même nombre de points à glaner.”
Il y a deux ans en Junior, tu avais connu la même situation lors de la finale à Pernes et ça s’était bien déroulé…
” C’est vrai, mais j’avais enchaîné deux holeshots qui m’avaient bien aidé pour gagner les deux manches. J’étais un peu au dessus de mes concurrents ce jour-là. Ce week-end, je sais que ça ne sera pas la même histoire. Le niveau est très homogène devant et je ne me sens pas comme le favori. Mon bon week-end à Genève le week-end dernier ne m’a pas donné un ascendant psychologique sur mes concurrents. Ce sont des teignes qui ne lâchent rien. J’ai eu la chance de partir devant à Genève, voilà tout. Je ne les ai pas ramarrés en partant derrière et doublés à la régulière. Et puis, il ne faut pas se limiter à Do et Irsuti, Brian Hsu n’est qu’à 13 points de nous et il sera tout aussi dangereux que les deux autres. On a vu qu’il était très rapide. Il est peut être un peu chaud dans les whoops par moment, mais en course, c’est un pilote sûr, solide ! Idem pour Julien Roussaly, il pourra s’immiscer dans notre bagarre…”
Est-ce que tu penses que cette finale peut prendre une tournure guerrière ?
“Est-ce que ça peut tourner à la foire d’empoigne ? Non, je ne pense pas. Do, comme Irsuti, sont des battants, mais ils restent corrects sur la piste. Evidemment, ils savent jouer des coudes, mais dans une certaine limite. Et ça sera normal. Un titre sera en jeu. Je ne pense pas qu’ils sont du genre à faire des attentas, ou à sauter de gauche à droite pour rester devant. C’est vrai qu’à Paris l’année dernière, on les avait vu s’accrocher, mais ça n’avait pas été dangereux. En tout cas, je n’ai pas de crainte particulière à ce niveau à la veille de la course.”
Tu aimes le Galaxy d’Amnéville, une petite salle…
” Oui. C’est petit c’est vrai mais la terre est bonne, sans cailloux et ça reste agréable à rouler.”
Ce potentiel titre pourrait changer ta carrière ?
” Je ne le pense pas. L’année prochaine, je connais déjà mon programme : National MX1, Elite MX2 et SX2… Chez qui par contre, je ne le sais pas encore.”
Quoiqu’il en soit, il semblerait que le Calvin 2019 ait passé un cap, on se fait des films ou tu confirmes ?
” Si l’on juge l’année dans sa globalité, je pense que oui. J’ai la sensation d’avoir passé un petit cap, mais je dirais qu’il est surtout psychologique. Je ne me vois plus comme le petit jeune qui bataille contre les gros bras de la catégorie, ses aînés. Celui qui faisait des politesses. Je pense faire maintenant partie de l’élite, m’être affirmé dans le parc.”
Bon et on peut savoir si oui ou non t’as fait floquer un maillot avec le numéro 1 dessus en cas de victoire ?
“Oh que non ! Il me reste encore beaucoup de chemin à faire et ce n’est pas mon genre de m’emballer comme ça (rires)”.