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Tu veux rire ou quoi.
Pas plus tard qu il y a 2 semaines je me suis fait opérer de la clavicule par ce qui semble être un disciple du boucher de Rostov. J ai eu droit a une plaque, des vis, et une greffe en sus ( je crois bien que cette dernière n’était pas absolument nécessaire, mais comme il semblait manquer de pratique, il a dû se dire que ça ferait un bon entrainement ) . Bref, au réveil, la douleur était telle qu’on aurait pu la comparer à celle d une mère accouchant de 5 jumeaux totalement enmêlés et extraits en une seule boule.
N’empêche, que quand l infirmière passait prendre de mes nouvelles, je n’hésitais pas une seule seconde à lui claquer un " m^me pas mal " dans sa face.
Et je crois bien que je l’ai impressionné, car elle me disait à chaque fois que j’étais vraiment très brave, et qu’elle rêverait que tous les patients soient comme moi.
Tu veux rire ou quoi.
Pas plus tard qu il y a 2 semaines je me suis fait opérer de la clavicule par ce qui semble être un disciple du boucher de Rostov. J ai eu droit a une plaque, des vis, et une greffe en sus ( je crois bien que cette dernière n’était pas absolument nécessaire, mais comme il semblait manquer de pratique, il a dû se dire que ça ferait un bon entrainement ) . Bref, au réveil, la douleur était telle qu’on aurait pu la comparer à celle d une mère accouchant de 5 jumeaux totalement enmêlés et extraits en une seule boule.
N’empêche, que quand l infirmière passait prendre de mes nouvelles, je n’hésitais pas une seule seconde à lui claquer un " m^me pas mal " dans sa face.
Et je crois bien que je l’ai impressionné, car elle me disait à chaque fois que j’étais vraiment très brave, et qu’elle rêverait que tous les patients soient comme moi.
Et j’ai osé douter…
Merci pour ce récit un tantinet jubilatoire et gloire à toi Redneck. Tu as mérité un poster de https://mx2k.com/wp-content/uploads/2021/03/raptor-1.jpg Bronson, qui viendra ornercette chambre d’hopital, si tant est que tu n’en sois pas sorti sans préavis après avoir arraché tes perfs et signé de ton sang la décharge tendue par l’interne de service et donc cette infirmière qui ne manquera pas de se pâmer devant une telle bravitude…(elle est socialiste, c’est sont seul défaut).
Et j’ai osé douter…
Merci pour ce récit un tantinet jubilatoire et gloire à toi Redneck. Tu as mérité un poster de https://mx2k.com/wp-content/uploads/2021/03/raptor-1.jpg Bronson, qui viendra ornercette chambre d’hopital, si tant est que tu n’en sois pas sorti sans préavis après avoir arraché tes perfs et signé de ton sang la décharge tendue par l’interne de service et donc cette infirmière qui ne manquera pas de se pâmer devant une telle bravitude…(elle est socialiste, c’est sont seul défaut).
et si tant est qu il devait t’en rester, j’espère que le recit suivant reglera les choses de manière definitive.
C’était en 73 en plein scandale du Watergate. J’étais alors un jeune et bel éphèbe qui se prélassait sur une merveilleuse plage du Costa Rica. Après quelques Margaritas prises sous un soleil de plomb, je commençais lentement à sombrer dans un demi sommeil. Tout à coup de feroces aboiements me tiraient de ma torpeur et à peine avais-je ouvert les yeux, que je vis une immense colonie de bernard l’hermite qui se dirigeaient droit vers moi, prêts à en découdre. Je faillis avoir une crise cardiaque
Bien sûr, rôti comme je l’étais, je n’ai même pas eu le temps de penser à m’enfuir que ces saletés de monstres étaient déjà sur moi, et en moins de temps qu il n’en faut pour le dire , mon maillot speedo flambant neuf était totalement déchiqueté, et ma cuisse droite ainsi que le petit orteil, complètement bouffés.
Une fois repues, ces racailles m’ont enfin laissé en paix. J’étais dans un sale état. Fort heureusement le patron de la cahute ou je m’approvisionnais en margaritas avait suivi toute la scène, et à peine avais-je repris mes esprits, que j’entendais déjà la sirène du SAMU local.
Malheureusement je n’étais pas au bout de mes peines, car le chauffeur était un type du Vanuatu qui apparemment n’avait jamais vu une brosse à cheveux de sa vie, et le brancardier , un chinetoque aux carreaux tellement opaques qu’à 3m de moi il ne ‘m’aurait probablement jamais trouvé, s ‘il était venu seul. Cerise sur le gateau, ces deux-là étaient ronds comme des coings.
Bref, grâce à mon sens aigu du discernement, j ai tout de suite vu que je ne pourrai pas faire confiance à ces 2 loustics, et les renvoyais sur le champs
Une fois partis, j’ai commandé 3 bieres, 2 margaritas, et un bébé rose au barman. J’ai sifflé tout ça, et lui ai ensuite demandé de me verser un demi litre de sky sur les plaies, tout en mordant mon gros mouchoir en tissu vichy.
eh bien crois-le ou non, mais le soir même, j’étais le roi de la piste de danse.
et je ne sais pas s’il est bien necessaire de préciser que ce soir-là les meufs faisaient la queue pour m’inviter à danser des slows (faut dire que j’avais demandé au barman de raconter à tout le monde ce qui s’était passé, tout en précesant qu il serait bon d’exagerer un ptit peu certaines scènes )
Alors, c’est bon là ?
et si tant est qu il devait t’en rester, j’espère que le recit suivant reglera les choses de manière definitive.
C’était en 73 en plein scandale du Watergate. J’étais alors un jeune et bel éphèbe qui se prélassait sur une merveilleuse plage du Costa Rica. Après quelques Margaritas prises sous un soleil de plomb, je commençais lentement à sombrer dans un demi sommeil. Tout à coup de feroces aboiements me tiraient de ma torpeur et à peine avais-je ouvert les yeux, que je vis une immense colonie de bernard l’hermite qui se dirigeaient droit vers moi, prêts à en découdre. Je faillis avoir une crise cardiaque
Bien sûr, rôti comme je l’étais, je n’ai même pas eu le temps de penser à m’enfuir que ces saletés de monstres étaient déjà sur moi, et en moins de temps qu il n’en faut pour le dire , mon maillot speedo flambant neuf était totalement déchiqueté, et ma cuisse droite ainsi que le petit orteil, complètement bouffés.
Une fois repues, ces racailles m’ont enfin laissé en paix. J’étais dans un sale état. Fort heureusement le patron de la cahute ou je m’approvisionnais en margaritas avait suivi toute la scène, et à peine avais-je repris mes esprits, que j’entendais déjà la sirène du SAMU local.
Malheureusement je n’étais pas au bout de mes peines, car le chauffeur était un type du Vanuatu qui apparemment n’avait jamais vu une brosse à cheveux de sa vie, et le brancardier , un chinetoque aux carreaux tellement opaques qu’à 3m de moi il ne ‘m’aurait probablement jamais trouvé, s ‘il était venu seul. Cerise sur le gateau, ces deux-là étaient ronds comme des coings.
Bref, grâce à mon sens aigu du discernement, j ai tout de suite vu que je ne pourrai pas faire confiance à ces 2 loustics, et les renvoyais sur le champs
Une fois partis, j’ai commandé 3 bieres, 2 margaritas, et un bébé rose au barman. J’ai sifflé tout ça, et lui ai ensuite demandé de me verser un demi litre de sky sur les plaies, tout en mordant mon gros mouchoir en tissu vichy.
eh bien crois-le ou non, mais le soir même, j’étais le roi de la piste de danse.
et je ne sais pas s’il est bien necessaire de préciser que ce soir-là les meufs faisaient la queue pour m’inviter à danser des slows (faut dire que j’avais demandé au barman de raconter à tout le monde ce qui s’était passé, tout en précesant qu il serait bon d’exagerer un ptit peu certaines scènes )
Alors, c’est bon là ?
En 1973 c’étais les slip kangourou en fil d’écosse inifuge.
En 1973 c’étais les slip kangourou en fil d’écosse inifuge.
Puisqu’on en est à évoquer nos tours de force…
Je me souviens d’un matin de juillet dans les années 70… C’était au Vietnam, ou à la Forêt du Parc, je ne me souviens plus très bien…
Un beau matin, je sors tant bien que mal de ma torpeur, dans l’épaisse moiteur d’une nuit d’orage comme il y en a parfois là bas, et sans crier gare, un pied de lit vient percuter violemment mon gros orteil droit.
J’ai serré les dents, crois moi, mais j’ai pas moufté… je me souviens avoir broyé le gobelet en plastique que je tenais dans ma main gauche, l’adrénlaline et la douleur ayant décuplé ma force. Mais je suis resté conscient tout du long.
Tu me croiras si tu veux mais le soir même j’étais à mon poste, devant la téloche pour mater un Starsky et Hutch comme si de rien n’était.
Tel quel…
Puisqu’on en est à évoquer nos tours de force…
Je me souviens d’un matin de juillet dans les années 70… C’était au Vietnam, ou à la Forêt du Parc, je ne me souviens plus très bien…
Un beau matin, je sors tant bien que mal de ma torpeur, dans l’épaisse moiteur d’une nuit d’orage comme il y en a parfois là bas, et sans crier gare, un pied de lit vient percuter violemment mon gros orteil droit.
J’ai serré les dents, crois moi, mais j’ai pas moufté… je me souviens avoir broyé le gobelet en plastique que je tenais dans ma main gauche, l’adrénlaline et la douleur ayant décuplé ma force. Mais je suis resté conscient tout du long.
Tu me croiras si tu veux mais le soir même j’étais à mon poste, devant la téloche pour mater un Starsky et Hutch comme si de rien n’était.
Tel quel…
Je vois que nous sommes faits de la même veine.
Je vois que nous sommes faits de la même veine.
J’avoue que je suis quand même septique sur ce retour prématuré après une telle blessure surtout que le fémur était bien déplacé au niveau de la fracture.
Apres quels sont les risques de rouler avec une fracture si peu consolidée : au pire une fin de carrière prématurée s’il fait du petit bois avec son fémur au Mexique ?
J’avoue que je suis quand même septique sur ce retour prématuré après une telle blessure surtout que le fémur était bien déplacé au niveau de la fracture.
Apres quels sont les risques de rouler avec une fracture si peu consolidée : au pire une fin de carrière prématurée s’il fait du petit bois avec son fémur au Mexique ?
En même temps, il n’aura pas besoin de gagner, juste de finir… Et comme ils seront 20 à tout péter, dont 7/8 liguards, il va tranquillement pouvoir rouler sur une jambe et assurer un joli 17/19 des familles pour conclure le deal.
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