Tout est relatif
Coucou les petits neveux ! Que les choses soient bien claires : cette chronique n’a pas pour unique objet de traiter, chaque semaine, de l’évolution de la saison de Supercross US. No way. Mais n’est-il pas évident que l’actualité, en ce mois de janvier, est dominée par ce qui se passe à l’Ouest ? Où, en trois épreuves, les divers observateurs ont déjà vu se dérouler sous leurs yeux de quoi tartiner quelques milliers de feuillets dactylo !
« Ah ma brave dame, on est bien peu de chose ! ». Eh oui, pour sûr ! Voyez Ken Roczen : la semaine dernière il était le roi du monde, le number one incontesté, il était un « roc », aujourd’hui ce n’est plus qu’un pauvre corps blessé sur un lit d’hôpital… Samedi soir, en finale, à Anaheim II, il a suffi d’un départ nettement moins abouti que les deux semaines précédentes pour changer la donne du tout au tout.
Pensez, l’Allemand n’était pas dans le top-ten au bout de la première ligne droite ! Mais il s’est faufilé comme un chef et a pu rapidos revenir septième, puis six à la fin de la boucle initiale. Lancé dans une remontée météorique le voici très vite remonté troisième, derrière son coéquipier Cole Seely, auteur quant à lui d’une envolée somptueuse. Les minutes filaient, on en était à presque neuf déjà écoulées, soit pas loin de la mi-course, KR 94 butait sur son team-mate et, devant, Ryan Dungey qui avait pris les commandes très tôt cruisait à quatre secondes environ… Bref, la situation n’avait rien de désespéré pour le porteur de la plaque rouge mais, sans doute quelque peu agacé par cette situation « inhabituelle » pour lui par rapport à ce qu’il avait vécu depuis le début du championnat, Kenny a commis une erreur qui s’est avérée fatale.
Peut-être, comme l’ont fait remarquer certains internautes férus de technique sur certains sites spécialisés US, la conception de la nouvelle CRF, plus « compacte » au niveau du système de suspension arrière, a-t-elle pu amplifier l’effet de la bourde, d’autant qu’il est de notoriété publique que, par rapport à ses petits camarades top-riders, Roczen apprécie un amortisseur réglé sensiblement (et pour de nombreux observateurs, étonnamment) plus souple : en tous cas, c’est ainsi, sur ce coup-là le champion s’est loupé ! Sans doute, heureusement, a-t-il eu le réflexe salvateur de tendre le bras en protection et d’éviter ainsi un choc pleine tête qui eût sans nul doute été ravageur, cela dit l’avant-bras gauche n’a pas supporté la violence du choc. Fracture ouverte du radius, poignet et coude luxés (on a plutôt envie de dire, au vu de l’image que le pilote a lui-même tweetée… explosés), il y a eu du dégât ! Même si, comme on dit, ça aurait pu être pire… En effet, selon toute vraisemblance, le pilote du HRC sera réparé au mois de mai pour tenter de défendre son titre outdoor, on l’espère.
Mais la belle histoire qui, il y a huit jours, me rendait lyrique, cette merveilleuse domination sur les deux premiers rounds et la fantastique bataille qui s’annonçait ultra-hot avec le champion régnant, eh bien ciao tutti, on oublie. Rideau ! A vrai dire, samedi soir, j’étais complètement dégoûté. La brutalité de la chute et, pire (c’est pas moi qui morfle), celle de la tournure des événements, le font que, quelque part c’est probable, le championnat est plié (n’importe comment, d’ores et déjà amputé-sabré de l’un de ses animateurs primordiaux). Certes, on n’est peut-être pas au bout de nos surprises, mais sur le moment ça m’a carrément mis le blues. « Oh when a train comes in the station, with a suitcase in my hand… ».
Ouais, on est vraiment si peu de chose. Non seulement Ken Roczen a vu tous ses espoirs s’envoler en une pognée de secondes, en plus il souffre dans sa chair : comme il n’a pas manqué de le faire remarquer dans son premier message post-crash, durant la première trentaine d’heures après l’accident il a dégusté sérieux ! On n’en doute pas un seul instant. Quant à son employeur, je ne vous dis pas : on devait faire carrément grise mine lundi matin chez Honda, où l’on se voyait déjà de retour (enfin !) au firmament…
Ouaip ! Ah, tout ça fait réfléchir… Au relativisme, par exemple. Je n’ai pas dit relativité, on ne va pas non plus convoquer Albert Einstein, tout de même ! Et puis il est dit que cette chronique se veut souriante, au minimum !
Alors j’aurais pu vous entretenir de l’Arenacross british, qui voit briller comme jamais (là aussi : enfin !) un certain Cyrille Coulon. Un type qui, que je sache, avait annoncé fin 2015 son retrait définitif du motocross. Et on retrouve le même, aujourd’hui, début 2017, leader d’une série de portée internationale ? Pas mal pour un senior retiré des affaires !
Enfin, dans dix jours, m’sieurs-dames, c’est le Touquet ! On aura l’occasion d’en reparler, pas plus tard que la semaine prochaine mais, qu’en dites-vous : y aura-t-il au départ quelqu’un capable de battre le triple vainqueur en titre, AVB ?
Tout est relatif
Coucou les petits neveux ! Que les choses soient bien claires : cette chronique n’a pas pour unique objet de traiter, chaque semaine, de l’évolution de la saison de Supercross US. No way. Mais n’est-il pas évident que l’actualité, en ce mois de janvier, est dominée par ce qui se passe à l’Ouest ? Où, en trois épreuves, les divers observateurs ont déjà vu se dérouler sous leurs yeux de quoi tartiner quelques milliers de feuillets dactylo !
« Ah ma brave dame, on est bien peu de chose ! ». Eh oui, pour sûr ! Voyez Ken Roczen : la semaine dernière il était le roi du monde, le number one incontesté, il était un « roc », aujourd’hui ce n’est plus qu’un pauvre corps blessé sur un lit d’hôpital… Samedi soir, en finale, à Anaheim II, il a suffi d’un départ nettement moins abouti que les deux semaines précédentes pour changer la donne du tout au tout.
Pensez, l’Allemand n’était pas dans le top-ten au bout de la première ligne droite ! Mais il s’est faufilé comme un chef et a pu rapidos revenir septième, puis six à la fin de la boucle initiale. Lancé dans une remontée météorique le voici très vite remonté troisième, derrière son coéquipier Cole Seely, auteur quant à lui d’une envolée somptueuse. Les minutes filaient, on en était à presque neuf déjà écoulées, soit pas loin de la mi-course, KR 94 butait sur son team-mate et, devant, Ryan Dungey qui avait pris les commandes très tôt cruisait à quatre secondes environ… Bref, la situation n’avait rien de désespéré pour le porteur de la plaque rouge mais, sans doute quelque peu agacé par cette situation « inhabituelle » pour lui par rapport à ce qu’il avait vécu depuis le début du championnat, Kenny a commis une erreur qui s’est avérée fatale.
Peut-être, comme l’ont fait remarquer certains internautes férus de technique sur certains sites spécialisés US, la conception de la nouvelle CRF, plus « compacte » au niveau du système de suspension arrière, a-t-elle pu amplifier l’effet de la bourde, d’autant qu’il est de notoriété publique que, par rapport à ses petits camarades top-riders, Roczen apprécie un amortisseur réglé sensiblement (et pour de nombreux observateurs, étonnamment) plus souple : en tous cas, c’est ainsi, sur ce coup-là le champion s’est loupé ! Sans doute, heureusement, a-t-il eu le réflexe salvateur de tendre le bras en protection et d’éviter ainsi un choc pleine tête qui eût sans nul doute été ravageur, cela dit l’avant-bras gauche n’a pas supporté la violence du choc. Fracture ouverte du radius, poignet et coude luxés (on a plutôt envie de dire, au vu de l’image que le pilote a lui-même tweetée… explosés), il y a eu du dégât ! Même si, comme on dit, ça aurait pu être pire… En effet, selon toute vraisemblance, le pilote du HRC sera réparé au mois de mai pour tenter de défendre son titre outdoor, on l’espère.
Mais la belle histoire qui, il y a huit jours, me rendait lyrique, cette merveilleuse domination sur les deux premiers rounds et la fantastique bataille qui s’annonçait ultra-hot avec le champion régnant, eh bien ciao tutti, on oublie. Rideau ! A vrai dire, samedi soir, j’étais complètement dégoûté. La brutalité de la chute et, pire (c’est pas moi qui morfle), celle de la tournure des événements, le font que, quelque part c’est probable, le championnat est plié (n’importe comment, d’ores et déjà amputé-sabré de l’un de ses animateurs primordiaux). Certes, on n’est peut-être pas au bout de nos surprises, mais sur le moment ça m’a carrément mis le blues. « Oh when a train comes in the station, with a suitcase in my hand… ».
Ouais, on est vraiment si peu de chose. Non seulement Ken Roczen a vu tous ses espoirs s’envoler en une pognée de secondes, en plus il souffre dans sa chair : comme il n’a pas manqué de le faire remarquer dans son premier message post-crash, durant la première trentaine d’heures après l’accident il a dégusté sérieux ! On n’en doute pas un seul instant. Quant à son employeur, je ne vous dis pas : on devait faire carrément grise mine lundi matin chez Honda, où l’on se voyait déjà de retour (enfin !) au firmament…
Ouaip ! Ah, tout ça fait réfléchir… Au relativisme, par exemple. Je n’ai pas dit relativité, on ne va pas non plus convoquer Albert Einstein, tout de même ! Et puis il est dit que cette chronique se veut souriante, au minimum !
Alors j’aurais pu vous entretenir de l’Arenacross british, qui voit briller comme jamais (là aussi : enfin !) un certain Cyrille Coulon. Un type qui, que je sache, avait annoncé fin 2015 son retrait définitif du motocross. Et on retrouve le même, aujourd’hui, début 2017, leader d’une série de portée internationale ? Pas mal pour un senior retiré des affaires !
Enfin, dans dix jours, m’sieurs-dames, c’est le Touquet ! On aura l’occasion d’en reparler, pas plus tard que la semaine prochaine mais, qu’en dites-vous : y aura-t-il au départ quelqu’un capable de battre le triple vainqueur en titre, AVB ?
Tout est relatif
Coucou les petits neveux ! Que les choses soient bien claires : cette chronique n’a pas pour unique objet de traiter, chaque semaine, de l’évolution de la saison de Supercross US. No way. Mais n’est-il pas évident que l’actualité, en ce mois de janvier, est dominée par ce qui se passe à l’Ouest ? Où, en trois épreuves, les divers observateurs ont déjà vu se dérouler sous leurs yeux de quoi tartiner quelques milliers de feuillets dactylo !
« Ah ma brave dame, on est bien peu de chose ! ». Eh oui, pour sûr ! Voyez Ken Roczen : la semaine dernière il était le roi du monde, le number one incontesté, il était un « roc », aujourd’hui ce n’est plus qu’un pauvre corps blessé sur un lit d’hôpital… Samedi soir, en finale, à Anaheim II, il a suffi d’un départ nettement moins abouti que les deux semaines précédentes pour changer la donne du tout au tout.
Pensez, l’Allemand n’était pas dans le top-ten au bout de la première ligne droite ! Mais il s’est faufilé comme un chef et a pu rapidos revenir septième, puis six à la fin de la boucle initiale. Lancé dans une remontée météorique le voici très vite remonté troisième, derrière son coéquipier Cole Seely, auteur quant à lui d’une envolée somptueuse. Les minutes filaient, on en était à presque neuf déjà écoulées, soit pas loin de la mi-course, KR 94 butait sur son team-mate et, devant, Ryan Dungey qui avait pris les commandes très tôt cruisait à quatre secondes environ… Bref, la situation n’avait rien de désespéré pour le porteur de la plaque rouge mais, sans doute quelque peu agacé par cette situation « inhabituelle » pour lui par rapport à ce qu’il avait vécu depuis le début du championnat, Kenny a commis une erreur qui s’est avérée fatale.
Peut-être, comme l’ont fait remarquer certains internautes férus de technique sur certains sites spécialisés US, la conception de la nouvelle CRF, plus « compacte » au niveau du système de suspension arrière, a-t-elle pu amplifier l’effet de la bourde, d’autant qu’il est de notoriété publique que, par rapport à ses petits camarades top-riders, Roczen apprécie un amortisseur réglé sensiblement (et pour de nombreux observateurs, étonnamment) plus souple : en tous cas, c’est ainsi, sur ce coup-là le champion s’est loupé ! Sans doute, heureusement, a-t-il eu le réflexe salvateur de tendre le bras en protection et d’éviter ainsi un choc pleine tête qui eût sans nul doute été ravageur, cela dit l’avant-bras gauche n’a pas supporté la violence du choc. Fracture ouverte du radius, poignet et coude luxés (on a plutôt envie de dire, au vu de l’image que le pilote a lui-même tweetée… explosés), il y a eu du dégât ! Même si, comme on dit, ça aurait pu être pire… En effet, selon toute vraisemblance, le pilote du HRC sera réparé au mois de mai pour tenter de défendre son titre outdoor, on l’espère.
Mais la belle histoire qui, il y a huit jours, me rendait lyrique, cette merveilleuse domination sur les deux premiers rounds et la fantastique bataille qui s’annonçait ultra-hot avec le champion régnant, eh bien ciao tutti, on oublie. Rideau ! A vrai dire, samedi soir, j’étais complètement dégoûté. La brutalité de la chute et, pire (c’est pas moi qui morfle), celle de la tournure des événements, le font que, quelque part c’est probable, le championnat est plié (n’importe comment, d’ores et déjà amputé-sabré de l’un de ses animateurs primordiaux). Certes, on n’est peut-être pas au bout de nos surprises, mais sur le moment ça m’a carrément mis le blues. « Oh when a train comes in the station, with a suitcase in my hand… ».
Ouais, on est vraiment si peu de chose. Non seulement Ken Roczen a vu tous ses espoirs s’envoler en une pognée de secondes, en plus il souffre dans sa chair : comme il n’a pas manqué de le faire remarquer dans son premier message post-crash, durant la première trentaine d’heures après l’accident il a dégusté sérieux ! On n’en doute pas un seul instant. Quant à son employeur, je ne vous dis pas : on devait faire carrément grise mine lundi matin chez Honda, où l’on se voyait déjà de retour (enfin !) au firmament…
Ouaip ! Ah, tout ça fait réfléchir… Au relativisme, par exemple. Je n’ai pas dit relativité, on ne va pas non plus convoquer Albert Einstein, tout de même ! Et puis il est dit que cette chronique se veut souriante, au minimum !
Alors j’aurais pu vous entretenir de l’Arenacross british, qui voit briller comme jamais (là aussi : enfin !) un certain Cyrille Coulon. Un type qui, que je sache, avait annoncé fin 2015 son retrait définitif du motocross. Et on retrouve le même, aujourd’hui, début 2017, leader d’une série de portée internationale ? Pas mal pour un senior retiré des affaires !
Enfin, dans dix jours, m’sieurs-dames, c’est le Touquet ! On aura l’occasion d’en reparler, pas plus tard que la semaine prochaine mais, qu’en dites-vous : y aura-t-il au départ quelqu’un capable de battre le triple vainqueur en titre, AVB ?
Tout est relatif
Coucou les petits neveux ! Que les choses soient bien claires : cette chronique n’a pas pour unique objet de traiter, chaque semaine, de l’évolution de la saison de Supercross US. No way. Mais n’est-il pas évident que l’actualité, en ce mois de janvier, est dominée par ce qui se passe à l’Ouest ? Où, en trois épreuves, les divers observateurs ont déjà vu se dérouler sous leurs yeux de quoi tartiner quelques milliers de feuillets dactylo !
« Ah ma brave dame, on est bien peu de chose ! ». Eh oui, pour sûr ! Voyez Ken Roczen : la semaine dernière il était le roi du monde, le number one incontesté, il était un « roc », aujourd’hui ce n’est plus qu’un pauvre corps blessé sur un lit d’hôpital… Samedi soir, en finale, à Anaheim II, il a suffi d’un départ nettement moins abouti que les deux semaines précédentes pour changer la donne du tout au tout.
Pensez, l’Allemand n’était pas dans le top-ten au bout de la première ligne droite ! Mais il s’est faufilé comme un chef et a pu rapidos revenir septième, puis six à la fin de la boucle initiale. Lancé dans une remontée météorique le voici très vite remonté troisième, derrière son coéquipier Cole Seely, auteur quant à lui d’une envolée somptueuse. Les minutes filaient, on en était à presque neuf déjà écoulées, soit pas loin de la mi-course, KR 94 butait sur son team-mate et, devant, Ryan Dungey qui avait pris les commandes très tôt cruisait à quatre secondes environ… Bref, la situation n’avait rien de désespéré pour le porteur de la plaque rouge mais, sans doute quelque peu agacé par cette situation « inhabituelle » pour lui par rapport à ce qu’il avait vécu depuis le début du championnat, Kenny a commis une erreur qui s’est avérée fatale.
Peut-être, comme l’ont fait remarquer certains internautes férus de technique sur certains sites spécialisés US, la conception de la nouvelle CRF, plus « compacte » au niveau du système de suspension arrière, a-t-elle pu amplifier l’effet de la bourde, d’autant qu’il est de notoriété publique que, par rapport à ses petits camarades top-riders, Roczen apprécie un amortisseur réglé sensiblement (et pour de nombreux observateurs, étonnamment) plus souple : en tous cas, c’est ainsi, sur ce coup-là le champion s’est loupé ! Sans doute, heureusement, a-t-il eu le réflexe salvateur de tendre le bras en protection et d’éviter ainsi un choc pleine tête qui eût sans nul doute été ravageur, cela dit l’avant-bras gauche n’a pas supporté la violence du choc. Fracture ouverte du radius, poignet et coude luxés (on a plutôt envie de dire, au vu de l’image que le pilote a lui-même tweetée… explosés), il y a eu du dégât ! Même si, comme on dit, ça aurait pu être pire… En effet, selon toute vraisemblance, le pilote du HRC sera réparé au mois de mai pour tenter de défendre son titre outdoor, on l’espère.
Mais la belle histoire qui, il y a huit jours, me rendait lyrique, cette merveilleuse domination sur les deux premiers rounds et la fantastique bataille qui s’annonçait ultra-hot avec le champion régnant, eh bien ciao tutti, on oublie. Rideau ! A vrai dire, samedi soir, j’étais complètement dégoûté. La brutalité de la chute et, pire (c’est pas moi qui morfle), celle de la tournure des événements, le font que, quelque part c’est probable, le championnat est plié (n’importe comment, d’ores et déjà amputé-sabré de l’un de ses animateurs primordiaux). Certes, on n’est peut-être pas au bout de nos surprises, mais sur le moment ça m’a carrément mis le blues. « Oh when a train comes in the station, with a suitcase in my hand… ».
Ouais, on est vraiment si peu de chose. Non seulement Ken Roczen a vu tous ses espoirs s’envoler en une pognée de secondes, en plus il souffre dans sa chair : comme il n’a pas manqué de le faire remarquer dans son premier message post-crash, durant la première trentaine d’heures après l’accident il a dégusté sérieux ! On n’en doute pas un seul instant. Quant à son employeur, je ne vous dis pas : on devait faire carrément grise mine lundi matin chez Honda, où l’on se voyait déjà de retour (enfin !) au firmament…
Ouaip ! Ah, tout ça fait réfléchir… Au relativisme, par exemple. Je n’ai pas dit relativité, on ne va pas non plus convoquer Albert Einstein, tout de même ! Et puis il est dit que cette chronique se veut souriante, au minimum !
Alors j’aurais pu vous entretenir de l’Arenacross british, qui voit briller comme jamais (là aussi : enfin !) un certain Cyrille Coulon. Un type qui, que je sache, avait annoncé fin 2015 son retrait définitif du motocross. Et on retrouve le même, aujourd’hui, début 2017, leader d’une série de portée internationale ? Pas mal pour un senior retiré des affaires !
Enfin, dans dix jours, m’sieurs-dames, c’est le Touquet ! On aura l’occasion d’en reparler, pas plus tard que la semaine prochaine mais, qu’en dites-vous : y aura-t-il au départ quelqu’un capable de battre le triple vainqueur en titre, AVB ?