Y’a gourrance, là.
Dans cette affaire, un organe de presse a tout de même mandaté un avocat pour museler un concurrent qui, contrairement à lui (trompant consciemment son lectorat par seul souci de se positionner comme "organisateur" d’évènement, à risque financier nul, et sans effort… trop fort, le "Trophée Supercrampons" sur l’affiche, j’avais oublié !) écrivait la vérité (vérité avérée par la suite).
L’argument utilisé était que nous ne pouvions pas avoir la preuve de ce que nous avancions (que les pilotes annoncés ne viendraient pas) tant que l’évènement n’avait pas eu effectivement lieu et que nous étions donc dans le cadre de la diffamation (préventive) !
Forcément, ce genre de méthode agaçe.
Sans compter que titrer "enfin un vrai Supercross à Paris!" comme premier papier sur le sujet annonçait clairement la couleur : dépités devant le succès phénoménal de Bercy (et l’impact positif qui en rejaillissait sur les magazines Larivière), MJ/MC ont répondu aux sirènes d’un promoteur italien qui leur tenait le langage qu’ils avaient envie d’entendre, quitte à enfumer leurs propres lecteurs pendant des mois et à en mettre un coup à Bercy au passage, tout cela par pure jalousie et mauvais calcul commercial !
Donc, cela n’a pas été "Larivière contre la maison d’en face" mais "la maison d’en face à l’assaut de Larivière", avec des méthodes et une éthique pour le moins douteuses !
A mon souvenir, Larivière n’a nullement critiqué le SX du Parc, qui fut un bel événement (monté par un des membres originaux de l’équipe de Bercy), hélas lourdement déficitaire.
, le il y a 8 années et 1 mois.
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