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MERCI ma Louloute ; on se voit au Kenny. Tkt !
“VALENTIN dans nos Coeurs pour toujours”,
_______________
« Le “suspect principal” et sa compagne, un couple de “marginaux”, qui faisaient l’objet d’un mandat de recherche dans le cadre de l’enquête sur le meurtre du petit Valentin à Lagnieu (Ain), ont été interpellés et placés en garde à vue dimanche après-midi en Ardèche.
Le couple, dont le portrait-robot avait été diffusé en début d’après-midi, a été arrêté sans violence à Dornas par les gendarmes de la brigade du Cheylard (Ardèche) vers 15H00 après avoir été signalé par des automobilistes qui l’avaient vu en train de faire du stop.
Un important dispositif, composé notamment d’hélicoptères et de barrages routiers, avait été mis en place pour les retrouver.
Le président Sarkozy a aussitôt félicité les enquêteurs qui “se sont mobilisés sans relâche”, a indiqué l’Elysée, tandis que la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a anoncé qu’elle se rendrait lundi matin à Ambérieu-en-Bugey (Ain) pour rencontrer les enquêteurs.
De son côté, la ministre de la Justice, Rachida Dati, recevra lundi à Bourg-en-Bresse les familles des victimes, a indiqué son ministère.
Sur le plan de l’enquête, l’audition des deux marginaux a débuté dans la gendarmerie du Cheylard, où le procureur de la République s’est rendu dimanche.
Des prélèvements sont en cours, notamment sur l’ADN de ces deux personnes, qui sera comparé avec l’ADN masculin inconnu retrouvé sur le corps et les vêtements de Valentin, 11 ans, tué lundi soir d’une quarantaine de coups de couteaux.
“Nous ne les avons pas entendus sur les faits eux-mêmes”, a souligné à l’AFP le procureur Jean-Paul Gandolière. Il a précisé que les deux individus étaient calmes et qu’ils devaient être transférés par la route vers l’Ain. Ils ne seront “pas entendus sur le fond avant ce (dimanche) soir tard, ou demain (lundi) matin”, a-t-il souligné.
Deux mandats de recherche avaient été délivrés samedi soir à l’encontre de Stéphane Moitoiret, 39 ans, et de sa compagne, Noëlla Hego, 48 ans, par le procureur.
Le couple avait été identifié grâce à “un renseignement capital” provenant d’une enquête de voisinage de la gendarmerie. Des témoignages faisaient en particulier état de la présence de “deux personnes errantes avec un chat noir au bout d’une ficelle aperçues à Lagnieu ou à proximité” au moment du meurtre dans la soirée du 28 juillet, a expliqué le magistrat.
Ces renseignements avaient ensuite été “croisés” avec un contrôle d’identité des deux marginaux opéré ce même soir à Leyment (Ain), à quatre kilomètres de Lagnieu, par un gendarme de la brigade de Lagnieu, qui avait alors relevé un comportement “suspect” et “assez particulier”.
Le couple avait séjourné dans la nuit du 28 au 29 juillet dans un local paroissial situé à Saint-Sorlin-en-Bugey (Ain), sur la porte duquel les enquêteurs ont retrouvé un ADN identique à celui relevé sur le corps, les vêtements de Valentin ainsi que le sang jonchant sur 600 mètres une rue de Lagnieu.
En outre, dans cette même rue, la bande vidéo d’un établissement bancaire avait enregistré un homme passant en courant, juste après le meurtre, en direction de Saint-Sorlin, a encore indiqué le procureur de Bourg-en Bresse.
“Nous avons acquis la certitude que l’auteur des faits correspondait à la personne qui occupait ce logement” et qui fait de Stéphane Moitoiret “le suspect principal”, a encore dit le magistrat.
Les suspects étaient jusqu’à présent inconnus des services de police.
Stéphane Moitoiret, mesurant 1,70 m, de type européen, décrit par le procureur général à la cour d’appel de Lyon, Jean-Olivier Viout, comme un “psychopathe”, est un sans domicile fixe et sa dernière adresse connue, qu’il partageait avec sa compagne, se situe à Clary (Nord).
Un automobiliste, entendu samedi par les enquêteurs, a pour sa part indiqué avoir pris en auto-stop les deux marginaux qui lui auraient tenu des propos incohérents, déclarant notamment qu’ils étaient des pèlerins venus d’Australie pour effectuer en France des “descentes commandos dans les gendarmeries françaises et chez les notables français”.
Une marche silencieuse en mémoire à Valentin avait rassemblé au moins 600 personnes, dimanche matin, à Porcieu-Amblagnieu (Isère), où réside la famille de la jeune victime. “Valentin dans nos coeurs pour toujours”, proclamait une banderole placée en début de cortège. »
________________________
« J’aurais eu honte de ne pas venir”, a affirmé une vieille dame de Porcieu-Amblagnieu (Isère) qui, avec plus de 600 personnes, a participé dimanche dans les rues de la commune à une marche chargée d’émotion en hommage à Valentin, 11 ans, assassiné lundi à Lagnieu (Ain).
“J’aurais eu honte de ne pas venir, c’était impossible”, a-t-elle insisté, témoignant de la solidarité de pensée qui unit une bonne partie des résidents de la commune de 1.300 habitants, où se trouve la maison des parents de Valentin.
“On ne le connaissait pas (l’enfant) mais on l’a sûrement croisé, alors c’est spontané, il fallait participer à une chose pareille”, a ajouté la vieille dame après s’être arrêtée sur le bas côté pour reprendre son souffle.
La marche, organisée par des proches et membres de la famille de Valentin, a été l’occasion de rappeler que la petite victime serait “toujours dans leurs coeurs”.
“Valentin dans nos coeurs pour toujours”, proclamait une banderole placée en début de cortège et portée par trois jeunes gens, dont le demi-frère de Valentin, âgé de 20 ans.
Devant, un proche de la famille tenait un grand portrait de l’enfant, sur lequel on pouvait le voir sourire, tandis qu’au troisième rang une autre banderole, également portée par des proches ou amis de la famille, demandait “que justice te soit rendue”. D’autres portraits de l’enfant étaient également brandis.
Les parents de Valentin n’ont pas participé à la marche, préférant rester à l’abri des regards à leur domicile, selon des membres de la famille.
La grande majorité des participants à la marche était vêtue de blanc et beaucoup serraient dans leurs mains des fleurs blanches, principalement des roses.
Le cortège, qui s’est élancé sous une grosse chaleur vers 10H30 de la salle polyvalente de Porcieu-Amblagnieu, s’est dispersé une heure plus tard devant la maison des parents de Valentin, après une boucle par la mairie. Durant tout le trajet, régnait le plus grand silence, très émouvant.
“Je tiens à remercier tous les gens qui ont manifesté de la sympathie”, a déclaré à l’issue de la marche Jean-François Dombon, le parrain de Valentin.
“J’en appelle solennellement à Monsieur le président de la République afin que soit rétablie la peine de mort pour les crimes sur l’enfance”, a ensuite lancé M. Dombon, soulevant une vague d’applaudissements nourris.
Le parrain de Valentin a invité le meurtrier de l’enfant à “se dénoncer le plus vite possible et à s’expliquer”.
A l’arrière du cortège, deux dames ayant des attaches à Porcieu avouent être venues “exprès” de Lyon, où elles résident, afin de “soutenir les parents”. “On a l’impression qu’on leur doit ça”, ont-elles commenté.
Après la marche, des membres de la famille de Valentin et des centaines d’autres personnes se sont rendues à Lagnieu –distante de quelques kilomètres– afin de déposer des fleurs et de respecter une minute de silence sur les lieux du meurtre.
Là encore, le cortège a traversé la place principale de la commune plongée dans un profond silence. Les habitants se tenaient en rangs serrés sur les trottoirs et les commerces avaient baissé leurs rideaux. »
__________
Sources : Orange.
“VALENTIN dans nos Coeurs pour toujours”,
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« Le “suspect principal” et sa compagne, un couple de “marginaux”, qui faisaient l’objet d’un mandat de recherche dans le cadre de l’enquête sur le meurtre du petit Valentin à Lagnieu (Ain), ont été interpellés et placés en garde à vue dimanche après-midi en Ardèche.
Le couple, dont le portrait-robot avait été diffusé en début d’après-midi, a été arrêté sans violence à Dornas par les gendarmes de la brigade du Cheylard (Ardèche) vers 15H00 après avoir été signalé par des automobilistes qui l’avaient vu en train de faire du stop.
Un important dispositif, composé notamment d’hélicoptères et de barrages routiers, avait été mis en place pour les retrouver.
Le président Sarkozy a aussitôt félicité les enquêteurs qui “se sont mobilisés sans relâche”, a indiqué l’Elysée, tandis que la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a anoncé qu’elle se rendrait lundi matin à Ambérieu-en-Bugey (Ain) pour rencontrer les enquêteurs.
De son côté, la ministre de la Justice, Rachida Dati, recevra lundi à Bourg-en-Bresse les familles des victimes, a indiqué son ministère.
Sur le plan de l’enquête, l’audition des deux marginaux a débuté dans la gendarmerie du Cheylard, où le procureur de la République s’est rendu dimanche.
Des prélèvements sont en cours, notamment sur l’ADN de ces deux personnes, qui sera comparé avec l’ADN masculin inconnu retrouvé sur le corps et les vêtements de Valentin, 11 ans, tué lundi soir d’une quarantaine de coups de couteaux.
“Nous ne les avons pas entendus sur les faits eux-mêmes”, a souligné à l’AFP le procureur Jean-Paul Gandolière. Il a précisé que les deux individus étaient calmes et qu’ils devaient être transférés par la route vers l’Ain. Ils ne seront “pas entendus sur le fond avant ce (dimanche) soir tard, ou demain (lundi) matin”, a-t-il souligné.
Deux mandats de recherche avaient été délivrés samedi soir à l’encontre de Stéphane Moitoiret, 39 ans, et de sa compagne, Noëlla Hego, 48 ans, par le procureur.
Le couple avait été identifié grâce à “un renseignement capital” provenant d’une enquête de voisinage de la gendarmerie. Des témoignages faisaient en particulier état de la présence de “deux personnes errantes avec un chat noir au bout d’une ficelle aperçues à Lagnieu ou à proximité” au moment du meurtre dans la soirée du 28 juillet, a expliqué le magistrat.
Ces renseignements avaient ensuite été “croisés” avec un contrôle d’identité des deux marginaux opéré ce même soir à Leyment (Ain), à quatre kilomètres de Lagnieu, par un gendarme de la brigade de Lagnieu, qui avait alors relevé un comportement “suspect” et “assez particulier”.
Le couple avait séjourné dans la nuit du 28 au 29 juillet dans un local paroissial situé à Saint-Sorlin-en-Bugey (Ain), sur la porte duquel les enquêteurs ont retrouvé un ADN identique à celui relevé sur le corps, les vêtements de Valentin ainsi que le sang jonchant sur 600 mètres une rue de Lagnieu.
En outre, dans cette même rue, la bande vidéo d’un établissement bancaire avait enregistré un homme passant en courant, juste après le meurtre, en direction de Saint-Sorlin, a encore indiqué le procureur de Bourg-en Bresse.
“Nous avons acquis la certitude que l’auteur des faits correspondait à la personne qui occupait ce logement” et qui fait de Stéphane Moitoiret “le suspect principal”, a encore dit le magistrat.
Les suspects étaient jusqu’à présent inconnus des services de police.
Stéphane Moitoiret, mesurant 1,70 m, de type européen, décrit par le procureur général à la cour d’appel de Lyon, Jean-Olivier Viout, comme un “psychopathe”, est un sans domicile fixe et sa dernière adresse connue, qu’il partageait avec sa compagne, se situe à Clary (Nord).
Un automobiliste, entendu samedi par les enquêteurs, a pour sa part indiqué avoir pris en auto-stop les deux marginaux qui lui auraient tenu des propos incohérents, déclarant notamment qu’ils étaient des pèlerins venus d’Australie pour effectuer en France des “descentes commandos dans les gendarmeries françaises et chez les notables français”.
Une marche silencieuse en mémoire à Valentin avait rassemblé au moins 600 personnes, dimanche matin, à Porcieu-Amblagnieu (Isère), où réside la famille de la jeune victime. “Valentin dans nos coeurs pour toujours”, proclamait une banderole placée en début de cortège. »
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« J’aurais eu honte de ne pas venir”, a affirmé une vieille dame de Porcieu-Amblagnieu (Isère) qui, avec plus de 600 personnes, a participé dimanche dans les rues de la commune à une marche chargée d’émotion en hommage à Valentin, 11 ans, assassiné lundi à Lagnieu (Ain).
“J’aurais eu honte de ne pas venir, c’était impossible”, a-t-elle insisté, témoignant de la solidarité de pensée qui unit une bonne partie des résidents de la commune de 1.300 habitants, où se trouve la maison des parents de Valentin.
“On ne le connaissait pas (l’enfant) mais on l’a sûrement croisé, alors c’est spontané, il fallait participer à une chose pareille”, a ajouté la vieille dame après s’être arrêtée sur le bas côté pour reprendre son souffle.
La marche, organisée par des proches et membres de la famille de Valentin, a été l’occasion de rappeler que la petite victime serait “toujours dans leurs coeurs”.
“Valentin dans nos coeurs pour toujours”, proclamait une banderole placée en début de cortège et portée par trois jeunes gens, dont le demi-frère de Valentin, âgé de 20 ans.
Devant, un proche de la famille tenait un grand portrait de l’enfant, sur lequel on pouvait le voir sourire, tandis qu’au troisième rang une autre banderole, également portée par des proches ou amis de la famille, demandait “que justice te soit rendue”. D’autres portraits de l’enfant étaient également brandis.
Les parents de Valentin n’ont pas participé à la marche, préférant rester à l’abri des regards à leur domicile, selon des membres de la famille.
La grande majorité des participants à la marche était vêtue de blanc et beaucoup serraient dans leurs mains des fleurs blanches, principalement des roses.
Le cortège, qui s’est élancé sous une grosse chaleur vers 10H30 de la salle polyvalente de Porcieu-Amblagnieu, s’est dispersé une heure plus tard devant la maison des parents de Valentin, après une boucle par la mairie. Durant tout le trajet, régnait le plus grand silence, très émouvant.
“Je tiens à remercier tous les gens qui ont manifesté de la sympathie”, a déclaré à l’issue de la marche Jean-François Dombon, le parrain de Valentin.
“J’en appelle solennellement à Monsieur le président de la République afin que soit rétablie la peine de mort pour les crimes sur l’enfance”, a ensuite lancé M. Dombon, soulevant une vague d’applaudissements nourris.
Le parrain de Valentin a invité le meurtrier de l’enfant à “se dénoncer le plus vite possible et à s’expliquer”.
A l’arrière du cortège, deux dames ayant des attaches à Porcieu avouent être venues “exprès” de Lyon, où elles résident, afin de “soutenir les parents”. “On a l’impression qu’on leur doit ça”, ont-elles commenté.
Après la marche, des membres de la famille de Valentin et des centaines d’autres personnes se sont rendues à Lagnieu –distante de quelques kilomètres– afin de déposer des fleurs et de respecter une minute de silence sur les lieux du meurtre.
Là encore, le cortège a traversé la place principale de la commune plongée dans un profond silence. Les habitants se tenaient en rangs serrés sur les trottoirs et les commerces avaient baissé leurs rideaux. »
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Sources : Orange.
“VALENTIN dans nos Coeurs pour toujours”,
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« Le “suspect principal” et sa compagne, un couple de “marginaux”, qui faisaient l’objet d’un mandat de recherche dans le cadre de l’enquête sur le meurtre du petit Valentin à Lagnieu (Ain), ont été interpellés et placés en garde à vue dimanche après-midi en Ardèche.
Le couple, dont le portrait-robot avait été diffusé en début d’après-midi, a été arrêté sans violence à Dornas par les gendarmes de la brigade du Cheylard (Ardèche) vers 15H00 après avoir été signalé par des automobilistes qui l’avaient vu en train de faire du stop.
Un important dispositif, composé notamment d’hélicoptères et de barrages routiers, avait été mis en place pour les retrouver.
Le président Sarkozy a aussitôt félicité les enquêteurs qui “se sont mobilisés sans relâche”, a indiqué l’Elysée, tandis que la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a anoncé qu’elle se rendrait lundi matin à Ambérieu-en-Bugey (Ain) pour rencontrer les enquêteurs.
De son côté, la ministre de la Justice, Rachida Dati, recevra lundi à Bourg-en-Bresse les familles des victimes, a indiqué son ministère.
Sur le plan de l’enquête, l’audition des deux marginaux a débuté dans la gendarmerie du Cheylard, où le procureur de la République s’est rendu dimanche.
Des prélèvements sont en cours, notamment sur l’ADN de ces deux personnes, qui sera comparé avec l’ADN masculin inconnu retrouvé sur le corps et les vêtements de Valentin, 11 ans, tué lundi soir d’une quarantaine de coups de couteaux.
“Nous ne les avons pas entendus sur les faits eux-mêmes”, a souligné à l’AFP le procureur Jean-Paul Gandolière. Il a précisé que les deux individus étaient calmes et qu’ils devaient être transférés par la route vers l’Ain. Ils ne seront “pas entendus sur le fond avant ce (dimanche) soir tard, ou demain (lundi) matin”, a-t-il souligné.
Deux mandats de recherche avaient été délivrés samedi soir à l’encontre de Stéphane Moitoiret, 39 ans, et de sa compagne, Noëlla Hego, 48 ans, par le procureur.
Le couple avait été identifié grâce à “un renseignement capital” provenant d’une enquête de voisinage de la gendarmerie. Des témoignages faisaient en particulier état de la présence de “deux personnes errantes avec un chat noir au bout d’une ficelle aperçues à Lagnieu ou à proximité” au moment du meurtre dans la soirée du 28 juillet, a expliqué le magistrat.
Ces renseignements avaient ensuite été “croisés” avec un contrôle d’identité des deux marginaux opéré ce même soir à Leyment (Ain), à quatre kilomètres de Lagnieu, par un gendarme de la brigade de Lagnieu, qui avait alors relevé un comportement “suspect” et “assez particulier”.
Le couple avait séjourné dans la nuit du 28 au 29 juillet dans un local paroissial situé à Saint-Sorlin-en-Bugey (Ain), sur la porte duquel les enquêteurs ont retrouvé un ADN identique à celui relevé sur le corps, les vêtements de Valentin ainsi que le sang jonchant sur 600 mètres une rue de Lagnieu.
En outre, dans cette même rue, la bande vidéo d’un établissement bancaire avait enregistré un homme passant en courant, juste après le meurtre, en direction de Saint-Sorlin, a encore indiqué le procureur de Bourg-en Bresse.
“Nous avons acquis la certitude que l’auteur des faits correspondait à la personne qui occupait ce logement” et qui fait de Stéphane Moitoiret “le suspect principal”, a encore dit le magistrat.
Les suspects étaient jusqu’à présent inconnus des services de police.
Stéphane Moitoiret, mesurant 1,70 m, de type européen, décrit par le procureur général à la cour d’appel de Lyon, Jean-Olivier Viout, comme un “psychopathe”, est un sans domicile fixe et sa dernière adresse connue, qu’il partageait avec sa compagne, se situe à Clary (Nord).
Un automobiliste, entendu samedi par les enquêteurs, a pour sa part indiqué avoir pris en auto-stop les deux marginaux qui lui auraient tenu des propos incohérents, déclarant notamment qu’ils étaient des pèlerins venus d’Australie pour effectuer en France des “descentes commandos dans les gendarmeries françaises et chez les notables français”.
Une marche silencieuse en mémoire à Valentin avait rassemblé au moins 600 personnes, dimanche matin, à Porcieu-Amblagnieu (Isère), où réside la famille de la jeune victime. “Valentin dans nos coeurs pour toujours”, proclamait une banderole placée en début de cortège. »
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« J’aurais eu honte de ne pas venir”, a affirmé une vieille dame de Porcieu-Amblagnieu (Isère) qui, avec plus de 600 personnes, a participé dimanche dans les rues de la commune à une marche chargée d’émotion en hommage à Valentin, 11 ans, assassiné lundi à Lagnieu (Ain).
“J’aurais eu honte de ne pas venir, c’était impossible”, a-t-elle insisté, témoignant de la solidarité de pensée qui unit une bonne partie des résidents de la commune de 1.300 habitants, où se trouve la maison des parents de Valentin.
“On ne le connaissait pas (l’enfant) mais on l’a sûrement croisé, alors c’est spontané, il fallait participer à une chose pareille”, a ajouté la vieille dame après s’être arrêtée sur le bas côté pour reprendre son souffle.
La marche, organisée par des proches et membres de la famille de Valentin, a été l’occasion de rappeler que la petite victime serait “toujours dans leurs coeurs”.
“Valentin dans nos coeurs pour toujours”, proclamait une banderole placée en début de cortège et portée par trois jeunes gens, dont le demi-frère de Valentin, âgé de 20 ans.
Devant, un proche de la famille tenait un grand portrait de l’enfant, sur lequel on pouvait le voir sourire, tandis qu’au troisième rang une autre banderole, également portée par des proches ou amis de la famille, demandait “que justice te soit rendue”. D’autres portraits de l’enfant étaient également brandis.
Les parents de Valentin n’ont pas participé à la marche, préférant rester à l’abri des regards à leur domicile, selon des membres de la famille.
La grande majorité des participants à la marche était vêtue de blanc et beaucoup serraient dans leurs mains des fleurs blanches, principalement des roses.
Le cortège, qui s’est élancé sous une grosse chaleur vers 10H30 de la salle polyvalente de Porcieu-Amblagnieu, s’est dispersé une heure plus tard devant la maison des parents de Valentin, après une boucle par la mairie. Durant tout le trajet, régnait le plus grand silence, très émouvant.
“Je tiens à remercier tous les gens qui ont manifesté de la sympathie”, a déclaré à l’issue de la marche Jean-François Dombon, le parrain de Valentin.
“J’en appelle solennellement à Monsieur le président de la République afin que soit rétablie la peine de mort pour les crimes sur l’enfance”, a ensuite lancé M. Dombon, soulevant une vague d’applaudissements nourris.
Le parrain de Valentin a invité le meurtrier de l’enfant à “se dénoncer le plus vite possible et à s’expliquer”.
A l’arrière du cortège, deux dames ayant des attaches à Porcieu avouent être venues “exprès” de Lyon, où elles résident, afin de “soutenir les parents”. “On a l’impression qu’on leur doit ça”, ont-elles commenté.
Après la marche, des membres de la famille de Valentin et des centaines d’autres personnes se sont rendues à Lagnieu –distante de quelques kilomètres– afin de déposer des fleurs et de respecter une minute de silence sur les lieux du meurtre.
Là encore, le cortège a traversé la place principale de la commune plongée dans un profond silence. Les habitants se tenaient en rangs serrés sur les trottoirs et les commerces avaient baissé leurs rideaux. »
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Sources : Orange.
je ne trouve pas de mot pour cette acte barbare!!!!!!!!!!!!!!!
une penses aussi aux parents qui doive passé une trés difficile perriode de la vie.
je ne trouve pas de mot pour cette acte barbare!!!!!!!!!!!!!!!
une penses aussi aux parents qui doive passé une trés difficile perriode de la vie.
je ne trouve pas de mot pour cette acte barbare!!!!!!!!!!!!!!!
une penses aussi aux parents qui doive passé une trés difficile perriode de la vie.
Tu as un grand Coeur, Marco, mais un être capable de tuer un enfant de quarante coups de couteau ne peut être qu’un sauvage animal sans conscience.
Tu as un grand Coeur, Marco, mais un être capable de tuer un enfant de quarante coups de couteau ne peut être qu’un sauvage animal sans conscience.
Tu as un grand Coeur, Marco, mais un être capable de tuer un enfant de quarante coups de couteau ne peut être qu’un sauvage animal sans conscience.
“Dans sa lutte contre l’individu, la société dispose de 3 armes :
loi, opinion publique & Conscience.”
Somerset MAUGHAM
_______________________
Repose en Paix, P’tit Loup…
“Dans sa lutte contre l’individu, la société dispose de 3 armes :
loi, opinion publique & Conscience.”
Somerset MAUGHAM
_______________________
Repose en Paix, P’tit Loup…
“Dans sa lutte contre l’individu, la société dispose de 3 armes :
loi, opinion publique & Conscience.”
Somerset MAUGHAM
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Repose en Paix, P’tit Loup…
+1
Et encore un animal, il ne tue pas gratuitement…
A pendre par les tripes, à bruler vif ou à laisser crever dans une cage…peu importe, tant que ça fait mal et que c’est long !
On n’a pas le droit de faire du mal à un enfant, point !
+1
Et encore un animal, il ne tue pas gratuitement…
A pendre par les tripes, à bruler vif ou à laisser crever dans une cage…peu importe, tant que ça fait mal et que c’est long !
On n’a pas le droit de faire du mal à un enfant, point !
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