La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres, non ?
Se cacher derrière le concept de liberté d’expression pour s’acharner et diffamer, puis, lorsqu’on est allé trop loin mais qu’on ne souhaite pas le reconnaitre (par vanité ?) aller sur le terrain du "mais c’est drôle, si vous ne comprenez pas, vous n’avez pas d’humour", c’est assez pathétique et surtout, représentatif d’un mode de pensée unique.
En gros, t’es pas d’accord, au mieux, t’as pas d’humour, au pire t’es un con.
Angedémoniaque a parfaitement résumé : tu peux faire de l’humour, même de répétition, mais à force de répéter, ça n’est plus drôle.
Sinon, Le Pen et Dieudonné, voire Zemour, seraient les meilleurs comiques de l’année. Et pourtant, dès qu’ils l’ouvrent, le Crif et le Mrap sont là pour dire stop à la diffamation, alors que si on reste dans ta logique, ça n’est que de la liberté d’expression…
Les limites de la liberté d’expression sont atteintes lorsqu’on n’a plus d’argument pour justifier son propos et que ce dernier tourne à l’obsession. Exemple, Gator avec son BS chaque fois qu’il y a une interview de CP : tu remplaces Gator par MLP, CP par les gays et tu as exactement le même discours. Donc, dans les deux cas, c’est de la liberté d’expression, du comique de répétition ? Je n’en suis pas sur.
Et il faut bien avouer que depuis un certain temps, les limites de la liberté d’expression ont été largement dépassées, tant le niveau d’argumentation est proche du caniveau. Maintenant, tu peux me démontrer que je me trompe et que dans les posts passés, il y a bel et bien une logique argumetée : personnellement, je ne l’ai pas trouvée.
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