InFront Racing cherche des solutions pour parvenir à faire rentrer le plus de courses possibles dans un calendrier pas extensible à l’infini.
Une des propositions est de concentrer les catégories MXGP et MX2 sur la seule journée du dimanche, laissant ainsi la place aux filles du WMX et aux jeunes du EMX2 le samedi. Ceci uniquement pour les GP “européens”. Une séance d’essai le dimanche matin suffirait ainsi à décider de la place sur la grille, à l’image de ce qui se fait déjà aux USA.
“Comme nous allons avoir beaucoup de courses de suite, et que c’est une année spéciale, nous voulons réduire les coûts et aider les team à faire face à la situation. Ce changement ne serait valable que pour 2020, en 2021 nous reviendrions à la normale.” a déclaré David Luongo, le boss d’InFront.
Encore plus radicale, l’autre proposition de David serait d’attribuer des points de GP aux pilotes du Motocross des Nations à Ernée (prévue le 27 septembre, en pleine saison MXGP de fait). Les tops pilotes MXGP et MX2 qui ne seraient pas sélectionnés par leurs pays ou dont les fédérations n’enverraient pas de teams pourraient tout de même participer en Wild Cards. L’idée étant de crédibiliser un MXdN qui perdrait de son aura sans les cadors du MXGP et de compter une épreuve « GP » de plus au calendrier. « En ce qui concerne les Nations, on a des idées mais on en est encore à réfléchir aux systèmes possibles. Nous allons en discuter avec la FIM d’abord. » David Luongo. Autant dire que cette proposition risque de faire débat, pour utiliser un doux euphémisme…
Par contre, l’idée de courses à huis clos a été enterrée, les organisateurs ne pouvant pas se priver de la billetterie. Idem pour l’idée qui avait flotté d’organiser deux GP au même endroit à une semaine d’écart, comme ça a été envisagé pour Lommel. En juin, InFront devrait avoir une meilleure vision globale de ce qui va se passer et va alors réévaluer la situation.
InFront Racing cherche des solutions pour parvenir à faire rentrer le plus de courses possibles dans un calendrier pas extensible à l’infini.
Une des propositions est de concentrer les catégories MXGP et MX2 sur la seule journée du dimanche, laissant ainsi la place aux filles du WMX et aux jeunes du EMX2 le samedi. Ceci uniquement pour les GP “européens”. Une séance d’essai le dimanche matin suffirait ainsi à décider de la place sur la grille, à l’image de ce qui se fait déjà aux USA.
“Comme nous allons avoir beaucoup de courses de suite, et que c’est une année spéciale, nous voulons réduire les coûts et aider les team à faire face à la situation. Ce changement ne serait valable que pour 2020, en 2021 nous reviendrions à la normale.” a déclaré David Luongo, le boss d’InFront.
Encore plus radicale, l’autre proposition de David serait d’attribuer des points de GP aux pilotes du Motocross des Nations à Ernée (prévue le 27 septembre, en pleine saison MXGP de fait). Les tops pilotes MXGP et MX2 qui ne seraient pas sélectionnés par leurs pays ou dont les fédérations n’enverraient pas de teams pourraient tout de même participer en Wild Cards. L’idée étant de crédibiliser un MXdN qui perdrait de son aura sans les cadors du MXGP et de compter une épreuve « GP » de plus au calendrier. « En ce qui concerne les Nations, on a des idées mais on en est encore à réfléchir aux systèmes possibles. Nous allons en discuter avec la FIM d’abord. » David Luongo. Autant dire que cette proposition risque de faire débat, pour utiliser un doux euphémisme…
Par contre, l’idée de courses à huis clos a été enterrée, les organisateurs ne pouvant pas se priver de la billetterie. Idem pour l’idée qui avait flotté d’organiser deux GP au même endroit à une semaine d’écart, comme ça a été envisagé pour Lommel. En juin, InFront devrait avoir une meilleure vision globale de ce qui va se passer et va alors réévaluer la situation.
InFront Racing cherche des solutions pour parvenir à faire rentrer le plus de courses possibles dans un calendrier pas extensible à l’infini.
Une des propositions est de concentrer les catégories MXGP et MX2 sur la seule journée du dimanche, laissant ainsi la place aux filles du WMX et aux jeunes du EMX2 le samedi. Ceci uniquement pour les GP “européens”. Une séance d’essai le dimanche matin suffirait ainsi à décider de la place sur la grille, à l’image de ce qui se fait déjà aux USA.
“Comme nous allons avoir beaucoup de courses de suite, et que c’est une année spéciale, nous voulons réduire les coûts et aider les team à faire face à la situation. Ce changement ne serait valable que pour 2020, en 2021 nous reviendrions à la normale.” a déclaré David Luongo, le boss d’InFront.
Encore plus radicale, l’autre proposition de David serait d’attribuer des points de GP aux pilotes du Motocross des Nations à Ernée (prévue le 27 septembre, en pleine saison MXGP de fait). Les tops pilotes MXGP et MX2 qui ne seraient pas sélectionnés par leurs pays ou dont les fédérations n’enverraient pas de teams pourraient tout de même participer en Wild Cards. L’idée étant de crédibiliser un MXdN qui perdrait de son aura sans les cadors du MXGP et de compter une épreuve « GP » de plus au calendrier. « En ce qui concerne les Nations, on a des idées mais on en est encore à réfléchir aux systèmes possibles. Nous allons en discuter avec la FIM d’abord. » David Luongo. Autant dire que cette proposition risque de faire débat, pour utiliser un doux euphémisme…
Par contre, l’idée de courses à huis clos a été enterrée, les organisateurs ne pouvant pas se priver de la billetterie. Idem pour l’idée qui avait flotté d’organiser deux GP au même endroit à une semaine d’écart, comme ça a été envisagé pour Lommel. En juin, InFront devrait avoir une meilleure vision globale de ce qui va se passer et va alors réévaluer la situation.
InFront Racing cherche des solutions pour parvenir à faire rentrer le plus de courses possibles dans un calendrier pas extensible à l’infini.
Une des propositions est de concentrer les catégories MXGP et MX2 sur la seule journée du dimanche, laissant ainsi la place aux filles du WMX et aux jeunes du EMX2 le samedi. Ceci uniquement pour les GP “européens”. Une séance d’essai le dimanche matin suffirait ainsi à décider de la place sur la grille, à l’image de ce qui se fait déjà aux USA.
“Comme nous allons avoir beaucoup de courses de suite, et que c’est une année spéciale, nous voulons réduire les coûts et aider les team à faire face à la situation. Ce changement ne serait valable que pour 2020, en 2021 nous reviendrions à la normale.” a déclaré David Luongo, le boss d’InFront.
Encore plus radicale, l’autre proposition de David serait d’attribuer des points de GP aux pilotes du Motocross des Nations à Ernée (prévue le 27 septembre, en pleine saison MXGP de fait). Les tops pilotes MXGP et MX2 qui ne seraient pas sélectionnés par leurs pays ou dont les fédérations n’enverraient pas de teams pourraient tout de même participer en Wild Cards. L’idée étant de crédibiliser un MXdN qui perdrait de son aura sans les cadors du MXGP et de compter une épreuve « GP » de plus au calendrier. « En ce qui concerne les Nations, on a des idées mais on en est encore à réfléchir aux systèmes possibles. Nous allons en discuter avec la FIM d’abord. » David Luongo. Autant dire que cette proposition risque de faire débat, pour utiliser un doux euphémisme…
Par contre, l’idée de courses à huis clos a été enterrée, les organisateurs ne pouvant pas se priver de la billetterie. Idem pour l’idée qui avait flotté d’organiser deux GP au même endroit à une semaine d’écart, comme ça a été envisagé pour Lommel. En juin, InFront devrait avoir une meilleure vision globale de ce qui va se passer et va alors réévaluer la situation.