Le WSX à Melbourne vous est présenté par Waygom, fort de son expérience de 15 ans la marque vous propose une large gamme de pneus MX, sable et Enduro ainsi que des bibs mousse et chambres à air ultra-renforcées. Toutes les infos et commande en livraison rapide sur le site Waygom.
Le WSX, premier du nom, s’est achevé ce week-end à Melbourne, en Australie, après le deuxième round. Un championnat qu’on aurait espérer plus long que sur deux épreuves seulement, mais SX Global, le promoteur, l’a assez répété : ce n’était qu’une répétition de ce qu’on devrait voir l’an prochain et les années suivantes. En attendant, il y avait tout de même ce week-end deux titres de champions du monde de Supercross à distribuer, en SX2 (250 cm3) et WSX (450 cm3).
On rappelle qu’après l’épreuve d’ouverture à Cardiff, c’est le champion des USA en titre Eli Tomac qui menait le championnat, devant Ken Roczen et Vince Friese en WSX. Trois points seulement séparaient Kenny de Vince, sachant que Tomac ne serait pas au départ de la finale australienne. Sur le papier, une formalité. Effectivement, Ken Roczen a parfaitement débuté son week-end WSX en Australie, avec la victoire en heat, en Superpole et lors de la première finale. Mais tout est parti en travers lors de la deuxième finale, avec une crevaison pour l’Allemand alors qu’il était de nouveau facilement en tête. De fait, c’est avec un Vince Friese leader du provisoire que le dernier départ a été donné ! Mais l’Américain a été victime de son tempérament, en essayant de se faire trop vite une place dès les premiers virages. Joey Savatgy, incontestablement le deuxième homme en vitesse pure ce week-end, remporte ainsi cette dernière finale de l’année devant Roczen, qui, lui prend ce premier titre WSX nouvelle génération. Tout est bien qui finit bien, en clair, avec la victoire sur le championnat de Ken Roczen, devant Savatgy et Friese.
En SX2, la logique a été respectée également, avec la victoire au général sur l’épreuve comme au championnat de Shane McElrath. Il s’impose devant un excellent Max Anstie, et le local Aaron Tanti. Shane McElrath, orphelin du team BBMX en cours de saison, comme Joey Savatgy, sauve donc une saison délicate qui l’a vu passer de team en team avec ce titre de champion du monde, certes un poil galvaudé avec seulement deux épreuves. Mais au moins, ça fera propre sur le CV de cet excellent pilote de SX. Rendez-vous l’an prochain pour voir si ça évolue dans le bon sens !