Dans le dur…
Champion EMX250 en titre, le Breton Mathys Boisramé ne vit pas forcément le début de saison de Mondial MX2 qu’il avait rêvé. Il nous en explique les raisons au terme d’un GP de Hollande difficile lui aussi…
« Je vis un début de saison pas facile. Ce n’est pas ce que j’attendais mais c’est ainsi. Je me suis cassé une côte jusque avant que la saison ne débute, j’ai eu des soucis techniques, ce n’est pas l’idéal. A Valkenswaard par exemple, j’étais bien lors de la qualification mais il a fallu que mon moteur me lâche à quelques minutes de la fin. Et quand tu te places à la 37e position sur une grille de départ d’un GP, c’est difficile de faire des prouesses au départ. J’ai fait ce que j’ai pu du coup, j’ai accumulé du roulage, en essayant de revenir tant que possible. En tout cas, physiquement, j’étais mieux qu’en Angleterre où je n’avais pas roulé depuis deux semaines, toujours à cause de cette blessure. J’suis content, aujourd’hui, ça va mieux. Je commence à pouvoir me ré-entraîner normalement. Physiquement notamment.
Mon objectif aujourd’hui reste assez simple, c’est me faire plaisir. Je ne vise aucune place. Mais il va falloir qu’on progresse au niveau de la machine car je n’ai pas un bon feeling avec pour l’instant. On a changé de préparateur depuis l’année dernière, le gars qu’on avait a quitté le team, et le résultat n’est pas encore optimal. On essaye, on teste des trucs, mais ça n’est pas l’idéal. Les gens du team travaillent mais il faut qu’on progresse encore. On verra en Italie ce que ça donne, j’aime cette piste. »
Dans le dur…
Champion EMX250 en titre, le Breton Mathys Boisramé ne vit pas forcément le début de saison de Mondial MX2 qu’il avait rêvé. Il nous en explique les raisons au terme d’un GP de Hollande difficile lui aussi…
« Je vis un début de saison pas facile. Ce n’est pas ce que j’attendais mais c’est ainsi. Je me suis cassé une côte jusque avant que la saison ne débute, j’ai eu des soucis techniques, ce n’est pas l’idéal. A Valkenswaard par exemple, j’étais bien lors de la qualification mais il a fallu que mon moteur me lâche à quelques minutes de la fin. Et quand tu te places à la 37e position sur une grille de départ d’un GP, c’est difficile de faire des prouesses au départ. J’ai fait ce que j’ai pu du coup, j’ai accumulé du roulage, en essayant de revenir tant que possible. En tout cas, physiquement, j’étais mieux qu’en Angleterre où je n’avais pas roulé depuis deux semaines, toujours à cause de cette blessure. J’suis content, aujourd’hui, ça va mieux. Je commence à pouvoir me ré-entraîner normalement. Physiquement notamment.
Mon objectif aujourd’hui reste assez simple, c’est me faire plaisir. Je ne vise aucune place. Mais il va falloir qu’on progresse au niveau de la machine car je n’ai pas un bon feeling avec pour l’instant. On a changé de préparateur depuis l’année dernière, le gars qu’on avait a quitté le team, et le résultat n’est pas encore optimal. On essaye, on teste des trucs, mais ça n’est pas l’idéal. Les gens du team travaillent mais il faut qu’on progresse encore. On verra en Italie ce que ça donne, j’aime cette piste. »
Dans le dur…
Champion EMX250 en titre, le Breton Mathys Boisramé ne vit pas forcément le début de saison de Mondial MX2 qu’il avait rêvé. Il nous en explique les raisons au terme d’un GP de Hollande difficile lui aussi…
« Je vis un début de saison pas facile. Ce n’est pas ce que j’attendais mais c’est ainsi. Je me suis cassé une côte jusque avant que la saison ne débute, j’ai eu des soucis techniques, ce n’est pas l’idéal. A Valkenswaard par exemple, j’étais bien lors de la qualification mais il a fallu que mon moteur me lâche à quelques minutes de la fin. Et quand tu te places à la 37e position sur une grille de départ d’un GP, c’est difficile de faire des prouesses au départ. J’ai fait ce que j’ai pu du coup, j’ai accumulé du roulage, en essayant de revenir tant que possible. En tout cas, physiquement, j’étais mieux qu’en Angleterre où je n’avais pas roulé depuis deux semaines, toujours à cause de cette blessure. J’suis content, aujourd’hui, ça va mieux. Je commence à pouvoir me ré-entraîner normalement. Physiquement notamment.
Mon objectif aujourd’hui reste assez simple, c’est me faire plaisir. Je ne vise aucune place. Mais il va falloir qu’on progresse au niveau de la machine car je n’ai pas un bon feeling avec pour l’instant. On a changé de préparateur depuis l’année dernière, le gars qu’on avait a quitté le team, et le résultat n’est pas encore optimal. On essaye, on teste des trucs, mais ça n’est pas l’idéal. Les gens du team travaillent mais il faut qu’on progresse encore. On verra en Italie ce que ça donne, j’aime cette piste. »
Dans le dur…
Champion EMX250 en titre, le Breton Mathys Boisramé ne vit pas forcément le début de saison de Mondial MX2 qu’il avait rêvé. Il nous en explique les raisons au terme d’un GP de Hollande difficile lui aussi…
« Je vis un début de saison pas facile. Ce n’est pas ce que j’attendais mais c’est ainsi. Je me suis cassé une côte jusque avant que la saison ne débute, j’ai eu des soucis techniques, ce n’est pas l’idéal. A Valkenswaard par exemple, j’étais bien lors de la qualification mais il a fallu que mon moteur me lâche à quelques minutes de la fin. Et quand tu te places à la 37e position sur une grille de départ d’un GP, c’est difficile de faire des prouesses au départ. J’ai fait ce que j’ai pu du coup, j’ai accumulé du roulage, en essayant de revenir tant que possible. En tout cas, physiquement, j’étais mieux qu’en Angleterre où je n’avais pas roulé depuis deux semaines, toujours à cause de cette blessure. J’suis content, aujourd’hui, ça va mieux. Je commence à pouvoir me ré-entraîner normalement. Physiquement notamment.
Mon objectif aujourd’hui reste assez simple, c’est me faire plaisir. Je ne vise aucune place. Mais il va falloir qu’on progresse au niveau de la machine car je n’ai pas un bon feeling avec pour l’instant. On a changé de préparateur depuis l’année dernière, le gars qu’on avait a quitté le team, et le résultat n’est pas encore optimal. On essaye, on teste des trucs, mais ça n’est pas l’idéal. Les gens du team travaillent mais il faut qu’on progresse encore. On verra en Italie ce que ça donne, j’aime cette piste. »