Mx2K.com – Toute l’actualité Cross en France et US › Forums › Discussion générale › Alors G2L, aurait-elle encore chauffé ?
j’me suis embrouillé dans mes formules incantatoires, normalement il aurait dû se retrouver avec une "tourne à gauche", et pas avec un embrayage dans l’sac..
😉
j’me suis embrouillé dans mes formules incantatoires, normalement il aurait dû se retrouver avec une "tourne à gauche", et pas avec un embrayage dans l’sac..
😉
Tu n’y es pour rien…
En fait, c’est la moto qui n’a pas supporté ce numéro 654 de m…. au lieu de MON 599 !
Elle a fait un rejet !
Tu n’y es pour rien…
En fait, c’est la moto qui n’a pas supporté ce numéro 654 de m…. au lieu de MON 599 !
Elle a fait un rejet !
Tu n’y es pour rien…
En fait, c’est la moto qui n’a pas supporté ce numéro 654 de m…. au lieu de MON 599 !
Elle a fait un rejet !
Tu n’y es pour rien…
En fait, c’est la moto qui n’a pas supporté ce numéro 654 de m…. au lieu de MON 599 !
Elle a fait un rejet !
et tu l appeles choupette ta moto ?
😉
et tu l appeles choupette ta moto ?
😉
et tu l appeles choupette ta moto ?
😉
et tu l appeles choupette ta moto ?
😉
Oui, les deux…
Le principal problème pour les poireaux sans expérience, c’est que jsute après la mini-ligne droite, ils se sont retrouvés dans un bouchon monstrueux localisé sur un parcours très (trop ?) technique.
Quand il y avait le goulet, la seule difficulté c’était le bouchon, là c’était un goulet avec des trous, des sauts, des fosses, des lacets..etc et pour bien négocier tous ces obstacles, il faut un minimum de vitesse.
Personnellement, j’ai pris le départ très tranquillement et j’ai fait une pause de 3-4 minutes avant le premier bouchon. Quand j’ai vu que ça avait l’air de passer, j’ai commencer à zigzaguer entre les motos arrêtés ou par terre et j’ai passé 20 minutes à sortir du Touquet en évitant à chaque bosse, trou, fosse, saut ou virage des pilotes tombés ou juste arrêtés parce que déjà au bout du rouleau physiquement après 2 ou 3 kilomètres de course (en comptant la ligne droite !)
Les Esses et les siphons entre le Touquet et Merlimont sont moins techniques et moins éprouvants. L’an dernier, ceux qui découvraient le sable de plage commençaient par la ligne droite puis par ces parties un peu plus techniques et finissaient leur acclimation devant la digue du Touquet où le peloton était déjà bien étiré.
Hier, ils sont entrés dans le plus dur du parcours après 1 minute et quelques secondes et dans un bouchon monumental…
Oui, les deux…
Le principal problème pour les poireaux sans expérience, c’est que jsute après la mini-ligne droite, ils se sont retrouvés dans un bouchon monstrueux localisé sur un parcours très (trop ?) technique.
Quand il y avait le goulet, la seule difficulté c’était le bouchon, là c’était un goulet avec des trous, des sauts, des fosses, des lacets..etc et pour bien négocier tous ces obstacles, il faut un minimum de vitesse.
Personnellement, j’ai pris le départ très tranquillement et j’ai fait une pause de 3-4 minutes avant le premier bouchon. Quand j’ai vu que ça avait l’air de passer, j’ai commencer à zigzaguer entre les motos arrêtés ou par terre et j’ai passé 20 minutes à sortir du Touquet en évitant à chaque bosse, trou, fosse, saut ou virage des pilotes tombés ou juste arrêtés parce que déjà au bout du rouleau physiquement après 2 ou 3 kilomètres de course (en comptant la ligne droite !)
Les Esses et les siphons entre le Touquet et Merlimont sont moins techniques et moins éprouvants. L’an dernier, ceux qui découvraient le sable de plage commençaient par la ligne droite puis par ces parties un peu plus techniques et finissaient leur acclimation devant la digue du Touquet où le peloton était déjà bien étiré.
Hier, ils sont entrés dans le plus dur du parcours après 1 minute et quelques secondes et dans un bouchon monumental…
Oui, les deux…
Le principal problème pour les poireaux sans expérience, c’est que jsute après la mini-ligne droite, ils se sont retrouvés dans un bouchon monstrueux localisé sur un parcours très (trop ?) technique.
Quand il y avait le goulet, la seule difficulté c’était le bouchon, là c’était un goulet avec des trous, des sauts, des fosses, des lacets..etc et pour bien négocier tous ces obstacles, il faut un minimum de vitesse.
Personnellement, j’ai pris le départ très tranquillement et j’ai fait une pause de 3-4 minutes avant le premier bouchon. Quand j’ai vu que ça avait l’air de passer, j’ai commencer à zigzaguer entre les motos arrêtés ou par terre et j’ai passé 20 minutes à sortir du Touquet en évitant à chaque bosse, trou, fosse, saut ou virage des pilotes tombés ou juste arrêtés parce que déjà au bout du rouleau physiquement après 2 ou 3 kilomètres de course (en comptant la ligne droite !)
Les Esses et les siphons entre le Touquet et Merlimont sont moins techniques et moins éprouvants. L’an dernier, ceux qui découvraient le sable de plage commençaient par la ligne droite puis par ces parties un peu plus techniques et finissaient leur acclimation devant la digue du Touquet où le peloton était déjà bien étiré.
Hier, ils sont entrés dans le plus dur du parcours après 1 minute et quelques secondes et dans un bouchon monumental…
Oui, les deux…
Le principal problème pour les poireaux sans expérience, c’est que jsute après la mini-ligne droite, ils se sont retrouvés dans un bouchon monstrueux localisé sur un parcours très (trop ?) technique.
Quand il y avait le goulet, la seule difficulté c’était le bouchon, là c’était un goulet avec des trous, des sauts, des fosses, des lacets..etc et pour bien négocier tous ces obstacles, il faut un minimum de vitesse.
Personnellement, j’ai pris le départ très tranquillement et j’ai fait une pause de 3-4 minutes avant le premier bouchon. Quand j’ai vu que ça avait l’air de passer, j’ai commencer à zigzaguer entre les motos arrêtés ou par terre et j’ai passé 20 minutes à sortir du Touquet en évitant à chaque bosse, trou, fosse, saut ou virage des pilotes tombés ou juste arrêtés parce que déjà au bout du rouleau physiquement après 2 ou 3 kilomètres de course (en comptant la ligne droite !)
Les Esses et les siphons entre le Touquet et Merlimont sont moins techniques et moins éprouvants. L’an dernier, ceux qui découvraient le sable de plage commençaient par la ligne droite puis par ces parties un peu plus techniques et finissaient leur acclimation devant la digue du Touquet où le peloton était déjà bien étiré.
Hier, ils sont entrés dans le plus dur du parcours après 1 minute et quelques secondes et dans un bouchon monumental…
I get it. Merci pour l’explication.
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