Yannick Coquard est un homme débordé. Sa boîte YCF, constructeur de mini motos, vient d’emménager dans de nouveaux locaux de 5000 m2 et il débute la commercialisation d’une nouvelle machine, la BigY, qui complètera sa gamme et élargira sa potentielle clientèle avec ses roues de 17 et 14’. A peine débarqué du Salon de la moto de Milan où il présentait la bête, MX2K lui a posé trois questions pour qu’il nous explique la genèse de cette nouveauté hors norme.
Alors cette BigY (Big-ouaille), elle doit ratisser encore plus large on imagine. Auprès, des grands notamment ?
« C’est ce que nous recherchons évidemment. Nous avions les machines pour les plus jeunes, les un peu plus vieux (rires) mais il est vrai que les plus grands n’arrivaient pas forcément à se sentir à l’aise dessus du fait de leurs petites tailles. Même en montant des guidons hauts, il arrive un moment où l’on est gêné par le fait d’avoir le dos plié en permanence. Ou d’avoir les genoux qui tapent dans les commandes en virage. La solution, c’était d’offrir une moto plus grande, donc de construire un nouveau cadre et d’y greffer des roues de 17’ et 14’. Cela fait pas mal de temps que l’on bosse sur ce projet et le résultat, le voilà, c’est la gamme BigY dont les prix s’échelonnent de 1799 euros pour le modèle 125 cm3 de base à 3599 euros pour la machine de 190 cm3 destinée à la compétition. La BigY est une machine qui doit être encore facile de prise en main car plus stable et bien suspendue avec sa fourche de 785 mm (contre 660 mm). On pense qu’elle aura de ce fait sa place dans les écoles de pilotage et dans les structures qui font de la location. Désormais, avec 24 modèles à notre catalogue, on peut dire que notre offre est très complète.
Elle conserve le moteur des versions en roues de 14/12’ ?
« Oui. Nous travaillons toujours avec les mêmes fournisseurs, soit les japonais de Daytona et une société chinoise qui produit la plupart de nos blocs moteur. C’est un collaboration à temps plein : chaque semaine, ils nous envoient quelqu’un pour travailler sur les améliorations à apporter. Je ne parle pas de gain de puissance. L’idée n’est pas d’offrir des moteurs toujours plus performants. Notre priorité reste la fiabilité. On veut proposer des machines solides, à l’entretien limité. Parce qu’encore une fois, notre cible, c’est le cross loisir, pas la compétition même si nous avons toujours un « team » officiel qui nous représente sur les courses. Si nous avons vendu 8000 machines en deux ans, c’est parce que nous proposons une machine peu chère, facile d’utilisation du fait de sa petite taille et peu exigeante en terme de suivi. Quelque part, on reproduit un peu ce que Yamaha avait réussi à faire avec la 125 DTMX au début des années 80. On veut que le cross cesse d’être réservé à une bande d’initiés. D’ailleurs, nous sommes super heureux de notre 50 électrique qui, avec deux heures d’autonomie, est le meilleur modèle du marché et a reçu un bon accueil.
Vous pensez à une version homologuée du BigY ?
« On y pense, évidemment, mais on ne sait pas encore ce qu’on décidera. On a déjà commencé à en vendre en Colombie, en Equateur et en Russie, trois des 15 pays dans lesquels nous sommes distribués, et selon les ventes, et la demande en France, alors on improvisera. Mais c’est vrai qu’on est plutôt confiants car on s’aperçoit que sur le créneau de l’enduro loisir, rien d’équivalent n’existe. Surtout pour les femmes.
Si vous entrevoir le potentiel de la BigY entre de bonnes pognes, copiez-collez les liens ci-dessous. Vous la verrez menée de mains de maîtres, soit la famille Pichon, Mickaël et Zach, plus Sébastien Guillaume, l’ex-enduriste inter.
Yannick Coquard est un homme débordé. Sa boîte YCF, constructeur de mini motos, vient d’emménager dans de nouveaux locaux de 5000 m2 et il débute la commercialisation d’une nouvelle machine, la BigY, qui complètera sa gamme et élargira sa potentielle clientèle avec ses roues de 17 et 14’. A peine débarqué du Salon de la moto de Milan où il présentait la bête, MX2K lui a posé trois questions pour qu’il nous explique la genèse de cette nouveauté hors norme.
Alors cette BigY (Big-ouaille), elle doit ratisser encore plus large on imagine. Auprès, des grands notamment ?
« C’est ce que nous recherchons évidemment. Nous avions les machines pour les plus jeunes, les un peu plus vieux (rires) mais il est vrai que les plus grands n’arrivaient pas forcément à se sentir à l’aise dessus du fait de leurs petites tailles. Même en montant des guidons hauts, il arrive un moment où l’on est gêné par le fait d’avoir le dos plié en permanence. Ou d’avoir les genoux qui tapent dans les commandes en virage. La solution, c’était d’offrir une moto plus grande, donc de construire un nouveau cadre et d’y greffer des roues de 17’ et 14’. Cela fait pas mal de temps que l’on bosse sur ce projet et le résultat, le voilà, c’est la gamme BigY dont les prix s’échelonnent de 1799 euros pour le modèle 125 cm3 de base à 3599 euros pour la machine de 190 cm3 destinée à la compétition. La BigY est une machine qui doit être encore facile de prise en main car plus stable et bien suspendue avec sa fourche de 785 mm (contre 660 mm). On pense qu’elle aura de ce fait sa place dans les écoles de pilotage et dans les structures qui font de la location. Désormais, avec 24 modèles à notre catalogue, on peut dire que notre offre est très complète.
Elle conserve le moteur des versions en roues de 14/12’ ?
« Oui. Nous travaillons toujours avec les mêmes fournisseurs, soit les japonais de Daytona et une société chinoise qui produit la plupart de nos blocs moteur. C’est un collaboration à temps plein : chaque semaine, ils nous envoient quelqu’un pour travailler sur les améliorations à apporter. Je ne parle pas de gain de puissance. L’idée n’est pas d’offrir des moteurs toujours plus performants. Notre priorité reste la fiabilité. On veut proposer des machines solides, à l’entretien limité. Parce qu’encore une fois, notre cible, c’est le cross loisir, pas la compétition même si nous avons toujours un « team » officiel qui nous représente sur les courses. Si nous avons vendu 8000 machines en deux ans, c’est parce que nous proposons une machine peu chère, facile d’utilisation du fait de sa petite taille et peu exigeante en terme de suivi. Quelque part, on reproduit un peu ce que Yamaha avait réussi à faire avec la 125 DTMX au début des années 80. On veut que le cross cesse d’être réservé à une bande d’initiés. D’ailleurs, nous sommes super heureux de notre 50 électrique qui, avec deux heures d’autonomie, est le meilleur modèle du marché et a reçu un bon accueil.
Vous pensez à une version homologuée du BigY ?
« On y pense, évidemment, mais on ne sait pas encore ce qu’on décidera. On a déjà commencé à en vendre en Colombie, en Equateur et en Russie, trois des 15 pays dans lesquels nous sommes distribués, et selon les ventes, et la demande en France, alors on improvisera. Mais c’est vrai qu’on est plutôt confiants car on s’aperçoit que sur le créneau de l’enduro loisir, rien d’équivalent n’existe. Surtout pour les femmes.
Si vous entrevoir le potentiel de la BigY entre de bonnes pognes, copiez-collez les liens ci-dessous. Vous la verrez menée de mains de maîtres, soit la famille Pichon, Mickaël et Zach, plus Sébastien Guillaume, l’ex-enduriste inter.
Yannick Coquard est un homme débordé. Sa boîte YCF, constructeur de mini motos, vient d’emménager dans de nouveaux locaux de 5000 m2 et il débute la commercialisation d’une nouvelle machine, la BigY, qui complètera sa gamme et élargira sa potentielle clientèle avec ses roues de 17 et 14’. A peine débarqué du Salon de la moto de Milan où il présentait la bête, MX2K lui a posé trois questions pour qu’il nous explique la genèse de cette nouveauté hors norme.
Alors cette BigY (Big-ouaille), elle doit ratisser encore plus large on imagine. Auprès, des grands notamment ?
« C’est ce que nous recherchons évidemment. Nous avions les machines pour les plus jeunes, les un peu plus vieux (rires) mais il est vrai que les plus grands n’arrivaient pas forcément à se sentir à l’aise dessus du fait de leurs petites tailles. Même en montant des guidons hauts, il arrive un moment où l’on est gêné par le fait d’avoir le dos plié en permanence. Ou d’avoir les genoux qui tapent dans les commandes en virage. La solution, c’était d’offrir une moto plus grande, donc de construire un nouveau cadre et d’y greffer des roues de 17’ et 14’. Cela fait pas mal de temps que l’on bosse sur ce projet et le résultat, le voilà, c’est la gamme BigY dont les prix s’échelonnent de 1799 euros pour le modèle 125 cm3 de base à 3599 euros pour la machine de 190 cm3 destinée à la compétition. La BigY est une machine qui doit être encore facile de prise en main car plus stable et bien suspendue avec sa fourche de 785 mm (contre 660 mm). On pense qu’elle aura de ce fait sa place dans les écoles de pilotage et dans les structures qui font de la location. Désormais, avec 24 modèles à notre catalogue, on peut dire que notre offre est très complète.
Elle conserve le moteur des versions en roues de 14/12’ ?
« Oui. Nous travaillons toujours avec les mêmes fournisseurs, soit les japonais de Daytona et une société chinoise qui produit la plupart de nos blocs moteur. C’est un collaboration à temps plein : chaque semaine, ils nous envoient quelqu’un pour travailler sur les améliorations à apporter. Je ne parle pas de gain de puissance. L’idée n’est pas d’offrir des moteurs toujours plus performants. Notre priorité reste la fiabilité. On veut proposer des machines solides, à l’entretien limité. Parce qu’encore une fois, notre cible, c’est le cross loisir, pas la compétition même si nous avons toujours un « team » officiel qui nous représente sur les courses. Si nous avons vendu 8000 machines en deux ans, c’est parce que nous proposons une machine peu chère, facile d’utilisation du fait de sa petite taille et peu exigeante en terme de suivi. Quelque part, on reproduit un peu ce que Yamaha avait réussi à faire avec la 125 DTMX au début des années 80. On veut que le cross cesse d’être réservé à une bande d’initiés. D’ailleurs, nous sommes super heureux de notre 50 électrique qui, avec deux heures d’autonomie, est le meilleur modèle du marché et a reçu un bon accueil.
Vous pensez à une version homologuée du BigY ?
« On y pense, évidemment, mais on ne sait pas encore ce qu’on décidera. On a déjà commencé à en vendre en Colombie, en Equateur et en Russie, trois des 15 pays dans lesquels nous sommes distribués, et selon les ventes, et la demande en France, alors on improvisera. Mais c’est vrai qu’on est plutôt confiants car on s’aperçoit que sur le créneau de l’enduro loisir, rien d’équivalent n’existe. Surtout pour les femmes.
Si vous entrevoir le potentiel de la BigY entre de bonnes pognes, copiez-collez les liens ci-dessous. Vous la verrez menée de mains de maîtres, soit la famille Pichon, Mickaël et Zach, plus Sébastien Guillaume, l’ex-enduriste inter.
Yannick Coquard est un homme débordé. Sa boîte YCF, constructeur de mini motos, vient d’emménager dans de nouveaux locaux de 5000 m2 et il débute la commercialisation d’une nouvelle machine, la BigY, qui complètera sa gamme et élargira sa potentielle clientèle avec ses roues de 17 et 14’. A peine débarqué du Salon de la moto de Milan où il présentait la bête, MX2K lui a posé trois questions pour qu’il nous explique la genèse de cette nouveauté hors norme.
Alors cette BigY (Big-ouaille), elle doit ratisser encore plus large on imagine. Auprès, des grands notamment ?
« C’est ce que nous recherchons évidemment. Nous avions les machines pour les plus jeunes, les un peu plus vieux (rires) mais il est vrai que les plus grands n’arrivaient pas forcément à se sentir à l’aise dessus du fait de leurs petites tailles. Même en montant des guidons hauts, il arrive un moment où l’on est gêné par le fait d’avoir le dos plié en permanence. Ou d’avoir les genoux qui tapent dans les commandes en virage. La solution, c’était d’offrir une moto plus grande, donc de construire un nouveau cadre et d’y greffer des roues de 17’ et 14’. Cela fait pas mal de temps que l’on bosse sur ce projet et le résultat, le voilà, c’est la gamme BigY dont les prix s’échelonnent de 1799 euros pour le modèle 125 cm3 de base à 3599 euros pour la machine de 190 cm3 destinée à la compétition. La BigY est une machine qui doit être encore facile de prise en main car plus stable et bien suspendue avec sa fourche de 785 mm (contre 660 mm). On pense qu’elle aura de ce fait sa place dans les écoles de pilotage et dans les structures qui font de la location. Désormais, avec 24 modèles à notre catalogue, on peut dire que notre offre est très complète.
Elle conserve le moteur des versions en roues de 14/12’ ?
« Oui. Nous travaillons toujours avec les mêmes fournisseurs, soit les japonais de Daytona et une société chinoise qui produit la plupart de nos blocs moteur. C’est un collaboration à temps plein : chaque semaine, ils nous envoient quelqu’un pour travailler sur les améliorations à apporter. Je ne parle pas de gain de puissance. L’idée n’est pas d’offrir des moteurs toujours plus performants. Notre priorité reste la fiabilité. On veut proposer des machines solides, à l’entretien limité. Parce qu’encore une fois, notre cible, c’est le cross loisir, pas la compétition même si nous avons toujours un « team » officiel qui nous représente sur les courses. Si nous avons vendu 8000 machines en deux ans, c’est parce que nous proposons une machine peu chère, facile d’utilisation du fait de sa petite taille et peu exigeante en terme de suivi. Quelque part, on reproduit un peu ce que Yamaha avait réussi à faire avec la 125 DTMX au début des années 80. On veut que le cross cesse d’être réservé à une bande d’initiés. D’ailleurs, nous sommes super heureux de notre 50 électrique qui, avec deux heures d’autonomie, est le meilleur modèle du marché et a reçu un bon accueil.
Vous pensez à une version homologuée du BigY ?
« On y pense, évidemment, mais on ne sait pas encore ce qu’on décidera. On a déjà commencé à en vendre en Colombie, en Equateur et en Russie, trois des 15 pays dans lesquels nous sommes distribués, et selon les ventes, et la demande en France, alors on improvisera. Mais c’est vrai qu’on est plutôt confiants car on s’aperçoit que sur le créneau de l’enduro loisir, rien d’équivalent n’existe. Surtout pour les femmes.
Si vous entrevoir le potentiel de la BigY entre de bonnes pognes, copiez-collez les liens ci-dessous. Vous la verrez menée de mains de maîtres, soit la famille Pichon, Mickaël et Zach, plus Sébastien Guillaume, l’ex-enduriste inter.